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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
La paulette, de son vrai nom droit annuel, était une taxe facultative qui permettait aux officiers qui la payaient de transmettre automatiquement leur office sous l'Ancien Régime français. Elle fut instaurée le 12 décembre 1604 sous le règne d'Henri IV de France. La paulette représente, au début du XVIIe siècle, 5 à 10 % des recettes de l'État.
Histoire
Ce mot tire son origine de son instigateur, Charles Paulet, secrétaire de la chambre du roi mais aussi le premier à qui la perception de ce droit fut affermée. À l'origine, cette mesure est une initiative de Maximilien de Béthune de Sully, Premier ministre du roi, initiative datant de 1602, mais qui n'aboutit qu'en 1604.
Avant la paulette, une charge revenait au roi à la mort de l'officier ou pouvait être cédée contre le paiement d'une taxe de résiliation, mais à condition que l'officier survive 40 jours à l'acte de résiliation. La paulette, qui se montait à un soixantième de la valeur de la charge, à verser annuellement au roi, supprimait la clause des quarante jours, facilitant la transmission par l'officier de sa charge à la personne de son choix, notamment des bourgeois à leurs enfants.
Les députés de la noblesse aux états généraux de 1614 demandèrent, sans succès, l'abolition de la paulette et le rachat des offices par le roi. Selon le romancier Robert Merle, cette hostilité de la noblesse à la paulette aurait découlé, lors de ces états généraux et postérieurement, de sa crainte d'être supplantée par la bourgeoisie
L'initiative de Mazarin et du surintendant Particelli de modifier les conditions financières du renouvellement de la paulette en 1648 est une des causes indirectes de la Fronde
Un édit de 1771 porta le droit annuel au centième de la valeur de l'office estimée par l'officier lui-même (la valeur « marchande » de l'office en somme), le centième denier, ce qui fit plus que doubler les recettes que le roi tirait de ce droit (plus de 3 600 000 livres). Au cours du XVIIIe siècle de nombreux offices furent exemptés : les membres des cours souveraines, les maîtres des requêtes, les intendants des finances et du commerce, les baillis et les sénéchaux, les grands-maîtres des eaux et forêts, etc.
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Une navette d'Eurotunnel à la sortie du tunnel sous la Manche, en France.
Le tunnel sous la Manche (en anglais, The Channel Tunnel ou Chunnel est un tunnel ferroviaire reliant le sud-est du Royaume-Uni (Angleterre) et le nord de la France, donc le réseau ferroviaire britannique au réseau européen. Composé de deux tubes latéraux parcourus par des trains, et d'un tube central de service plus petit, il est long de 50,5 kilomètres dont 38 percés sous la mer. Il est exploité par la société franco-britannique Eurotunnel, filiale de Getlink.
C'est actuellement le tunnel ayant la section sous-marine la plus longue du monde. Il est légèrement moins long que le tunnel du Seikan entre les îles de Honshū et Hokkaidō au Japon, mais comporte un tronçon plus long de 15 km que le tronçon sous-marin du tunnel du Seikan mesurant 23,3 km. En 1997, l'American Society of Civil Engineers (Association américaine des ingénieurs en génie civil) le désigne comme l'une des sept merveilles du monde moderne et, en 2013, la Fédération Internationale des Ingénieurs Conseils le désigne comme « projet majeur de Génie civil des 100 dernières années ».
Sa construction a été réalisée par TransManche Link (TML), consortium de dix entreprises de travaux publics (cinq britanniques et cinq françaises). Il est inauguré le 6 mai 1994 et ouvert au service commercial depuis le 1er juin 1994.
Le service navette d'Eurotunnel permet la traversée des véhicules routiers et de leurs passagers sur des trains adaptés, en environ 35 minutes. La traversée des voyageurs sans véhicule est assurée par des trains Eurostar, de type TGV et conçus spécialement pour cette ligne. À l'origine du projet du tunnel, il était aussi prévu la circulation de trains de nuit. Des voitures-lit (voitures « Nightstar ») ont été conçues et construites pour ce service mais elles n'ont jamais été utilisées pour cela (elles ont été revendues à l'opérateur canadien Via Rail Canada).
Le tunnel à ses deux extrémités est relié :
au réseau autoroutier (A16 en France et M20 en Angleterre) et routier ;
au réseau de chemin de fer « classique » (autre que celui à grande vitesse) pour les trains de fret et côté britannique pour les trains Eurostar avant l'ouverture de la LGV britannique ;
au réseau de chemin de fer à grande vitesse (LGV Nord côté français et High Speed 1 côté britannique) pour les trains à grande vitesse.
La LGV britannique est en voie normale (1 435 mm), avec un gabarit large et moderne, européen, permettant au fret en gabarit GC, (gabarit des nouvelles lignes grande vitesse en Europe) d'être transporté jusqu'au point kilométrique de Barking. La ligne est électrifiée en 25 kV AC.
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Eleanor Roosevelt tenant la version anglaise de la DUDH en novembre 1949.
La Déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH) est adoptée par l’Assemblée générale des Nations
unies le 10 décembre 1948 à Paris au palais de Chaillot par la résolution 217 (III) A. Elle précise les droits fondamentaux de l'homme. Sans véritable portée juridique en tant que tel, ce texte est une proclamation de droits, par conséquent il n'a qu'une valeur déclarative.
Cinquante États sur les 58 participants devaient adopter cette charte universelle. Aucun État ne s'est prononcé contre et seuls huit se sont abstenus. Parmi eux, l'Afrique du Sud de l’apartheid refuse l'affirmation au droit à l'égalité devant la loi sans distinction de naissance ou de race ; l’Arabie saoudite conteste l’égalité homme-femme. La Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie et l'Union soviétique (Russie, Ukraine, Biélorussie), s'abstiennent, quant à eux, en raison d'un différend concernant la définition du principe fondamental d’universalité tel qu'il est énoncé dans l’article 2 alinéa 1. Enfin, les deux derniers États n'ayant pas pris part au vote sont le Yémen et le Honduras.
Le texte énonce les droits fondamentaux de l’individu, leur reconnaissance, et leur respect par la loi. Il comprend aussi un préambule avec huit considérations reconnaissant la nécessité du respect inaliénable de droits fondamentaux de l'homme par tous les pays, nations et régimes politiques, et qui se conclut par l’annonce de son approbation et sa proclamation par l’Assemblée générale des Nations unies.
Le texte du préambule et de la déclaration est inamovible. Sa version en français, composée de 30 articles, est un original officiel, signé et approuvé par les membres fondateurs de l'Organisation des Nations unies, et non une traduction approuvée.
Genèse et rédaction
De 1946 à 1948, les délégués des Nations unies se sont consacrés à l'élaboration de la Déclaration. Créée en 1946 par le Conseil économique et social, la Commission nucléaire des droits de l’homme a fixé comme principal mandat de la nouvelle Commission des droits de l’homme l’élaboration d’une charte internationale.
Au début de l’année 1947, lors de sa première session, la Commission des droits de l’homme a établi un Comité de rédaction. Initialement composé de la présidente, Eleanor Roosevelt, du vice-président, P.C. Chang, et du rapporteur, Charles Malik, le Comité de rédaction sera élargi dans un second temps. Il se compose des membres suivants :
Eleanor Roosevelt, 1884-1962, États-Unis, présidente du Comité de rédaction ;
P. C. Chang, 1893-1957, Chine, vice-président du Comité de rédaction ;
Émile Saint-Lot (en), 1904-1976, Haïti, rapporteur du Comité de rédaction. La lecture de la DUDH a été faite pour la première fois devant l'assemblée générale de l'ONU par son rapporteur, Émile Saint-Lot ;
William Roy Hodgson, 1892-1958, Australie, membre de la Commission des droits de l'homme ;
Hernán Santa Cruz, 1906-1999, Chili, membre de la Commission des droits de l'homme ;
René Cassin, 1887-1976, France, membre de la Commission des droits de l'homme ;
Alexandre Bogomolov, 1900-1969, URSS, membre de la Commission des droits de l'homme ;
Charles Dukes (en), 1880-1948, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, membre de la Commission des droits de l'homme ;
John Peters Humphrey, 1905-1980, Canada, directeur de la Division des droits de l'homme des Nations unies.
Le Comité de rédaction se réunit pour sa première session du 9 au 25 juin 1947, puis pour une deuxième session du 3 au 21 mai 1948. Le projet de Déclaration rédigé par le Comité et transmis pour discussion à la Commission des droits de l’homme, puis au Conseil économique et social, et enfin à l’Assemblée générale. De nombreux amendements et propositions seront encore proposés par les États membres de l’ONU au sein de ces différents organes.
Structure
La structure qui sous-tend la Déclaration apparaît dans sa seconde version préparatoire, élaborée par René Cassin.
Se démarquant du premier jet de John Peters Humphrey, simple liste de droits conforme au modèle du Bill of Rights de nombreux États américains, ce texte commence par un préambule « à la manière française ». Il consacre ensuite ses premiers articles à l'énoncé de principes généraux, destinés à guider l'interprétation des dispositions détaillées qu'ils précèdent, imitant sur ce point le Code civil français, dont les six premiers articles répondent au même objectif.
Cette structure a par ailleurs été comparée par René Cassin à celle du portique d'un temple grec : une succession de considérations comparables à des marches, quatre colonnes constituées par les droits individuels, familiaux, sociaux et politiques et un fronton unifiant l'ensemble dans une même vision de l'humanité, composé des trois derniers articles du texte.
Précurseurs possibles
Certains affirment que la première déclaration des droits de l'homme connue serait celle transcrite sur le cylindre de Cyrus, rédigé par Cyrus le Grand, fondateur de l'Empire perse en l'année 539 av. J.-C.
Certains auteurs, tels Norberto Bobbio, affirment que la Déclaration de 1948 trouve ses sources dans l'émergence du droit naturel, des théories du contrat social (en particulier celle de Locke) et dans l'individualisme qui aurait remplacé l'holisme des communautés antérieures. Il y aurait ainsi une filiation directe entre le jusnaturalisme de certaines philosophies du siècle des Lumières, et l'adoption de documents comme la Déclaration des droits anglaise, la Déclaration des Droits américaine et la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen française. D'autres soulignent toutefois des divergences considérables entre les « théories contractualistes » (Hobbes, Locke et Rousseau — théories qui d'ailleurs divergent entre elles, Hobbes et Rousseau pouvant être assimilés au positivisme juridique) et la formulation de la Déclaration de 1789.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, les alliés adoptèrent les « quatre libertés » : la liberté d'expression, la liberté de religion, la liberté de vivre à l'abri du besoin et la liberté de vivre à l'abri de la peur, comme leurs buts fondamentaux dans ce conflit. La Charte des Nations unies réaffirme la « foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine », et engage tous les États membres à promouvoir « le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion. »
Lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent connues, après la Seconde Guerre mondiale, le consensus au sein de la communauté internationale était que la Charte ne définissait pas suffisamment les droits auxquels elle faisait référence. Une déclaration précisant les droits des individus était nécessaire afin de renforcer les dispositions de la Charte sur les droits de l'homme.
Portée juridique
Après avoir voté la Déclaration universelle des droits de l'homme, qui n'a, en tant que telle, qu'une valeur déclarative, et ne crée donc pas d'obligations juridiques, l'Assemblée générale a souhaité une Charte des droits de l'homme qui aurait force obligatoire. La Commission des droits de l'homme de l'ONU a été chargée de la rédiger. Après de longues négociations, le projet a abouti, dans le contexte de la guerre froide avec deux textes complémentaires : le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Le Conseil constitutionnel français n'accorde pas de statut juridique positif à la Déclaration de 1948, bien que celle de 1789 soit intégrée au bloc de constitutionnalité depuis 1971. En revanche, d'extension géographique moindre, la Convention européenne des droits de l'homme comporte des dispositions contraignantes pour les États signataires.
Par ailleurs, l'article 29.1 de la DUDH évoque les devoirs de la personne : sur ce point, voir l'article Droits de l'homme.
Traduction de la Déclaration universelle des droits de l'homme
Le texte de la Déclaration universelle des droits de l'homme s’est vu décerner par le Livre Guinness des records en 2009, le record mondial de traduction, avec 370 langues et dialectes différents21. En 2019, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme dénombre 518 traductions, disponibles sur son site internet. Bien que le HCDH s'efforce de sélectionner les traductions officielles ou les meilleures traductions disponibles, et de produire de nouvelles traductions dans des langues de grande diffusion, le HCDH émet néanmoins comme réserve, la qualité et l'exactitude des traductions autres que celles effectuées dans les six langues officielles de l’ONU : anglais, arabe, chinois, espagnol, français, russe.
Critiques
Trois critiques principales sont faites à cette Déclaration.
D'une part, celle qui concerne l'effectivité des droits de l'homme, et qui s'intéresse aux garanties juridiques positives, ou à l'absence de celles-ci. Cette critique a par exemple été formulée par Jeane Kirkpatrick, représentante permanente des États-Unis auprès des Nations unies de 1981 à 1985, qui mettait sur le même plan la Déclaration et la lettre au père Noël.
D'autre part, une autre critique porte sur l'universalité supposée de ces droits de l'homme. Celle-ci rejoint parfois celle-là, ainsi lorsque les pays du Sud dénoncent une application et un intérêt à géométrie variable pour les droits de l'homme, en fonction des pays, des puissances et des conflits. Dans ce dernier cas, ce n'est pas le principe de l'universalité des droits de l'homme qui est contesté en tant que tel, comme peuvent le faire les tenants d'un relativisme culturel radical, mais plutôt l'application différenciée supposée de ceux-ci.
Enfin, le texte passe sous silence la peine de mort. L'article 5 mentionne seulement que Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Par ailleurs, les droits liés à la liberté de la presse et la protection des sources d'information des journalistes y sont moins développés que dans d'autres textes, comme la Convention européenne des droits de l'homme et son célèbre article 10.
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Le comédien, humoriste et musicien juif d’Algérie a succombé, samedi, à une « longue maladie ». Il était âgé de 87 ans.
Comédien, humoriste et musicien juif d’Algérie, Robert Castel est mort samedi 5 décembre, à l’âge de 87 ans. Il est « décédé à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière » (AP-HP), à Paris, des suites d’une « longue maladie », a annoncé sa famille. Robert Moyal, de son vrai nom, était connu pour être le père de l’humour « pied-noir ».
Il s’était notamment fait connaître avec la pièce de théâtre La Famille Hernandez, un enchaînement de scènes de vie algéroises. Cette pièce permet à la métropole de découvrir le folklore et les expressions typiques des pieds-noirs.
Prévu initialement pour quinze représentations, la spectacle fait rire aux larmes le public parisien. Robert Castel interprétera, finalement, « Robert le Bègue » plus de 1 700 fois.
Arrivé à Paris en 1962
Né le 21 mai 1933 à Bab El-Oued, il est le fils de Lili Labassi, l’un des maîtres du chaâbi, musique aux sonorités arabo-andalouses et aux rythmes berbères, typique de ce quartier populaire d’Alger. Robert Castel apprend le tar (le tambourin traditionnel), la guitare, et l’accompagne dans ses concerts.
Instituteur, puis critique musical après ses études de lettres, il rejoint, en 1957, le centre régional d’art dramatique d’Alger, où il rencontre deux apprenties humoristes, Lucette Sahuquet et Marthe Villalonga, avec qui il montera La Famille Hernandez, la même année.
En 1962, il quitte définitivement l’Algérie nouvellement indépendante et s’installe à Paris avec Lucette Sahuquet, qu’il épouse. Le couple inaugure cette année ses sketchs en duo, notamment à l’Olympia où ils enchaînent les premières parties de Frank Sinatra, Marlene Dietrich et Philippe Clay.
Dans les années 1970, l’humoriste, vif et provocateur, multiplie les sketchs télévisés avec sa partenaire fétiche ou encore Enrico Macias.
Pour le grand écran, ce comédien brun, au front dégagé, qui parle avec les mains, abandonne son registre de prédilection. Principalement cantonné à des seconds rôles, il cumule les apparitions, aux côtés d’Edith Piaf dans Les Amants de demain de Marcel Blistène, de Pierre Richard dans Le Grand Blond avec une chaussure noire d’Yves Robert, ou d’Isabelle Huppert dans Dupont Lajoie d’Yves Boisset. Il tourne au total dans plus d’une trentaine de films, jusqu’au début des années 2000.
Retour sur la scène musicale en 2007
Il se fait discret quelques années avant de retrouver la scène, cette fois-ci musicale, en 2007 grâce au projet El Gusto, un orchestre de musiciens juifs pieds-noirs et arabes algériens, réunis pour faire revivre le chaâbi, passé au second plan derrière le raï et le rap.
Apparu dans les années 1920, ce genre mêle la musique arabo-judéo-andalouse, la tradition de la poésie orale et les rythmes berbères. Il a battu son plein dans les années 1940-1950, dans la basse Casbah, autour de la grande synagogue, à Bab El-Oued, au port, où se côtoyaient Arabes, juifs, Kabyles, Maltais, Espagnols, Italiens…
En 2008, Robert Castel signe son autobiographie, Je pose 75 [son âge], mais je retiens tout. Il remonte sur scène en 2013 pour présenter son dernier one-man-show, Nostalgérie. Après la mort de son épouse en 1987, il s’était remarié. Il n’avait pas d’enfant.
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Liane Foly, de son vrai nom Éliane Falliex, est une chanteuse, actrice, imitatrice et animatrice audiovisuelle française née le 16 décembre 1962 dans le 7e arrondissement de Lyon.
Les parents d'Éliane, commerçants en Algérie arrivent en métropole en 1962 avec la communauté pieds-noirs. Ils s'installent à Lyon, près du quartier de Perrache, où ils tiennent le commerce La droguerie du sourire. Liane Foly apprend le piano, le solfège et la danse classique dès l'âge de 5 ans, et, à 12 ans, chante dans l'orchestre familial Black And White, avec ses parents (son père en est le producteur, sa mère fait les costumes), son frère Philippe à la batterie et sa sœur Corinne l'aînée de 4 ans au piano (devenue depuis professeur de piano).
Elle continue ensuite à chanter dans les boîtes de nuit et les bars de sa région. Rapidement, son goût pour le blues et le jazz se développe.
En 1975, Liane Foly remporte son premier concours de chant en interprétant un morceau de Karen Cheryl. Elle décide alors d'en faire son métier après avoir passé son bac.
En 1984, elle est repérée par un jeune auteur, Philippe Viennet, et par le pianiste lyonnais André Manoukian, qui lui proposent d'écrire pour elle et d'enregistrer une maquette. Liane Foly et André Manoukian, qui est également son pianiste, compositeur et producteur attitré, vivent ensemble de 1984 à 1995. Éliane devient Liane Foly en 1986.
Après un long travail, elle arrive à Paris en 1987 et obtient un rendez-vous avec Fabrice Nataf, le directeur artistique et patron de Virgin France. C'est lui qui la lance.
En 1995, après sa séparation d'avec André Manoukian, elle a recours à la chirurgie esthétique pour améliorer son visage. En 1996, elle se lie avec son manager Laurent B. Souffir, qui compose pour elle une vingtaine de chansons et l'accompagne sur scène en tant que batteur jusqu'en 2000. Ils s'installent à Londres, mais se séparent en 2002.
En 2003, elle se marie avec Augustin Decré, puis divorce en 2007. Elle quitte alors Londres et revient s'installer à Paris.
Après la sortie de l'album Le goût du désir, en 2008, Liane Foly se lance dans une carrière d'imitatrice et d'humoriste, laissant de côté les projets musicaux. Elle se produit dans deux one woman shows : La Folle Parenthèse puis La Folle part en Cure.
En mars 2015, Liane Foly repart en tournée avec de nouvelles chansons annonciatrices d'un nouvel album. Cet album, baptisé Crooneuse, sort en mars 2016.
En août 2017, Liane Foly participe à l'émission 3 jours dans les pas d'un berger diffusée sur C8.
À partir du 4 septembre 2017, Liane Foly est aux commandes d'une quotidienne, l'après-midi, sur Sud Radio.
À l'automne 2019, elle participe à la dixième saison de l'émission Danse avec les stars sur TF1, aux côtés du danseur Christian Millette, et termine dixième et dernière de la compétition
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1966 : Love Me, Please Love Me
1968 : Le Bal des Laze
1971 : Polnareff's
1974 : Michel Polnareff
1975 : Fame à la mode
1978 : Coucou me revoilou
1981 : Bulles
1985 : Incognito
1990 : Kâmâ Sutrâ
2018 : Enfin !
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L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing est mort
L'ancien président de la République de 1974 à 1981 avait été hospitalisé à Tours le 17 novembre dernier pour «une insuffisance cardiaque». Il s'est éteint à l'âge de 94 ans, entouré des siens.
L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing est décédé ce mercredi soir à l'âge de 94 ans, a annoncé son entourage. Il est décédé mercredi soir «entouré de sa famille» dans sa propriété d'Authon dans le Loir-et-Cher.
L'ancien chef de l'Etat avait été admis dans «le service de cardiologie» de l'hôpital de Tours le 17 novembre dernier pour «une insuffisance cardiaque», avait alors indiqué son entourage. En septembre, l'ancien chef de l'Etat avait déjà été hospitalisé à l'hôpital Georges Pompidou, à Paris, pour «une légère infection aux poumons». VGE avait déjà été hospitalisé à plusieurs reprises à l'hôpital Georges Pompidou il y a quelques années, en cardiologie pour la pose de stents.
Plus jeune président de la Vème République lorsqu'il est élu en 1974, Valéry Giscard d'Estaing avait fait l'une de ses dernières apparitions publiques le 30 septembre 2019 lors des obsèques à Paris d'un autre président de la République, Jacques Chirac, qui fut son Premier ministre de 1974 à 1976.
Incarnation de la modernité triomphante
Valéry Giscard d'Estaing n'a que 48 ans lorsqu'il accède à l'Élysée en 1974, battant sur le fil François Mitterrand, et devient ainsi, dans une France qui enterre les Trente-Glorieuses et digère mai-68, le premier non-gaulliste à s'emparer de l'Élysée. Il se voulait alors l'incarnation d'une modernité triomphante, issue du centre-droit libéral et démocrate-chrétien qui a bâti l'Europe d'après-guerre
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Polytechnicien et énarque, issu d'une grande famille bourgeoise, VGE était entré au gouvernement dès 1959, multipliant les postes ministériels à l'Économie et aux Finances dans les années 60 et 70. Cependant, le 10 mai 1981, il échoue à se faire réélire face à François Mitterrand. Européen convaincu, il prend en 2001 la tête de la Convention pour l'Europe, chargée de rédiger une constitution européenne, qui sera rejetée par référendum. Économiste brillant, auteur de plusieurs ouvrages, il a été élu en 2003 à l'Académie français
Notes et références |
VGEB Valéry Giscard d'Estaing |
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Décès brutal de Christophe Dominici
Par Midi Olympique
Il y a 6 heures
Mis à jour Il y a 3 heures
CARNET NOIR - A seulement 48 ans, l'ancien ailier et légende du XV de France Christophe Dominici (65 sélections) est décédé brutalement ce mardi. Un choc terrible pour l'ensemble du rugby français, et planétaire.
L'information a commencé à se faire savoir, en milieu d'après-midi. Christophe Dominici, légende du XV de France avec lequel il disputa 67 rencontres dont la mythique demi-finale de Coupe du monde en 1999 face aux All Blacks, est décédé ce mardi à seulement 48 ans. Selon l'AFP, l'ancien joueur se serait suicidé dans un parc de Saint-Cloud, dans la proche banlieue parisienne. Un choc pour l'ensemble du rugby français tant « Domi », génie imprévisible de ce jeu, est entré dans l'imaginaire collectif comme l'homme qui, du haut de ses 1,72m et 82kg, était capable de contredire les logiques physiques de ce jeu et renverser des montagnes.
Ses exploits, il les accomplit sous le maillot de Toulon (1993-1997), dont il était originaire, mais surtout du Stade français (1997-2008) dont il est indissociable des années « Max Guazzini », cinq titres de champion de France à la clé.
Béziers, dernier dossier médiatique et destructeur
Garçon attachant et engagé, parfois à l'excès, il était revenu sur le devant de la scène cet été, lors de l'épisode biterrois et de la vraie-fausse reprise du légendaire club héraultais par des investisseurs Emiratis que Dominici devait représenter. Un projet dans lequel il s'était personnellement engagé, en première ligne pendant plusieurs mois avant qu'il ne soit retoqué par la DNACG (le gendarme financier de la Ligue). Dominici, qui avait mal vécu cet épisode, avait depuis pris du recul et demeurait injoignable.
Son décès est un choc terrible pour l'ensemble du rugby français et planètaire. Resteront ces images, éternelles, où il file seul à l'essai au nez et à la barbe de Néo-Zélandais médusés, en 1999.
A sa famille et à ses proches, Midi Olympique et Rugbyrama adressent leurs plus sincères condoléances et leur soutien infaillible.
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