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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La cathédrale Notre-Dame de Chartres est une cathédrale catholique romaine située au cœur de la ville de Chartres dans le département français d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. Siège du diocèse de Chartres, elle est l'un des monuments emblématiques de l'architecture gothique.
Située à 80 kilomètres au sud-ouest de Paris, elle est traditionnellement considérée comme la cathédrale gothique la plus représentative, la plus complète ainsi que la mieux conservée de France par ses sculptures, vitraux et dallage pour la plupart d'origine, bien qu'elle soit construite avec les techniques de l'architecture romane montrant ainsi la continuité et non la rupture entre ces deux types d'architecture.
L'actuelle cathédrale, de style gothique dit « classique », a été construite au début du XIIIe siècle, pour la majeure partie en trente ans, sur les ruines d'une précédente cathédrale romane, détruite lors d'un incendie en 1194. Grand lieu de pèlerinage, elle domine la ville de Chartres et la plaine de la Beauce, se dévoilant au regard à plus de dix kilomètres de distance.
L’édifice fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par son recensement sur la liste de 1862. Par ailleurs, il est parmi les premiers monuments inscrits sur la liste du patrimoine mondial par l'UNESCO en 1979.
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Guy Môquet, né le 26 avril 1924 à Paris et mort le 22 octobre 1941 à Châteaubriant (Loire-Inférieure), est un militant communiste, célèbre pour avoir été le plus jeune des quarante-huit otages fusillés, le 22 octobre 1941, à Châteaubriant, Nantes et Paris en représailles après la mort de Karl Hotz.
Son nom, plus particulièrement associé à celui des vingt-sept fusillés du camp de Châteaubriant, est passé dans l'histoire comme un symbole des héros et des martyrs français de l'Occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale.
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André-Jacques Garnerin, né le 30 janvier 1769 à Paris où il est mort le 18 août 1823, est un aérostier français.
Biographie
André-Jacques Garnerin est baptisé le 31 janvier 1769 en l'église Saint-Sauveur. Il devient par la suite l'élève du physicien Jacques Charles, l'inventeur du ballon à gaz.
Pendant la Révolution française, il occupe le poste d'« aérostier des fêtes publiques ». Il s'occupe de l'ascension des montgolfières. Il conservera ce poste jusqu'en 1804, date à laquelle il sera remplacé par Sophie Blanchard.
Ayant été capturé par les Autrichiens en Belgique, il s'occupe durant sa captivité de trois ans à Bude (1794-1797) des moyens de perfectionner l'aérostation et la construction des parachutes. Reprenant les expériences de parachutes menées par Louis-Sébastien Lenormand en 1783 avec des animaux, il effectue le premier saut en parachute – sans cadre rigide – de l'histoire le 22 octobre 1797 (1er Brumaire, an VI du calendrier républicain) en s'élançant d'un ballon à Paris au parc Monceau. Il atterrit devant une foule admirative qui pensait le voir perdre la vie. Il en tirera néanmoins une entorse à la cheville.
Le 12 octobre 1799, son élève et future épouse, Jeanne Labrosse, est la première femme à sauter en parachute. Le 11 octobre 1802, elle dépose au nom de son mari un brevet sur l'« appareil dit parachute, destiné à ralentir la chute de la nacelle d'un ballon après l'explosion de celui-ci. Ses organes essentiels sont une calotte d'étoffe supportant la nacelle et un cercle de bois qui se trouve en dessous et à l'extérieur du parachute et servant à le tenir un peu ouvert lors de l'ascension : il doit faciliter son développement au moment de la séparation avec le ballon, en y maintenant une colonne d'air. »
Les 3 et 4 octobre 1803, Garnerin effectue avec sa montgolfière le premier voyage aérien de longue distance entre Moscou et Polova en Russie sur un parcours de 300 km, puis, les 22 et 23 novembre 1807, il réalise un voyage de 395 km entre Paris (Tivoli) et une forêt près de Clausen en Allemagne, où il finit par s'échouer après un voyage de 7 heures au milieu des orages.
Sa nièce, fille de son frère Jean-Baptiste Olivier Garnerin, Élisa Garnerin (1791-1853), sauta également en parachute.
André-Jacques Garnerin meurt le 18 août 1823 à Paris à l’âge de 54 ans alors qu’il travaille sur un nouveau ballon. En traversant le chantier sur lequel le ballon est construit, Garnerin est tué par la chute d’une poutre
Une allée porte son nom dans le parc Monceau (Paris)
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Auguste Lumière, né le 19 octobre 1862 à Besançon et mort le 10 avril 1954 à Lyon, est un ingénieur, industriel, biologiste français, pionnier de la médecine humorale et illusionniste. Au cours des années 1894-1895, il participa avec son frère Louis à l'invention d'un appareil de prise de vues photographiques animées et de projection, le Cinématographe, qui rencontra un succès mondial.
Jeunesse
Auguste Marie Louis Nicolas Lumière est fils de l'industriel, peintre et photographe Antoine Lumière, né le 13 mars 1840 à Ormoy (Haute-Saône), et de Jeanne Joséphine Costille, née le 29 septembre 1841 à Paris. Il eut deux frères et trois sœurs : Louis (1864-1948), Jeanne (1870-1926), Juliette (1874-1924), France (1883-1924) et Édouard (1884-1917).
Formation
Après huit années passées à Besançon, Auguste déménage avec toute sa famille à Lyon. Il commence sa scolarité comme interne à l'institution Franklin puis entre en 1876 à La Martinière, école hautement réputée à l'époque pour former des scientifiques. Au sortir de La Martinière, Auguste envisagea très sérieusement d'entrer à l'École polytechnique mais la formation qu'il avait reçue ne comportait pas certaines matières dont la connaissance était obligatoire pour passer son baccalauréat et y postuler, telles le latin, la philosophie ou la littérature. Il prépara donc son baccalauréat tout seul, qu'il obtint en juillet 1879, grâce à un précepteur, un certain Perronet, étudiant en médecine. Il suivit ensuite un cycle de mathématiques spéciales au Lycée de Lyon (sic).
Des problèmes de santé obligèrent Auguste à interrompre ses études en 1881.
L'armée
Ainsi libéré de ses études supérieures, Auguste Lumière devance son appel au service militaire et fut incorporé le 11 novembre 1881 au 97e régiment d'infanterie de Chambéry, qu'il quitta un an plus tard, le 12 novembre 1882 avec le grade de sergent. Année sous les drapeaux pendant laquelle il faisait - dit-il - des croquis au crayon entre deux exercices. Ayant accepté de suivre une formation pour devenir officier de réserve, il fut nommé sous-lieutenant, affecté au 22e bataillon de chasseurs alpins, puis gravit quelques échelons pour devenir capitaine honoraire dans l'armée territoriale en 1912. Au titre de la réserve, le capitaine Auguste Lumière eut l'occasion d'organiser pour l'état-major de Lyon un service photographique, ancêtre du service cinématographique des armées (SCA, aujourd'hui ECPAD).
Dès l'entrée en guerre de la France en juillet 1914, Auguste Lumière demande aussitôt à reprendre du service. À la suite de son expérience de clinicien et de chercheur, et en tant qu'ancien administrateur des Hospices Civils de Lyon, il est affecté au Service de Santé de l'Hôtel-Dieu, chargé de la gestion du service radiographique, car il en connaissait déjà les équipements. De 1914 à 1918 plus de dix-huit mille radios de malades ont été effectuées, et leurs développements et tirages furent offerts par la Société Lumière. C'est pendant ces années passées à l'Hôtel-Dieu qu'Auguste Lumière énonça les lois de la cicatrisation, qui le conduisirent à inventer un pansement pour le traitement des brûlures qui eut un succès mondial considérable, le Tulle gras Lumière, encore commercialisé aujourd'hui. A partir de 1932, il apporta son aide aux différentes recherches menées par son confrère le docteur Jos Jullien de Joyeuse en Ardèche.
Mariage et descendance
Auguste Lumière épousa Marguerite Winckler (1874-1963) le 31 août 1893, dont la sœur Rose (1868-1925) avait épousé son frère Louis en février de la même année. Ils eurent deux enfants, Andrée (1894-1918), décédée de la Grippe espagnole lors de la célèbre pandémie qui fit trente millions de morts de par le monde selon l'Institut Pasteur, et Henri (1897-1971), aviateur et industriel, qui prit la succession de son père et de son oncle peu avant la Deuxième Guerre mondiale.
Carrière
Loi des développateurs
1883, c'est l'année de l'entrée dans la vie active, et Auguste Lumière commence tout naturellement à travailler dans la boutique de photographe de son père, avec son frère Louis. De son expérience et de ses recherches, il tirera en 1892 un énoncé de la Loi des développateurs (révélateur photo) :
« Pour qu'une substance de la série aromatique soit un développateur, il faut qu'il y ait, dans un même noyau, deux groupements hydroxylés {\displaystyle OH}OH ou deux groupements aminés {\displaystyle NH^{2}}NH^2, ou un hydroxylé et un aminé, en position ortho ou para. »
L'invention du Cinématographe
« C'est à la fin de l'été 1894, sur la demande de leur père émerveillé par le Kinétoscope d'Edison9 », qu'Auguste et Louis se lancent dans la recherche d'un mécanisme permettant de projeter des images photographiques animées devant un public. Lors d'un voyage à Paris en 1894, leur père Antoine avait assisté sur les grands boulevards à une démonstration de l'appareil de visionnement inventé par William Kennedy Laurie Dickson, l'assistant de Thomas Edison pour voir individuellement les premiers films réalisés par Dickson avec la première caméra de cinéma, le kinétographe, utilisant un support souple et résistant inventé par John Carbutt et commercialisée par George Eastman, qu'Edison avait eu l'idée de débiter en bobineaux de 35 mm de large, perforés sur les bords pour assurer l'entraînement intermittent par des rouleaux dentés. « Le cinéma, tel que nous le connaissons aujourd'hui, a commencé avec l'invention du kinétographe et du kinétoscope. Ces deux appareils représentent la première méthode viable de la cinématographie. » Antoine Lumière avait aussi eu l'occasion d'assister à une projection des premiers dessins animés du cinéma, peints directement par Émile Reynaud sur une pellicule de 70 mm de large. Les Lumière étaient persuadés qu'il leur fallait inventer une machine qui couplerait la pellicule photographique perforée du type Edison avec une projection sur grand écran devant un public assemblé, à la manière de Reynaud. Le 26 décembre 1894, un article du Lyon républicain rapporte que « les frères Lumière [...] travaillent actuellement à la construction d’un nouveau kinétographe, non moins remarquable que celui d’Edison et dont les Lyonnais auront sous peu, croyons-nous, la primeur. » Comme on le constate, le kinétographe Edison est encore la référence, puisque, d'un point de vue historique, il est le premier appareil de prise de vues cinématographiques. Mais l'invention des frères lyonnais va le supplanter. Auguste est le premier à développer leur projet avec un mécanicien des usines Lumière, Charles Moisson, et cet essai aboutit à un échec.
Son frère Louis reprend alors les recherches et, avec l'aide de l'ingénieur parisien Jules Carpentier, qui apporte de nombreuses transformations, il produit une première machine qu'Antoine Lumière veut baptiser « Domitor », mais qui sera finalement désignée sous l'appellation déposée de Cinématographe. Le choix de Jules Carpentier et des deux frères a été de réunir en une seule machine plusieurs fonctions, moyennant quelques accessoires : la prise de vues, la projection sur écran, le tirage des copies. Un triple dispositif que toute personne aisée peut acheter, contrairement au kinétographe, utilisé en exclusivité par Dickson et les opérateurs d'Edison, dont seuls les films déjà tournés sont à vendre avec une machine spécifique pour les visionner individuellement, le kinétoscope (l'utilisation du mot anglais film, qui signifie couche, voile, pour désigner les bobineaux de pellicule impressionnés est due à Edison). Louis va mettre son talent de photographe, hérité de son père, pour réaliser les premiers films Lumière qu'il baptise vues photographiques animées. Auguste apparaît dans plusieurs d'entre elles comme comédien amateur, ou plutôt comme sujet de ces petits reportages en un seul plan d'une cinquantaine de secondes chacun.
Au cours de l'année 1895, des projections privées sont organisées par la famille Lumière pour consulter le monde scientifique, puis c'est la célèbre première projection publique du 28 décembre au Salon indien du Grand Café à Paris, qui ne réunit qu'une poignée de spectateurs, et ensuite c'est le succès phénoménal du cinématographe qui provoque dans le monde l'émergence de nombreuses autres caméras déjà en gestation.
La vocation de biologiste
Comme il le dit lui-même dans son autobiographie, Auguste se désintéresse alors du cinéma ("j'abandonnais le problème à mon frère") et continue à se poser des questions sur les caractéristiques chimiques des développateurs, ce qui l'amena à créer un laboratoire de physiologie expérimentale et de pharmacodynamique pour orienter ses découvertes vers la médecine expérimentale. Ce seront les Laboratoires Lumière, construits 45 rue Villon à Lyon, dirigés par lui-même jusqu'au 25 octobre 1940, date à laquelle il passe la présidence de son entreprise à son fils Henri.
Auguste continuera à travailler avec passion jusqu'à sa mort en 1954, recherchant sans cesse des réponses aux Pourquoi de la Science.
Les années de guerre et de collaboration
« Sympathisant du régime de Vichy » selon Alexandre Moatti, « Auguste Lumière, comme son frère, adhère aux idées de la révolution nationale. C'est pour lui une véritable bouffée d'oxygène : la remise en cause des pouvoirs traditionnels qu'elle implique le séduit. Depuis vingt ans, lui aussi se bat contre le pouvoir établi, celui des académiciens [...] Auguste Lumière, alors âgé de 79 ans, reprend son antienne sur le "martyrologe des novateurs" qui pave l’histoire des grandes découvertes. » C'est alors qu'il publie en particulier Les Fossoyeurs du progrès, les mandarins contre les pionniers de la science, dans lequel il propose une réforme de l'Académie des sciences, sinon sa suppression, qu'il s'agirait de remplacer par un organisme chargé de « soutenir les artisans du progrès et de les protéger contre l’incompréhension et les bassesses de leurs concitoyens. » Moatti s'interroge à ce propos : « [la reconnaissance] que l’Académie d’avant 1940 ne lui a pas accordée, la révolution nationale de Vichy la lui apportera-t-elle ? En ce sens, les dérives idéologiques d’hommes ayant cherché vainement la reconnaissance de leurs travaux scientifiques ne peut-elle s’expliquer par un transfert vers le domaine de l’idéologie politique de leur envahissant besoin de reconnaissance – par exemple à la faveur d’une révolution qui peut favoriser un tel transfert, chez ces esprits déjà échauffés ? »
Nommé en 1941 au conseil municipal de Lyon, il est décoré de l'ordre de la Francisque comme son frère Louis et fait partie du comité d'honneur de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme, aux côtés de Fernand de Brinon, d'Abel Bonnard et d'Alphonse de Chateaubriant. Cependant, comme le relève Pascal Ory à propos de l'un comme de l'autre des frères Lumière, « pour un Lumière, un d'Arsonval, un Jean-Louis Faure, le stade d'une ou deux déclarations à la presse ne sera guère dépassé, même si la propagande sait en tirer le maximum. » Dans le même ordre d'idées, Paul Ariès relève à propos de sa participation au conseil municipal vichyste qu'« Auguste [écrit] à [son frère] Louis ne rien comprendre à ce qui se dit au sens propre mais peut-être aussi au sens figuré. »
Les publications de l'après-guerre
Auguste Lumière publia après-guerre un certain nombre d'autres ouvrages :
Aures habent et non audient, impr. c/o Laboratoires Lumière, 1950
La Recherche scientifique, Société d'édition d'enseignement supérieur, 1948.
Tuberculose. Contagion, hérédité, Imprimerie Léon Sézanne, 1930.
La maladie cette grande inconnue, 1949
Vérités de demain. Rhumatisme, Inflammation, Tuberculose, Cancer, Syphilis 2e édition 1951
Le Cancer et le secret de sa genèse, 1953
Mes travaux et mes jours, La Colombe, 1953
Créations
Enregistreur pour inscriptions continues d'analyses médicales inventé par Auguste Lumière en 1900.
Les différents établissements créés par Auguste Lumière ne disposaient pas toujours de tous les équipements nécessaires à leurs activités. C'est ainsi qu'il eut l'occasion d'inventer ou de perfectionner les systèmes suivants :
un enregistreur Lumière pour inscriptions en continu (ancêtre de l'électroencéphalogramme)
une pince pour remplacer une main amputée
un microscope néphélométrique
un dispositif en verre pour la récolte du plasma sanguin
un régulateur d'étuves
un appareil pour ouvrir les mâchoires des gros animaux
un appareil pour recueillir le sang des petits animaux
un appareil à contention pour injections dans la jugulaire chez le cobaye
un appareil à gavage
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Robert Hue, né le 19 octobre 1946 à Cormeilles-en-Parisis (Seine-et-Oise), est un homme politique français.
Il est secrétaire national (1994-2001) puis président (2001-2003) du Parti communiste français (PCF). Il se présente comme candidat communiste aux élections présidentielles de 1995 et de 2002.
Entre 1997 et 2017, il est parlementaire presque sans discontinuer (député de la 5e circonscription du Val-d'Oise, député européen, sénateur du Val-d'Oise). Il fonde en 2009 le Mouvement unitaire progressiste (MUP), parti de gauche associé à la majorité présidentielle de François Hollande.
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La Primaquatre est une automobile fabriquée par Renault juste avant la Seconde Guerre mondiale.
Description
Outre sa nouvelle calandre plate, la Primaquatre 1932 diffère du modèle de l'année précédente par sa carrosserie plus basse dotée de petites retouches qui modernisent insensiblement la ligne (par exemple : suppression du pare-soleil au-dessus du pare-brise). La carrosserie augmente de volume tout en conservant le même empattement, et de multiples petits réglages nouveaux rendent la Primaquatre plus agréable. La Primaquatre se distingue de la Monaquatre par ses pare-chocs à double lame.
Types
Première génération sur base de Monasix avec moteur de 11 CV 4 cylindres :
KZ6 : 1931
KZ8 : 1932
KZ10 : 1933
KZ18 : 1934
KZ24 : 1935
Seconde génération sur base de Celtaquatre avec moteur de 11 CV 4 cylindres :
ACL1 : 1936
ACL2 : 1937
BDF1 : 1938
BDF2 : 1939
BDS1 : 1940
BDS2 : 1941
Détails et évolutions
En 1940, les freins à câbles sont remplacés par des freins hydrauliques Lockheed.
Caractéristiques
Consommation :
Vitesse : 105 km/h
Puissance (fiscale) : 11 CV
Freins : à câbles sur tambours AV et AR
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Guerre (Sommaire) | |||||||||||||||||||||||||||
Armes utilisées (Seconde Guerre mondiale) : France | |||||||||||||||||||||||||||
Voitures utilisées (Guerre) : France | |||||||||||||||||||||||||||
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Le fusil modèle 1936 est adopté par l'armée française pour remplacer le Lebel modèle 1886/93 ainsi que les armes du système Berthier modèle 07/15M16 et 1892M16. Il était fabriqué par la Manufacture d'armes de Saint-Étienne. L'arme, utilisée pendant plus de cinq décennies, est appelée simplement MAS 36 par ses utilisateurs militaires.
Développement
À la fin du premier conflit mondial, la cartouche de 8 mm Lebel est considérée comme obsolète et une nouvelle cartouche est adoptée en 1924. Un nouveau programme d'armement est lancé avec comme priorité le développement d'un fusil mitrailleur succédant aux CSRG 1915 Chauchat.
Si le remplacement du FM Chauchat était jugé « prioritaire », l'armée française jugera la production d'un fusil neuf comme « prohibitif » et choisira un programme de « transformation » des armes en stock.
L'idée était valable en théorie mais s’avérera un échec, la conversion du fusil modèle 1886 M27 sera jugé comme trop compliquée et coûteuse et il faudra attendre 1934 pour voir le fusil 07-15 (dit Berthier) modifié pour chambrer la nouvelle cartouche. L'histoire n'est pas terminée car l'armée adoptera la transformation R35 applicable aux fusils 1886 « Lebel » et c'est finalement en 1936 qu'une arme moderne est adoptée. Celle ci est conçue pour être facile à produire et peu coûteuse, la première version comporte seulement 65 pièces.
De façon classique le fusil MAS36 est alimenté par un boitier-chargeur de type Mauser tout en possédant des caractéristiques parfaitement françaises.
La culasse est un exemple de simplicité : elle est à corps cylindrique avec levier d'armement coudé et comporte deux tenons de verrouillage dans sa partie arrière, un simple extracteur à griffe robuste, et ne se compose que de 5 éléments démontables :
le corps de la culasse ;
le bouchon arrière ;
le percuteur ;
le ressort du percuteur ;
l'extracteur (non démontable par l'utilisateur)
Une des autres caractéristiques de cette arme est de posséder une baïonnette cruciforme de type Lebel, celle-ci est rentrée dans un logement creusé dans le garde-main. On peut aussi noter l'absence de sûreté, car selon la doctrine française, ce fusil devait être approvisionné en munitions au tout dernier moment.
La crosse est relativement courte, la poignée épaisse, par rapport aux autres fusils, et bien adaptée aux besoins de l'époque. Les derniers descendants du système MAS 36, sont les fusils réglementaires de précision FR-F1 et FR-F2 pour tireurs d'élite (qui ont des pièces compatibles avec le MAS 36, notamment la culasse malgré son levier redessiné, ou la crosse parfaitement interchangeable), dont le lien de parenté avec leur aîné est indéniable.
Il fut remplacé à partir des années 1950 par le fusil semi-automatique MAS 49 puis par le MAS 49/56, pour les premières lignes, mais utilisé encore, après les années 1980 dans les troupes d'Outre-Mer et pour l'armement des unités de réserve de seconde ligne jusqu'à la disparition de la réserve générale de l'armée française après l'adoption du plan « Armées 2000 ». En 2010, des MAS 36 étaient toujours utilisés dans la Marine nationale comme FLA (Fusil Lance Amarre).
Versions et dérivés
Il existe huit versions du MAS 1936.
Les garnitures métalliques sont noires, cuites au four. Sa production date d'avant la Seconde Guerre mondiale. Son embouchoir est en métal usiné et comporte deux oreilles de protection pour le guidon qui permettent de l'identifier au premier regard.
C'est un MAS 36, doté d'un canon de calibre .22, que l'on utilise en chargeant le magasin avec des cartouches-relais utilisant un percuteur décalé transformant la percussion centrale en percussion annulaire et contenant une cartouche de calibre .22 long rifle. Cette transformation, si elle avait le défaut d'exiger l'emploi de ces coûteuses cartouches-relais, permettait d’entraîner les recrues au tir à répétition comme avec l'arme militaire en calibre 7,5 mm. La mise en service de cette arme fut retardée par l'entrée en guerre et ses exigences de fabrication. Les premiers exemplaires ne furent livrés que vers 1942 et servirent à l’entraînement de l'armée d'armistice. Après la guerre, l'armée française préféra utiliser pour l'instruction diverses carabines calibre .22 disponibles en quantité et plus économiques comme la Mauser/MAS 45 ou encore la « Falke modèle 36 »
Les garnitures métalliques sont phosphatées, vert olive. Sa production date d'après 1945. C'est la version la plus produite avec sa dérivée, le MAS 36/51. Son embouchoir est en tôle emboutie avec un tunnel de protection pour le guidon, tout comme la plaque de fond de magasin. Elle a équipé tous les régiments et formations de l'armée française à un moment ou à un autre, puis les troupes de réserve, le fusil MAS 49/56 étant affecté prioritairement aux régiments endivisionnés, à la gendarmerie, mais aussi à l'administration pénitentiaire…
Version munie d'une crosse repliable en aluminium adoptée en 1939 par les chasseurs alpins et les Groupes d'Infanterie de l'Air, précurseurs des régiments parachutistes. Le canon de 45 centimètres est plus court que sur le MAS 36 standard, et même la baïonnette en est raccourcie avec 290 millimètres seulement. Cette arme fut utilisée à Narvik pour la première fois en mai-juin 1940. Après 1945, elle fut distribuée aux troupes aéroportées combattant en Indochine et en Algérie, sa longueur réduite permettant de la fixer sur le dessus du parachute ventral pour les opérations. Toutefois, les utilisateurs lui préféraient l'USM1 semi-automatique aussi précise, quoique beaucoup moins puissante, reprochant au MAS 36 CR 39 un recul violent et désagréable au contact du métal de la crosse, aggravé par les températures négatives de certains théâtres d'opérations. Lors de la guerre du Golfe en 1990, les équipages des avions de transport de l'Armée de l'air, notamment sur C 160 Transall, eurent la surprise de percevoir leurs lots de survie où figuraient encore des MAS 36 CR 39 flambant neufs, avant leur remplacement par des carabines double express de fabrication française.
C'est un MAS 36 muni d'un canon renforcé avec marquage « G » et d'une alidade de visée permettant de tirer la grenade à fusil Modèle 1948, dérivée de l'obus empenné du lance-grenades de 50 MM modèle 1937. Il a été adopté en 1948 et employé en Indochine pour finir sa carrière en Algérie. Les derniers exemplaires en service furent remis au standard général du modèle 36 après 1962, lors du retrait des arsenaux des grenades à fusil modèle 1948.
Ce modèle est doté d'un canon étoffé et d'une alidade à deux inclinaisons, 45 et 90 degrés, rabattable et s'incluant dans le garde-main pour lancer des grenades à empennage aux normes OTAN ayant un tube de propulsion au diamètre de 22 mm, modèles F1 dans la nomenclature armée française, pour l'engagement en tir antipersonnel, antichar et d'exercice, en tir tendu et tir vertical. Certains exemplaires ont été équipés d'un manchon de type tromblon destiné au tir de lacrymogènes et fumigènes pour les opérations de maintien de l'ordre et figurent encore dans les registres d'armureries de la Gendarmerie et des Compagnies Républicaines de Sécurité. C'est pour ce modèle que les patins caoutchouc de crosse seront fabriqués par la MAS.
C'est un MAS 36 d'instruction au tir de calibre 22 Long Rifle fonctionnant sans nécessiter l'emploi de cartouches-relais, comme sur le MAS 36 calibre 5,5 de tir réduit (TR) fabriqué en petites quantités par la MAS pour l'armée d'armistice. Le MAS FUSTAN est une arme à un coup, dotée d'un canon lourd, sous lequel se trouve un tube pouvant être lesté pour servir de contrepoids. Il est équipé d'une hausse micrométrique à dioptre copiée sur la hausse Lyman n° 48. Cette arme a probablement été fabriquée à la MAS après guerre, en utilisant des pièces de présérie fabriquée par la section d'essai (SE) de la MAS, en vue de l'adoption d'un fusil d’entraînement en calibre .22 plus simple d'emploi que le MAS 36 calibre 5,5 T.R. : le MAS 36 au calibre 5,5 type S.E MAS 1942. Cette arme n'ayant jamais été adoptée, un petit lot de pièces restait disponibles, qui furent assemblées à la MAS sur commande de la Fédération des Unions et Sociétés de Tir d'Afrique du Nord (FUSTAN). Le nombre d'armes remontées fut probablement inférieur à 200, le numéro de série le plus élevé connu est 191. Beaucoup furent détruites lorsque les pieds noirs durent quitter hâtivement l'Algérie après les accords d'Évian. C'est donc une version très rare, les troupes françaises ayant délesté les rapatriés des quelques exemplaires sauvegardés à leur débarquement à Marseille.
Le fusil MAS 36 comporte une baïonnette cruciforme de type Lebel est rentrée dans un tube du garde main, sous le canon. Pour la fixer on la sort par le bouchon et on la retourne en encliquetant le bouchon dans le tube.
En cas de prise imminente par l'ennemi, le MAS 36 peut être neutralisé de manière quasi-définitive. Il suffit d'enlever les baïonnettes de deux MAS 36, de se faire face avec ces deux armes, d'en retourner une et d'enfiler les canons dans les logements de baïonnette de l'arme faisant face.
Ce système complète la destruction de la culasse, trop facilement remplaçable car très simple de fabrication.
Des trous ont toutefois été aménagés afin que les armuriers puissent quand même agir.
Le MAS 36 est une arme relativement courte si on la compare aux autres armes modernes en service à cette époque. Placé à côté d'un fusil M1 Garand, la différence est significative.
Afin de pouvoir amortir le recul lors de son adaptation au tir des grenades à fusil, un sabot de crosse en caoutchouc est fourni dans l'unité de conditionnement à partir de 1951. Des cales de cinq et dix millimètres pouvaient alors même être intercalées à l'intérieur du sabot afin d'adapter l'arme aux différentes morphologies des utilisateurs.
Il existe deux tailles de sabot de crosse qui comportent la mention MAS et l'année de fabrication. Il semble que le sabot de crosse réglementaire n'existe sous cette forme que pour le MAS.
Organes de visée
Les organes de visée semblent rudimentaires. Le guidon est un trapèze, presque un rectangle, entouré par deux oreilles ou par un tunnel, selon la version de l'arme. Le guidon est très peu dérivable, fixé au canon par un système de tenon-mortaise et souvent soudé à l'étain par l'atelier APC (Atelier Petit Calibre), armement petit calibre, pour éviter les déréglages dus aux manipulations subies par une arme en service, chute lors des séances d'ordre serré, par exemple...
La hausse réglable en hauteur et fixée sur l'arrière de la carcasse est une planchette avec une œilleton percé en son centre.
C'est en fait un système plus fiable et précis que celui du Mauser, du fait de l'allongement de la ligne de mire offerte au tireur.
La planchette de hausse d'origine est frappée d'un « N » pour neutre.
Lors des tirs d'essai, si le MAS tire trop haut, trop bas à droite ou à gauche, la planchette de hausse pouvait être remplacée en régiment par un armurier à l'atelier APC (Atelier Petit Calibre), aussi dénommé premier échelon, selon un tableau fourni par la MAS afin d’affiner la précision de l'arme.
Ce système est inédit et il faut le dire peu pratique. Toutes les autres armes, hormis le Carcano à visée fixe, sont réglables par le tireur, finement comme sur le Garand ou le Lee-Enfield ou plus grossièrement comme sur le Mauser ou le Mosin-Nagant.
Diffusion
En plus de la France (armée de terre, armée de l'air, Marine nationale, Gendarmerie), il était encore utilisé dans le milieu des années 1980, notamment comme arme d'instruction en école de gendarmes auxiliaires, les 1 200 000 fusils MAS 36 furent réglementaires dans les armées de nombreuses anciennes colonies françaises en Afrique (Algérie, Bénin, Cameroun, Centrafrique, Comores, Congo, Côte d'Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Guinée-Bissau, Madagascar, Maroc, Mauritanie, Niger, Sénégal, Seychelles et Tchad. De même, il a été fourni aux supplétifs levés au Cambodge, Laos et dans l'État du Viêt Nam lors de la guerre d'Indochine. Il se retrouva ainsi aux mains du Viêt Minh. Pendant la guerre du Viêt Nam, il termina sa carrière militaire indochinoise dans les rangs des frères ennemis du Viêtcong et de l'ARVN. De nos jours, rechambré ou avec un canon neuf, il fait la joie d'amateurs d'armes règlementaires françaises dans les stands de tir sportifs, avec l'apparition en 2006 de la discipline de Tir aux Armes Réglementaires (TAR) au sein de la Fédération Française de Tir.
De plus, dans le domaine de la chasse, l'armurier français Fournier a reconstruit des MAS 36 chambrés en calibre civil 7x54 à partir d'armes de surplus. Ces carabines de chasse étaient fabriquées en diverses finitions et profils, avec divers organes de visée, certaines sur commande. Leur utilisation est problématique car la cartouche 7x54 n'est plus fabriquée industriellement et les outils de rechargement ne sont disponibles que sur commande spéciale auprès de fabricants américains depuis la disparition de la marque française Lynx, ce qui complique encore le rechargement de ce calibre.
On ignore encore à ce jour le nombre exact de fusils MAS 36 de tous les types fabriqués par les Manufactures Françaises.
Données numériques
Munition : 7,5 mm 1929C
Longueur : 1,02 m
Canon : 57,5 cm
Masse du fusil vide : 3,7 kg
Masse du fusil chargée : 3,95 kg
Magasin : 5 cartouches
Munition : 7,5 mm 1929C
Longueur de l'arme : 88,3 cm
Longueur de l'arme crosse repliée: 62,5 cm
Longueur du canon : 45 cm
Masse du fusil vide : 3,745 kg
Masse du fusil chargé : 3,995 kg
Magasin : 5 cartouches
Munition : 7,5 mm 1929C
Longueur de l'arme : 1,02 m
Longueur du canon : 57,5 cm
Masse du fusil vide : 3,8 kg
Masse du fusil chargé : 3,92 kg
Magasin : 5 cartouches
Munition : 7,5 mm 1929C
Longueur de l'arme : 1,07 m
Longueur du canon : 62 cm
Masse du fusil vide : 4,22 kg
Masse du fusil chargé : 4,34 kg
Magasin : 5 cartouches
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La Celtaquatre est une automobile fabriquée par Renault de 1934 à 1938.
Le 26 avril 1934, une Celtaquatre tourne sur l'anneau de vitesse du circuit de Montlhéry pendant 6 heures, à la moyenne de 111,466 km/h.
Détails et évolutions
1934-1938 : moteur 4 cylindres de 1 463 cm3 à soupapes latérales, 30 ch, alésage - course 70×95 mm.
En mai 1934, est dévoilée la Celtaquatre. Elle était destinée à concurrencer la Traction Avant de Citroën.
Sa silhouette toute en rondeur lui valut le surnom de « Celtaboule ».
En 1935, des retouches sont apportées au capot, dont les parties latérales sont désormais décorées de joncs chromés horizontaux à la place des 3 volets.
Elles sont toutes proposées dans une livrée en bi-ton (les ailes étaient systématiquement peintes en noir, ce qui était courant à l'époque, par exemple chez Citroën). Un supplément de 400 francs est demandé pour une couleur unique.
En 1936, la Celtaquatre perd ses rondeurs et prend une forme plus aérodynamique. Apparition de deux nouveaux types de carrosserie : un cabriolet et un coach.
En 1937, la Celtaquatre reçoit une calandre en V d'inspiration américaine, que l'on retrouvera sur toute la gamme.
En 1938, apparition du pare-chocs à lames droites. Disparition du coupé.
1939 : la Celtaquatre laisse la place à la Juvaquatre.
Caractéristiques
Consommation : 8 litres aux 100 km
Vitesse : 100 km/h
Freins : à câbles sur tambours AV et AR
Batterie 6 V
Types
ZR1
ZR2
AEC1 (conduite commerciale)
ADC1
ADC2
ADC3
BCR
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