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Monde : Allemagne

Leopard 2

Leopard 2

Le Leopard 2 est un char de combat allemand développé initialement pour remplacer les M48 Patton utilisés par la Bundeswehr et évoluer aux côtés du Leopard 1 déjà en service. Le Leopard 2 surpassait ce dernier dans le domaine de la mobilité, de la protection et de la puissance de feu. Sa bonne réputation est reconnue au niveau international

 

Historique

 

MBT / KPz-70

 

En 1969, les trois séries d'essais des prototypes du futur char de combat MBT-70 américano-allemand démontrèrent que ce prototype, hautement sophistiqué, était devenu trop lourd. La prochaine étape du processus de développement allait donc devoir porter sur la refonte du char afin de réduire son poids. Néanmoins, aucun des deux pays ne parvinrent à un accord et le programme MBT-70 fut définitivement stoppé le 20 janvier 1970 après avoir coûté huit cents trente millions de deutschemark. Les États-Unis et l'Allemagne de l'Ouest décidèrent donc, chacun, de développer de leur propre côté, leurs chars de combat respectifs.

 

Le Keiler et l'Eber

 

De 1965 à 1967, Porsche s'était vu accorder un contrat visant à concevoir des améliorations à apporter au Leopard 1, tout juste entré en service. Ce programme baptisé Léopard Doré (en allemand, Vergoldeter Leopard) avait pour but de rendre les futures versions du Léopard 1 aussi compétitives que le MBT-70.

En 1967, lorsque les premières tensions entre les États-Unis et l'Allemagne de l'Ouest apparurent, le Ministère fédéral de la Défense décida de poursuivre le programme Léopard Doré parallèlement au développement conjoint du MBT-70. Krauss Maffei fut choisi comme maître d'œuvre, Porsche était chargé de concevoir le châssis tandis que Wegmann s'occupait de la tourelle. Deux prototypes du Keiler (sanglier) furent fabriqués en 1969 et 1970 sous l'appellation ET 01 et ET 02.

Le Keiler possédait une tourelle aux formes anguleuses avec un masque en pointe de flèche. Utilisant la méthode d'assemblage par mécanosoudure, la tourelle était recouverte d'un blindage espacé constitué d'une carapace en acier haute dureté. L'armement consistait en un canon à âme lisse de 105 mm tirant des obus-flèches. Son glacis présentait une inclinaison importante et la motorisation était assurée par un moteur V10 diesel MB 872 couplé à une boîte de vitesse automatique ZF 4 HP 400. Le moteur MB 872 était une version raccourcie à dix cylindres du moteur V12 diesel MB-873 du KPz-70.

En fin 1969, l'Office fédéral allemand des techniques de l'armement et de l'approvisionnement lança une étude dans le but de ré-utiliser les composants développés durant le programme MBT-70 sur une version modifiée du Keiler appelée Eber (verrat). L'Eber reprenait notamment le canon XM150 de 152 mm du MBT-70 ainsi que le canon-mitrailleur de 20 mm monté sur un tourelleau télé-opéré.

 

Première génération de prototypes

 
Le Leopard 2 K représentait la première génération de prototypes.

En début 1970, Helmut Schmidt et le Ministère fédéral de la Défense recommandèrent de poursuivre le développement du Léopard Doré mais en adoptant, cette fois-ci, le moteur V12 diesel du KPz-70. Dix prototypes armés d'un canon lisse Rheinmetall de 105 mm suivi de sept autres armés d'un canon lisse de 120 mm furent commandés, Krauss Maffei fut encore une fois, choisi comme maître d'œuvre. Seize châssis (portant l'appellation de PT 1 à PT 17) et dix-sept tourelles furent construit entre 1972 et 1974. Une version armée du canon XM150 de 152 mm du MBT-70 baptisée Leopard 2 FK (FlugKörper ; missile) fut envisagée mais le projet fut annulé en 1971.

Appelés Leopard 2 K (Kanone ; canon), ces prototypes reprenaient une partie des équipements de motorisation hydraulique de la tourelle du MBT-70 ainsi que ses galets de roulement, ses chenilles, son moteur et sa boîte de vitesses. Mais contrairement à ce dernier, le Leopard 2 K retournait à une configuration classique d'équipage à quatre hommes avec pilote en châssis. Reprenant l'architecture du Keiler, le Leopard 2 K devait respecter l'indice de classement OTAN MLC 50 (masse inférieure à 45 tonnes). En dehors de l'armement, ces prototypes se différenciaient aussi par leurs châssis : (modèle de chenilles, configuration du groupe motopropulseur, nombre de galets et suspensions, etc.).

Les essais de ces matériels se déroulèrent en Allemagne de l'Ouest de 1972 à 1974 à Münster et à Meppen. De février à mars 1975, quatre Leopard 2 K effectuèrent des tests climatiques en conditions hivernales à Shilo, au Canada et en conditions désertiques à Yuma, aux États-Unis du mois d'avril à mai.

 

Tourelle Spitzmaus

 

Il s'est avéré que les prototypes Leopard 2 K étaient entre 1,5 tonnes et 5,5 tonnes plus lourds que la limite des 45 tonnes imposées. Wegmann développa donc une nouvelle tourelle, ayant le même blindage mais plus légère surnommée Spitzmaus (musaraigne) en raison de sa forme pointue. La tourelle Spitzmaus amena des contraintes en termes de volume disponible sous blindage qui empêchèrent de monter le viseur télémétrique EMES-12 qui, ayant une base de 2 m, était trop large pour être monté. Leitz et AEG-Telefunken trouvèrent une solution en développant un télémètre à corrélation électronique EMES-13 ayant une base d'à peine 35 cm permettant son installation à l'avant-droite de la tourelle.

 

Tourelle T 14 mod.

 

 
L'avant de la tourelle T 14 mod. était protégée par du blindage composite et possédait, entre autres, un viseur télémétrique à corrélation électronique EMES-13.

Parallèlement, les premières analyses de la guerre du Kippour démontraient clairement que les chars de combat devaient être à l'avenir mieux blindés afin de contrer les missiles antichars. Le cahier des charges fut modifié afin de faire passer l'indice de classement OTAN de MLC 50 à MLC 60 (54 tonnes). La tourelle N°14 fut modifiée pour accueillir un blindage composite capable de résister, à 1 500 m, aux obus-flèches de calibres de 115 mm et 120 mm ainsi que des obus explosifs à charge creuse de 120 mm. La création de cette tourelle a représenté une percée dans le développement du Leopard 2 et constituait un premier pas vers le Leopard 2 AV.

Deuxième génération de prototypes

En 1973, un processus de négociation s'ouvrit entre les États-Unis et l'Allemagne de l'Ouest dans le but de standardiser certains des composants de leurs futurs chars de combat respectifs. Ces négociations aboutirent à un mémorandum d'entente qui fut signé le 1er décembre 1974 et un amendement en juillet 1976. Un châssis du Leopard 2 K, le PT 07, fut vendu et livré aux États-Unis en février 1973 afin d'être évalué par l'US Army au terrain d'essai d'Aberdeen. Une partie du mémorandum d'entente consistait en une série de tests comparatifs entre le prototype PT 07 du Leopard 2 K et les deux prototypes du XM1.

Afin de répondre aux caractéristiques de performances établies par le XM1 (niveau de protection ballistique, compartimentation des munitions avec utilisation de panneaux anti-explosion), Krauss-Maffei fut chargé de mener une étude visant à modifier le prototype du Leopard 2, en réalisant le moins de changements possibles et en respectant les contraintes liées aux coûts.

Afin de satisfaire aux exigences américaines du mémorandum d'entente, Porsche, Krauss-Maffei et Wegmann conçurent le Leopard 2 AV (Austere Version ; version austère) ou (American Version ; version américaine). La tourelle avait été conçue sur l'expérience acquise avec la tourelle T 14 mod. mais intégrait une conduite de tir moins sophistiquée. Le châssis intégrait dans sa pointe avant un réservoir de carburant intercalé entre du blindage composite. Les déports de caisse étaient désormais à bords droits.

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Leopard_2  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
    Leopard 2
    Leopard 2 : dessinsagogo55
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Château de Neuschwanstein

Château de Neuschwanstein

Le château de Neuschwanstein se dresse sur un éperon rocheux haut de 200 mètres près de Füssen dans l'Allgäu. Le roi Louis II de Bavière l'a fait construire au XIXe siècle. C'est aujourd'hui le château le plus célèbre d'Allemagne, visité chaque année par plus d'un million de touristes.

 

Genèse et construction

 

Lettre de Louis II à Richard Wagner de Guiguère, 13 mai 1868 :

 
Le château pendant sa construction.
 

« Il est dans mon intention de reconstruire la vieille ruine du château de Hohenschwangau près de la gorge de Pöllat dans le style authentique des vieux châteaux des chevaliers allemands, et je vous confesse que je me languis de vivre ce jour (dans 3 ans) ; il y aura plusieurs salles confortables et chambres d'hôtes avec une vue splendide du noble Säuling, les montagnes du Tyrol et loin à travers la plaine ; vous connaissez l'hôte vénéré que je voudrais voir là ; l'endroit est un des plus beaux qu'on puisse trouver, sacré et inaccessible, un digne temple pour l'ami divin qui a apporté le salut et la bénédiction au monde. Il vous rappellera également Tannhäuser (Salle des chanteurs avec une vue du château dans le fond), Lohengrin (cour de château, couloir ouvert, chemin vers la chapelle) ; ce château sera de toute manière plus beau et habitable que Hohenschwangau qui est plus loin vers le bas et qui est profané chaque année par la prose de ma mère ; ils auront leur vengeance, les dieux profanés, et viendront vivre avec nous sur les hauteurs élevées, respirant l'air du ciel. »

 

En 1867, lors d’un voyage en France, Louis II visita le château de Pierrefonds. L’idée de mélanger ce style architectural néo-gothique à celui, médiéval, de la Wartburg en Thuringe donna un résultat flamboyant.

 

Neuschwanstein fut construit sur l'emplacement de deux anciens châteaux-forts, Vorderhohenschwangau et Hinterhohenschwangau. Pour pouvoir élever le château de ses rêves, Louis II fit dynamiter la montagne afin d'abaisser de 8 mètres le socle des anciens châteaux. Ce n'est qu'après la construction de la route et de l'installation de l'eau courante que la première pierre fut posée, le 5 septembre 1869. Les travaux furent dirigés par l'architecte Eduard Riedel et décorés par Christian Jank, un décorateur de théâtre. La construction du « nouveau rocher du cygne » (traduction de Neuschwanstein) a nécessité des quantités énormes de matériaux, par exemple sur les deux seules années 1879 et 1880 : 465 tonnes de marbre de Salzbourg, 400 000 briques, 3 600 m3 de sable et 600 tonnes de ciment2. En 1884, Louis II s'établit dans le palais. Deux années plus tard, après sa mort mystérieuse, le château fut ouvert au public, bien qu'il ne fût pas encore terminé à cette époque

 

Le projet initial de Louis II et Riedel était plus ambitieux, mais l'État bavarois décida de ne pas poursuivre les travaux à la mort du roi.

 

Architecture

 
Plan du château. La chapelle prévue dans le plan initial est marquée en jaune.
 

Le château de Neuschwanstein est construit en grande partie dans le style roman tardif du début du xiiie siècle. On le remarque dans la construction du bâtiment dans son ensemble aussi bien que dans son ornementation : portails en plein cintre, les arcades des fenêtres et des tours, la position des colonnes et des baies vitrées et des pinacles. Les salles d'habitation du roi et les salles d'apparat des troisième et quatrième étages étaient plus ou moins achevées en 1886. Les chambres du deuxième étage sont toujours en briques nues et ne sont pas visitées. Des éléments néo-gothiques et néo-byzantins (la salle du trône) sont également présents. À ce titre, le château est un exemple d'architecture éclectique de l'époque romantique. C'est aussi l'exemple typique d'historicisme en architecture.

 

Il comporte environ 200 pièces d'une superficie totale de 6 000 m2. Quinze sont aménagées

.

Le hall d'entrée

 

Le hall d'entrée est divisé en deux nefs. Les voûtes d'arêtes sont ornées de peintures décoratives évoquant le Siegfried de Richard Wagner. Le plancher est recouvert de tuiles de Mettlach. À gauche du couloir, derrière les fenêtres doubles en plein cintre, se trouve le quartier des domestiques.

 

La salle du trône

 

 
Les rois canonisés
 

La salle du trône représente la salle du Graal de Parsifal. Le décorateur Eduard Ille et l'architecte Julius Hofmann l'ont conçue dans le style byzantin, inspiré par l'église Sainte Sophie, à Constantinople (aujourd'hui Istanbul). La salle du trône, sur deux étages, avec sa série de piliers en imitation de porphyre et de lapis-lazuli, a été achevée l'année de la mort du roi (1886). Sous la demi-coupole, dans une alcôve dorée, on atteint la plate-forme du trône par une volée de marches de marbre blanc. Le trône lui-même, conçu en or et en ivoire, n'a jamais été réalisé, car le roi est mort avant. La plate-forme est encadrée par des peintures représentant les douze apôtres, et derrière la plate-forme, on peut voir un motif de lions d'or, symbole de la Bavière. Sur fond doré sont représentés six rois européens du Moyen-Âge canonisés (de gauche à droite : Casimir de Pologne, Étienne de Hongrie, Henri II du Saint-Empire, Louis IX de France, Ferdinand III de Castille, et Édouard le Confesseur qui symbolisent l'idéal du chevalier, soldat du Christ. À noter que Louis II était né le jour de la fête de son saint patron.

 

La salle à manger

 

La salle à manger en chêne sculpté est décorée avec des peintures de Ferdinand von Piloty et Josef Aigner. On y voit des figures de «Minnesinger » et des scènes de la Wartburg, au moment du mythique concours de chant 1207. Sur la porte à droite on voit Wolfram von Eschenbach, l'auteur de Parsifal et Lohengrin. La décoration intérieure de la salle est due à Julius Hofmann. La sculpture de la table montre Siegfried combattant le dragon — un cadeau d'artistes de Munich à Louis II.

 

La chambre

 

À la différence des autres chambres, la chambre à coucher du roi est magnifiquement sculptée dans le style néogothique. Quatorze sculpteurs sur bois ont travaillé pendant 4 ans et demi, dit-on, pour réaliser ce décor. Le lit du monarque est couvert de draperies richement brodées. Les peintures murales illustrent l'histoire de Tristan et Isolde, qui avait impressionné le jeune roi de 20 ans dans la version opéra de Wagner. Un ruisseau situé au-dessus du château apporte l'eau qui coule directement à la table de toilette.

 

La chapelle

 

Attenant à la chambre, se trouve une petite chapelle, dédiée au Saint Patron du roi, saint Louis. Richement sculpté, l'autel est encastré dans le mur. Un retable représente des scènes de la vie de saint Louis. Les vitraux à droite montrent Saint-Louis recevant les derniers sacrements.

 

Le cabinet de toilette

 

Le cabinet de toilette est couvert de lambris de chêne relativement simples, et les treillages peints sur le plafond donnent l'impression d'une ouverture de la salle vers le ciel. Les peintures murales illustrent la vie et l'œuvre de Walther von der Vogelweide et Hans Sachs. Après le Siegfried du hall d'entrée, et le Tristan de la chambre, cette salle est à nouveau consacrée à l'univers wagnérien avec les Maîtres chanteurs de Nuremberg.

 

Le grand salon

 

 
L'Arrivée de Lohengrin à Anvers (détail), peinture d'August von Heckel réalisée en 1886 pour le château de Neuschwanstein.
 

Richement décoré, le salon, avec son annexe « le coin du cygne », est entièrement consacré à la légende du chevalier Lohengrin, qui avait une importance considérable chez Louis II. Les grandes peintures murales d'Hauschild et von Heckel dépeignent le « Miracle du Graal » et l'« Arrivée de Lohengrin à Anvers ». Louis II, jeune prince était tellement imprégné par l'opéra de Wagner Lohengrin qu'il s'était totalement identifié au chevalier au cygne, et n'hésitait pas à se déguiser en Lohengrin. La tragédie de Lohengrin fut sa solitude essentielle. Ce fut également le sort du roi.

 

Le cabinet de travail

 

Le cabinet de travail de style gothique du roi est rempli de références à l'histoire du château de Wartburg. Les peintures, serties dans des panneaux muraux finement sculptés, sont l'œuvre de Josef Aigner et illustrent la légende de Tannhäuser et le concours de chant de la Wartburg.

 

La salle des chanteurs

 

 
La salle des chanteurs, photographie colorée de la fin du xixe.
 

La salle des chanteurs occupe entièrement le 4e étage du château et est une copie de la salle d'hôtes des ménestrels de la Wartburg en Thuringe, réalisée par Julius Hofmann. Les peintures murales dans le hall et dans le couloir dépeignent des scènes de la légende de Parsifal, sujet du dernier opéra de Wagner. Le château de Neuschwanstein, imaginé par Louis II comme le château du Graal et, simultanément, le château du Chevalier au Cygne Lohengrin, y adjoint un autre héros dans cette salle, à savoir Tannhäuser.

 

La cuisine

 

La cuisine, conservée telle quelle, montre comment la technologie moderne a été intégrée à l'atmosphère du Moyen Âge présente dans les étages supérieurs. L'équipement comprend notamment une installation d'eau courante chaude et froide et un système de broches à rôtir automatique, car malgré ses rêveries, le roi n'était pas l'ennemi du progrès technique (surtout s'il lui permettait de concrétiser ses rêves).

 

Artistes ayant travaillé au château de Neuschwanstein

 

Joseph Matthäus Aigner : peinture

A. Diessl : sculpture

Georg von Dollmann : architecture et génie civil

Julius Frank : peinture

Wilhelm Hauschild : peintures murales

August von Heckel : peinture

Julius Hofmann : architecture

Eduard Ille : peinture

Christian Jank : architecture

Joseph Gabriel Mayer : vitraux

Moradelli (Atelier de Munich) : lustres, ferrures de portes

Josef Munsch : peintures

Philipp Perron : sculptures

Anton Pössenbacher : mobilier

Ferdinand von Piloty : peintures

Eduard Riedel : architecture et génie civil

August Spieß : peintures

Villeroy et Boch : vaisselle

Wolenweber : lustres et candélabres

 

Le Marienbrücke

 

On peut pleinement apprécier le paysage romantique des environs du château en allant sur le Marienbrücke, pont qui surplombe de 92 m le fond de la gorge de la Pöllat. Il s'agit d'un pont en porte-à-faux enjambant la chute d'eau haute de 45 m. Le pont, originellement en bois, porte le nom de la mère de Louis II, la reine Marie, princesse de Prusse. En 1866, le fer a remplacé le bois.

 

Dépôt nazi pour les œuvres pillées en France

 

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le château sert de dépôts de l'ERR : 21 903 objets d'art dont 5 281 tableaux y sont stockés. En 1944, la majorité des œuvres sont transférées par des hommes de l'ERR vers une région plus sûre et cachée dans une mine de sel de la montagne Altaussee. Le 28 avril 1945 l'Armée américaine atteint le château. Malgré les transferts, 1 300 tableaux des musées de Bavière et de nombreuses œuvres saisies en France s'y trouvent encore, ainsi que toutes les archives de l'ERR5. Le film américain Monuments Men retrace l'action du groupe Monuments, Fine Arts, and Archives program chargé de retrouver les œuvres d'art volées par les nazis, notamment au château de Neuschwanstein .

 

Tourisme

 

On compte en moyenne de 1,3 million à 1,4 million de visiteurs chaque année. Chaque été, plus de 6 000 visiteurs par jour se bousculent vers les différentes pièces, prévues initialement pour accueillir une unique personne. La visite peut être complétée par la projection d'un film sur la vie de Louis II de Bavière.

 

L'État libre de Bavière dépense environ 132 millions d'euros chaque année pour son entretien et l'amélioration des services aux visiteurs. Néanmoins, cela représente peu face aux profits que Neuschwanstein génère, soit près de 700 millions de dollars chaque année.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Neuschwanstein

 

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MAN SE

Publié à 16:15 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur afrique france saint société
MAN SE

 

 

 

MAN SE (Maschinenfabrik Augsburg-Nürnberg, Societas Europaea), anciennement MAN AG, est un constructeur de machines et véhicules industriels dont le siège social est à Munich en Bavière, Allemagne. La société faîtière MAN SE est cotée sur l’indice boursier allemand DAX.

 

Les sociétés du groupe MAN fabriquent des camions, des bus, des moteurs diesel et des turbomachines. Le groupe exploite des usines en France, en Autriche, en Suisse, au Danemark, en Pologne, en Turquie, en Afrique du Sud, au Brésil, au Mexique, en Inde et en Chine. L’un des principaux sites de production de moteurs diesel est basé à Saint-Nazaire.

 

Outre l'Europe, l'entreprise réalise des ventes en Amérique latine, en Russie, en Afrique, en Chine et dans le reste de l'Asie. Le montant total des recettes réalisées en France avoisinait les 460 millions d’euros en 2009.

 

En juillet 2011, MAN a pour principal actionnaire Volkswagen, qui prend 53,7 % du capital. En 2017, le Groupe Volkswagen possède 75,73 % de Man.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/MAN_SE

 

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Scharnhorst (1936)

Publié à 03:26 par dessinsagogo55 Tags : sur base chez message centerblog
Scharnhorst (1936)

 

Le Scharnhorst est un croiseur de bataille de la Kriegsmarine lancé le 3 octobre 1936 dans le port de Wilhelmshaven. En compagnie du Gneisenau, son sister-ship de la classe Scharnhorst, il croise d'abord dans les eaux de Norvège, puis en Atlantique où il traque les convois alliés. Réfugié dans les fjords de Norvège à partir de 1942, il est détruit et coulé par une escadre de la Royal Navy en effectuant une mission, le 26 décembre 1943, aux environs du cap Nord.

 

 

 

Le 22 décembre 1943, le Scharnhorst sort en compagnie de cinq destroyers à la rencontre d'un convoi allié repéré par une reconnaissance aérienne, le convoi JW55B en direction de Mourmansk. Le Tirpitz est en réparation et ne participe pas au raid. Le Konteradmiral Erich Bey, habituellement à la tête d'une flotte de destroyers, commande le groupe Scharnhorst car le Generaladmiral Oskar Kummetz est gravement malade. Dans la matinée du 26, après s'être séparé des destroyers, le Scharnhorst se retrouve face aux croiseurs de la 10e escadre (Burnett) : HMS Belfast, HMS Sheffield, HMS Norfolk. C'est une surprise pour les allemands car le convoi était signalé sans réelles défenses. Le croiseur allemand s'échappe à 10 h 20 de ce premier engagement grâce à son puissant avantage en termes de vitesse. Le contre-amiral Erich Bey décide malgré tout de poursuivre l'attaque car l'opposition n'est pas trop importante. Il prend cap au nord, en plein sur la route que devra croiser le convoi JW 55B.

 

L'amiral Fraser qui commande alors la Home Fleet s'inquiète pour le convoi : il n'a rien à opposer au croiseur de bataille allemand qui se trouve entre l'escorte et le convoi. Néanmoins, l'Allemand ne connait pas la position précise du convoi et la visibilité est médiocre. Pendant ce temps-là, les croiseurs britanniques sont rejoints par la 36th Destroyer Division et reprennent le contact avec le croiseur allemand vers midi, provoquant plusieurs échanges de tirs. Une fois de plus, le Scharnhorst se retire. Surpris et excédé par cette opposition plus tenace que prévu, le contre-amiral Erich Bey décide de regagner sa base pour ne pas risquer son bâtiment alors dangereusement privé de tout appui. Il met cap au sud, ce qui va le mener droit dans un piège.

 

Les Britanniques tiennent le contact radar et s'assurent que le Scharnhorst, faisant route au sud-ouest, croise la route du cuirassé HMS Duke of York qui est accompagné du croiseur léger HMS Jamaica. Le cuirassé obtient un contact radar à plus de 40 kilomètres, peu après 16 h, et engage le combat à 16 h 50. Le Scharnhorst est alors surpris une 3e fois et se retrouve nettement surclassé par les bordées des dix pièces de 356 mm du cuirassé de classe King George V. Les deux tourelles avant du Scharnhorst sont mises hors de combat, le privant de six de ses neuf canons principaux. Sa vitesse lui permet toutefois d'échapper encore à ses poursuivants qui croient alors le combat terminé vers 18 h 30. Pourtant, Erich Bey envoie un message solennel au Führer lui assurant qu'il combattra « jusqu'au dernier obus ». En effet, le Scharnhorst a perdu son dernier atout : une des dernières bordées du Duke of York a endommagé ses chaudières, réduisant fortement sa vitesse et permettant au Duke of York de le rejoindre. Après un duel d'artillerie qui dure au total plus de deux heures (les Britanniques tirent plus de 2 000 obus), les pièces du Scharnhorst deviennent définitivement silencieuses à 19 h 16. Les destroyers et croiseurs s'approchent et le torpillent à plusieurs reprises (22 torpilles sont tirées). Touché à l'avant le Scharnhorst coule, pavillon haut, à environ 19 h 45. Sur les 1 968 hommes d'équipage, seuls 36 survivants seront repêchés dans les eaux glacées de l'Arctique par les contre-torpilleurs Scorpion et Matchless. Quant au convoi JW55B, il arrive sans dommage à Mourmansk.

 

La Kriegsmarine perd un de ses navires les plus puissants, après sept ans de services dont quatre de guerre où il avait fait régulièrement parler de lui. Il avait créé un véritable malaise d'insécurité chez les Britanniques, sa vitesse lui conférant une sorte d'invulnérabilité et de capacité à frapper à tout moment. La campagne du printemps 1941 avait fait craindre le pire aux Britanniques quant à l'effet désastreux qu'aurait le Bismarck s'il venait à percer dans l'Atlantique.

 

La Kriegsmarine n'a alors plus de navires de ligne opérationnels, le grand cuirassé Tirpitz étant hors de combat, devenu malgré lui le « Roi solitaire des mers du Nord ».

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Scharnhorst_(1936)

 

 

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Attentat annulé du 26 décembre 1943

Publié à 03:06 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog

Attentat annulé du 26 décembre 1943

 
 

L'attentat du 26 décembre 1943 fut un attentat organisé par Claus von Stauffenberg afin d'éliminer Hitler dans une réunion, mais celle-ci fut annulée à la dernière minute, et l'attentat dut être annulé. Claus von Stauffenberg a réussi à faire un véritable attentat le 20 juillet 1944.

 

 

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Haribo

Publié à 02:01 par dessinsagogo55 Tags : center image centerblog sur base france place chez enfants société mort internet maison annonce
Haribo

 

 

 

Haribo est une marque de confiserie allemande et le nom d'une multinationale fondée en 1920 par le confiseur allemand Hans Riegel. Elle tient son nom de son inventeur et de sa ville d'origine, Bonn : Hans Riegel Bonn.

 

Son premier produit commercialisé à grand succès fut l'« Ours d'Or », un bonbon gélifié en forme d'ourson.

 

Haribo a financé sa croissance sans aide extérieure et reste donc la propriété de la famille fondatrice. L'entreprise génère un chiffre d'affaires estimé entre 1,5 et 2 milliards d'euros par an, ce qui fait de la marque le numéro un incontesté de la vente de sucreries gélifiées en Europe (350 000 tonnes par an). En Allemagne, elle détient une part de marché de 60 %.

 

L'entreprise possède également les marques Maoam, Zan, BärenSchmidt et Dulcia.

 

 

Le 13 décembre 1920, l'entreprise Haribo est inscrite au registre de commerce de Bonn. Selon les dires de la société, le capital de départ se limite à un sac de sucre. Le premier atelier de fabrication se trouve dans une maison acquise en 1920 dans la Bergstraße à Kessenich (de) (commune de Bonn) et l'équipement se limite à un chaudron de cuivre, une plaque de marbre, un tabouret, un four à briques et un rouleau. Deux ans plus tard, Hans Riegel invente les « Ours danseurs », précurseurs des « Ours d'Or ».

 

En 1925, Haribo commence la fabrication de produits à base de réglisse. Au début des années 1930, un système de vente est installé en Allemagne et le bâtiment principal d'une nouvelle usine de fabrication est construit. En 1935, la « Haribo Lakrids A/S Kopenhagen » est fondée à Copenhague, en collaboration avec les partenaires commerciaux Christian et Eckhof Hansen.

 

D'après les indications fournies par la firme, la production diminue fortement pendant la Seconde Guerre mondiale, entre autres à cause du manque de matières premières.

 

À la mort du fondateur Hans Riegel en mars 1945, son épouse s'occupe de l'entreprise, puis la direction est reprise par les deux fils, Hans et Paul, après leur retour de captivité en 1946. Hans Riegel junior (1923-2013) représente la firme à l'extérieur, tandis que Paul Riegel (de) (1926-2009), qui n'apparaît presque jamais en public, dirige la recherche et la mise au point de produits nouveaux.

 

En 1957, Haribo reprend l'entreprise « Kleutgen & Meier » de Bad Godesberg, où Hans Riegel senior avait commencé à travailler. En 1961, elle absorbe la S.A « Bonera Industrie en Handelsmaatschappij » de Bréda aux Pays-Bas, et la transforme en société privée, la « Haribo Nederland B.V ».

 

En 1967, l'enseigne acquiert des parts de l'usine de confiserie française Lorette, située à Marseille, et la renomme en « Haribo-France S.A. » ; cette société fusionne en 1987 avec Ricqlès-Zan, un fabricant du sud de la France (entreprise fondée en 1862 par Henri Lafont à Uzès, qui fusionna avec la société Ricqlès en 1970) et donne naissance à « Haribo Ricqles-Zan » dont les sites de production sont à Marseille, Uzès et Wattrelos. En 1968, la marque prend une participation dans l'entreprise « Dr Hillers AG » de Solingen, qu'elle rachète entièrement en 1979. L'année suivante, démarre la construction d'une nouvelle unité de production de confiserie gélifiée, réglisse et chewing-gum, selon un plan d'extension en trois phases.

 

Durant les années 1970, des organismes de distribution sont mis en place en Suède et en Autriche où la marque reprend la société « Panuli Bonbon GmbH » de Linz. En 1971, elle acquiert une participation majoritaire chez le fabricant Bären-Schmidt et, en 1972, une participation dans la firme anglaise Dunhills, dont elle prend le contrôle en 1994.

 

Les « Ours d'or » sont introduits aux États-Unis en 1982.

 

Des acquisitions supplémentaires et des lancements de produits ont lieu, entre autres, en France, Norvège, Espagne, Finlande et Turquie.

 

Depuis décembre 2014, le groupe teste un nouveau canal de distribution en commercialisant ses produits sur Internet et en lançant une plateforme de commerce en ligne. La même année, la marque s'associe à la marque Oasis pour capitaliser sur son image auprès des enfants et relancer sa gamme de bonbons gélifiés.

 

En avril 2017, Haribo annonce la suppression d'une centaine de postes en France à l'horizon 2018, soit 15% de son effectif dans ce pays

 

 

Haribo en France : Haribo Ricqles Zan : informations financières

 

La société Haribo Ricqles Zan a été immatriculée en 1957.

En 2017 elle a réalisé un chiffre d'affaires de 258 612 200 €, dégagé un résultat de 16 302 100 €.

Elle emploie dans ses 18 établissements 688 personnes

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Haribo

 

 

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Le Reich en guerre

Publié à 13:25 par dessinsagogo55 Tags : centerblog sur afrique france amitié
Le Reich en guerre

Hitler, Adolf Heusinger, Fedor von Bock, Friedrich Paulus, en 1942 au quartier général du groupe d'armées Sud.

 

Le 1er septembre 1939 à h 45 du matin, le Reich envahit la Pologne sans déclaration de guerre, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. L'occupation militaire allemande de la plus grande partie du continent européen a lieu rapidement et, jusqu'en 1941, le territoire contrôlé par les nazis va du Cercle Polaire et de la Manche jusqu'à l'Afrique du Nord et aux portes de Moscou. Dans tous les pays, le IIIe Reich trouve des forces de collaboration pour l'assister, mais sa domination est combattue par les mouvements de résistance. La Grande-Bretagne cependant refuse de se retirer de la guerre même après la défaite de la France et l'armistice du 22 juin 1940. Elle est le seul adversaire du Reich entre juin 1940 et juin 1941, quand Adolf Hitler envahit brusquement l'Union soviétique, violant le pacte de non-agression et s'ouvrant un autre front de bataille. Celui-ci signe par ailleurs un pacte d'amitié avec la Turquie le 18 juin 1941.

 

Or, à partir de la défaite devant Moscou (6 décembre 1941), Adolf Hitler perd l'espoir d'une guerre courte. Trois gigantesques potentiels humains et industriels sont désormais alliés contre lui : l'URSS, l'Empire britannique et les États-Unis, auxquels, après l'agression japonaise sur Pearl Harbor, il a déclaré la guerre le 11 décembre 1941, sans aucun bénéfice pour l'Allemagne.

 

Se résignant à proclamer la mobilisation totale voulue par Goebbels et Speer, Adolf Hitler accentue le pillage des pays occupés et met en œuvre la guerre totale. À partir de début 1942, la production d'armements s'accroît, et elle est encore supérieure en février 1945 à ce qu'elle était en 1942, malgré des attaques aériennes massives des Alliés contre les cibles civiles et industrielles.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Troisi%C3%A8me_Reich#Le_Reich_en_guerre

 

 

 

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BMW Série 8 II

Publié à 17:08 par dessinsagogo55 Tags : centerblog
BMW Série 8 II

 

 

La Série 8 II (G14) est une berline grand tourisme produite par le constructeur automobile allemand BMW et commercialisée à partir de novembre 2018. Elle est commercialisée en coupé et cabriolet, et une troisième version coupé 4 portes existe dénommée Gran coupé.

 

La nouvelle génération de BMW série 8 est présentée le 15 juin 2018, à l'occasion des 24 Heures du Mans, dans sa version M850i xDrive, six mois avant sa commercialisation.

 

La BMW Série 8 de seconde génération remplace la BMW Série 6 dans la gamme actuelle qui n'était commercialisé qu'en version Gran Coupé, mais se veut la descendante directe de la BMW Série 8 produite de 1989 à 1999. La Série 8 de 2018 sera disponible en coupé dans un premier temps fin 2018, puis suivi par un cabriolet 4 places dans un second temps en 2019 et enfin en version coupé 4 portes Gran Coupé fin 2019 concurrent de la Mercedes-AMG GT 4 portes.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/BMW_S%C3%A9rie_8_II

 

 

 

 

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Volkswagen Combi

Publié à 20:04 par dessinsagogo55 Tags : photo sur prix plat afrique france monde chez mode air cadre pouvoir center
Volkswagen Combi

 

 

 

Le Combi Volkswagen ou Volkswagen Type 2 ou Transporter ou encore VW bus est la deuxième ligne de véhicule motorisés présentée par le constructeur automobile allemand Volkswagen, en 1950.

 

Le VW T2 est développé peu après en camping-car dans le cadre de la gamme Volkswagen Westfalia Camper.

 

 

La première ligne de véhicule à moteur était la Coccinelle. Le mot de « Combi » est l'abréviation du mot allemand Kombinationenwagen, que l'on peut traduire par « multi-usage » et devient, en France seulement, le surnom de la version la plus répandue du Volkswagen Type 1 (le Split), Type 2 (le bay window) et T3 (la dernière génération avec moteur à l'arrière). En Allemagne, pays d'origine, il est surtout connu sous l'appellation de « bouledogue », familièrement « Bulli », pour la ressemblance de la face avant des premières générations.

 

La conception originale et la première date de prototypes à partir de 1947, année de la traction avant Citroën Type H van commerciale a été introduite. Ben Pon, industriel néerlandais, avait besoin pour son commerce d'un véhicule utilitaire plus petit, robuste et économique. D'un simple croquis sur un petit carnet, il va faire réaliser les premiers prototypes de ce qui allait devenir, le Type 2. Production et commercialisation ont commencé en mars 1950, grâce à l'appui de Heinrich Nordhoff, alors responsable du groupe.

 

 

Pour des raisons fiscales, le Type 2 a été vendu aux États-Unis comme une fourgonnette. Les constructeurs américains tels Ford, Dodge et Chevrolet pouvaient monopoliser le marché commercial, à partir de 1964. Les petites fourgonnettes demeurent une grande catégorie de véhicules.

 

Le Type 2 est unique parmi les fourgonnettes commerciales ayant un moteur situé à l'arrière (les fourgons commerciaux modernes profitent au maximum de la zone de chargement arrière en ayant le moteur à l'avant ou sous le conducteur). L'autobus utilise encore cette conception du moteur arrière.

En Allemagne, la firme DKW avec son Tempo Wiking Schnellaster a essayé de rivaliser avec Volkswagen, sans beaucoup de succès en dépit de ses qualités évidentes.

 

 

Le Combi est le premier Transporter de chez Volkswagen, comme au fil des générations les Transporters n'ont plus rien à voir avec le premier modèle : on appelle surtout Combi les Transporters ayant le moteur à l'arrière et les phares ronds.

 

D'abord pur utilitaire dans un monde d'après-guerre manquant de moyens de transport, il a aussi été fabriqué en version minibus, dont un luxueux modèle, et en version camping-car. Il est donc le précurseur des camping-car.

 

De nos jours, ce véhicule connait un grand regain d'intérêt, il en devient un véritable phénomène de mode, on peut trouver facilement des garages spécialisés ou en louer près des zones touristiques. Aujourd'hui les modèles de Combi ont souvent été améliorés avec l'ajout de freins à disques, de directions assistées, d'extincteurs automatiques ainsi que des optimisations fréquentes de la carburation pour un peu plus de puissance et pouvoir rouler facilement dans la circulation d'aujourd'hui.

 

Le moteur étant à l'arrière, le modèle de Combi est assez confortable, le son caractéristique des quatre cylindres à plat de Ferdinand Porsche est très apprécié des connaisseurs.

 

Les modèles les plus rares font l'objet d'une spéculation importante  et sont collectionnés par des Allemands, des Américains, des Belges, des Français, et des Japonais.

 

Westfalia, aménageur allemand, en a fait le camping-car le plus répandu au monde. Les Combi aménagés par l'équipementier camping-car en Amérique du Nord sont parfois appelés « Combi Westfalia ».

 

 

Le combi volkswagen bénéficiera d’une transmissions intégrale qui s’est vendu à peu d’exemplaire

 

 

Le T2, c'est-à-dire Type 2 de deuxième génération, a été produit au Brésil jusqu'en 2013, recevant une mécanique moderne de Volkswagen Polo. La façade est alors munie d'un radiateur d'eau inexistant sur les modèles produits entre 1968 et 1979.

 

On peut aujourd'hui commander, via l'importateur basé au Royaume-Uni, ces véhicules neufs en version utilitaire, minibus ou camping-car, mais leur homologation dans certains pays dont la France est un parcours d'obstacle extrêmement rebutant pour l'amateur.

 

Cependant, Volkswagen a annoncé la fin programmée de la production pour le 31 décembre 2013. La législation, imposant ABS et coussin gonflable de sécurité (« airbag ») et entrant en vigueur au 1er janvier 2014, aura eu raison de lui après une production ininterrompue durant 63 années.

 

La production du transporter T3, le dernier avec la mécanique à l'arrière, a cessé en Afrique du Sud en 2003.

 

Volkswagen après une interruption de près de 20 ans de la production et de la distribution de pièces, a décidé de reprendre la distribution de pièces à des prix très élevés.

 

On peut résumer très succinctement les évolutions en années :

23 avril 1947 - Premiers dessins, premiers prototypes dans les usines VW d'Hanovre ;

12 novembre 1949 - Présentation du transporter Type .

Cette appellation non commerciale sera doublée plus tard et notamment au profit de l'installation d'un hayon, du surnom de split-windows, littéralement « pare-brise en deux parties » ;

janvier 1950 - Sept véhicules seulement sortent de l'usine de Wolfsburg, puis trois en février ;

mars 1950 - Présenté au salon de Genève, l'unique modèle (code 21) est commercialisé 585 DM de l'époque ;

août 1967 - Présentation du transporter Type 2. Les première et seconde générations se différencient principalement par les pare-chocs avant-arrière, les feux arrière et l'entrée d'air moteur. Ainsi, la variante modernisée T2b apparaît fin 1972, précédée d'un modèle dit de transition ;

juillet 1979 - Présentation du transporter Type 2, 3e génération, plus familièrement appelé T3.

Le T3 sera le dernier transporter à moteur arrière, perdant au passage le refroidissement à air des débuts en 1982. Cette même année verra l'apparition de la première motorisation diesel, et le passage de toute la gamme, essence et diesel, au refroidissement par eau. La variante Syncro offrira quatre roues motrices, étudiées par la firme autrichienne Steyr-Puch ;

1990 - Fin de production en Europe du transporter T3 marquant la fin de la production des Combis en Europe.

Le T3 sera toutefois produit jusqu'en 2003 en Afrique du Sud, avec des motorisations spécifiques (moteur 1800 Golf, 2,3 et 2,6 litres Audi à cinq cylindres, et même une très petite série à moteur V6 Ford) ;

1992 - Refabrication à 2 500 exemplaires — et à la demande de la clientèle — du T3 nommé pour l'occasion « Last Limited Edition : LLE » ;

2013 - Arrêt de la fabrication du Combi au Brésil.

Perdant en 1991 son implantation mécanique « tout à l'arrière » des débuts, la quatrième génération dénommée simplement « Transporter T4 » devient un véhicule traction avant et marque la fin de l’appellation « Combi ».

 

Malgré le scandale du « dieselgate » de Volkswagen, cette marque a dévoilé une première photo teaser d'un concept-car électrique qui est dévoilé au salon CES de Las Vegas en 2016, qui s'ouvre du 6 au 9 janvier. Ce concept prend l'aspect d'un fourgon qui tente de reprendre quelques traits des combis et qui sera 100 % électrique et autonome et qui se situera entre les véhicules utilitaires de VW, les Caddy, Transporter et Crafter. Il s'appellera Budd-e et sera produit en 2019.

 

En 2017, Volkswagen dévoile le concept I.D. Buzz, un autre héritier du Combi, 100 % électrique, qui tente de surfer sur la mode Combi en reprenant des traits du design des premiers combis T1. Celui-ci sera commercialisé en 2022 et sera apte à la conduite autonome

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Volkswagen_Combi

 

 

 

Fendt 1000 Vario

Publié à 00:49 par dessinsagogo55 Tags : center presse centerblog background sur merci soi
Fendt 1000 Vario

 

 

La série Fendt 1000 Vario est actuellement la série de tracteurs la plus puissante de Fendt . La série a été présentée pour la première fois le 7 juillet 2014 lors d'une conférence de presse au château de Neuschwanstein . Il est disponible à la commande depuis le quatrième trimestre de 2015 et la livraison a commencé en septembre 2016

 

La série 1000 Vario complète la gamme de produits Fendt vers le haut et se situe au-dessus de la série 900 Vario. Le Fendt 1000 Vario est disponible en quatre modèles de 291 à 380  kW (396 à 517  ch ).

 

Tous les modèles de la série ont le soi-disant «train d'entraînement VarioDrive». Il a été intégré dans le module d' essieu arrière TA400 et est la dernière version de la transmission à variation continue Vario. L'essieu avant est entraîné par son propre moteur hydraulique indépendamment de l'essieu arrière . L'embrayage mécanique à quatre roues ne se ferme que lorsque l'un des essieux patine. 

 

Le tracteur peut être équipé de pneus jusqu'à 2,35 mètres de diamètre. Avec un poids à vide de 14 tonnes et propulsé par un moteur MAN 6 cylindres d'une cylindrée de 12,4 litres, le gros tracteur atteint une vitesse maximale de 60 km / h. Il dispose également de la nouvelle cabine x5-S et de deux pompes à pistons axiaux indépendantes . 

 

La conception du tracteur a été récompensée par le Red Dot Design Award  et le IF Design Award , entre autres .

 

Aux États-Unis, le tracteur est disponible sous la marque Challenger . Le modèle Challenger est également construit à Marktoberdorf et est le premier tracteur construit dans l'usine qui n'est pas construit sous la marque Fendt. 

 

En 2016, 180 tracteurs de la série ont été construits. 60 d'entre eux en tant que Challenger pour le marché américain. Le 20 décembre 2017, la série de tracteurs 1000 a été produite à ce moment-là, les tracteurs de la série 310 ont été vendus comme un Challenger entier.

 
 
 
   
   
Liens externes                                                  
  https://de.wikipedia.org/wiki/Fendt_1000_Vario
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CREATION (S) 1 2 3 4 X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DESSIN (S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
                                                   
   
    
    
   
   
   
   
   
   
ADRESSE(S)EXTERNE(S) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
DATE  
NAISSANCE   
DECES   
MISE A JOUR :   2024
                                                       
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