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Monde : France

Libération de Paris : La percée de la 2e DB et l'entrée

Publié à 01:54 par dessinsagogo55 Tags : histoire femme chez saint place center sur annonce france homme centerblog merci monde nuit blogs
Libération de Paris : La percée de la 2e DB et l'entrée

Deux soldats de la 2e DB font feu en direction de tireurs embusqués allemands et de miliciens pro-allemands qui ont tenté, sans succès, de libérer des prisonniers allemands. Ceux-ci sont étendus morts dans la rue.

 

La charge vers Paris

 

image

Les traces des combats de la libération de Paris encore visibles sur les murs de l'École des mines, côté boulevard Saint-Michel.


 

Initialement, le général Eisenhower souhaite après le débarquement réussi foncer sur l'Allemagne en contournant Paris. Convaincu par de Gaulle et les services secrets alliés de l'importance symbolique de la capitale (la ville devant être libérée par des Français) mais aussi stratégique (soutien de l'insurrection contre les Allemands de la capitale qui constituent une menace sur les flancs de l'armée alliée), le commandant en chef des forces alliées donne l'ordre dans la soirée du 22 août au général Leclerc et sa 2e DB de marcher sur Paris. Le jour même en début d'après-midi, ce dernier a pris l'initiative (ce qui confine à l'insubordination puisqu'il désobéit à son supérieur le général Gerow) de diriger vers Versailles un détachement de sa division, le groupement Guillebon.

 

À partir de ses positions d'Argentan l'audacieuse attaque française se fait, sans soutien aérien allié, sur 200 km en contournant par le sud les fortes positions allemandes placées à l'ouest de Paris, au milieu d'un enthousiasme populaire indescriptible qui gêne les combattants. C'est que, depuis deux mois, Paris attend les Américains, malgré la propagande de Radio-Paris qui annonce la victoire allemande en Normandie (« Radio-Paris ment, Radio-Paris est allemand » dit la BBC), et soudain derrière l'ennemi qui reflue en désordre dans la banlieue, on voit les trois couleurs sur les tourelles des Sherman M4. À la surprise initiale succède une indicible fierté, la foule envahit les rues, on monte sur les chars, partout les drapeaux fleurissent, la rumeur se propage jusqu'à Paris : « Les Français, ce sont des Français de Leclerc ! »

 

 

image

Impacts de balles sur le mur de l'hôtel de la Marine (côté rue Saint-Florentin) laissés lors de l'assaut sur le QG allemand situé dans l’hôtel Meurice, rue de Rivoli.

 



image

Panneau Histoire de Paris devant le no 9 du boulevard du Palais.

 

Les combats en banlieue sont sévères mais les soldats de la 2e DB qui combattent sans dormir pendant deux jours et deux nuits ne peuvent être ralentis par les points d'appui allemands. La vive résistance allemande est culbutée, sans souci des pertes importantes chez les Français, et les éléments de la 2e DB du capitaine Dronne entrent dans Paris par la porte d'Italie et la porte d'Orléans le 24 août 1944 : la 9e compagnie du régiment de marche du Tchad (surnommée la Nueve, car essentiellement constituée de républicains espagnols) est forte de 15 véhicules blindés (11 half-tracks4 véhicules22) précédés par 3 chars du 501e RCC et va se poster en renfort des FFI devant l'Hôtel de Ville, le 24 août à 21 h 22, pendant que les policiers parisiens actionnent le bourdon de la cathédrale Notre-Dame, malgré la garnison allemande encore puissante de 16 000 à 20 000 hommes ; en attendant le gros de la 2e division blindée.

 

La Nueve est connue pour la participation à la libération de Paris, puisque les hommes de la Nueve, précédés par 3 chars du 501e RCC, furent les premiers à entrer dans la capitale française, au soir du 24 août 1944 avec des halftracks portant les noms de batailles de la guerre d'Espagne, « Teruel », « Guadalajara », accompagnée de 3 chars du 501e RCC, Montmirail, Champaubert et Romilly, et d'éléments du génie.

 

Le lieutenant républicain espagnol Amado Granell est le premier « libérateur » à être reçu dans l'hôtel de ville par Georges Bidault, président du Conseil national de la Résistance. La 4e division d'infanterie américaine entre par la porte d'Italie le 25 août.

 

Les jeunes membres de la Section motorisée du 16e arrondissement, mise sur pied et commandée par Jean-Gérard Verdier, ont contribué à guider les blindés dans la capitale (ils se feront reconnaître et s'intégreront séparément aux unités rencontrées, leur apporteront renseignement et éclairage sur les points de résistance allemands, et participeront à leurs côtés aux combats de la Libération de Paris, notamment de l'Étoile, des Invalides et de l'École militaire). Guidés par les résistants, les Alliés atteignent la rue de Rivoli malgré de sérieux combats en pleine ville. Les chars français détruisent des Panzers allemands et des colonnes blindées à plusieurs reprises au cours de duels au canon.

 

 

 

image

Chasseur de chars M10 Wolverine du RBFM, boulevard Raspail.


 

Après la blessure du capitaine Jacques Branet qui commandait le détachement qui remontait la rue de Rivoli, l'état-major allemand est fait prisonnier par les Français sous le commandement du lieutenant Henri Karcher qui convoie ensuite le général von Choltitz à la préfecture de Police. Le nouveau préfet de police, Charles Luizet, y reçoit à déjeuner le général Leclerc ; le cessez-le-feu est ensuite signé par Leclerc et von Choltitz, dans la salle de billard des appartements préfectoraux.

 

La signature de la capitulation des troupes nazies est faite à la gare Montparnasse le 25 août, avec le contreseing du colonel Rol. Malgré tout, des combats sporadiques continuent, en particulier du fait des unités SS qui refusent la capitulation du général von Choltitz, menaçant de fusiller les officiers « traîtres » de la Wehrmacht qui leur commandent la reddition.

 

Le 25 août, lors de la libération de Paris, Yvon Morandat, avec sa future femme Claire, prend possession de l'hôtel Matignon au nom du gouvernement provisoire. Le même jour, Charles de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République française, arrive à Montparnasse, puis se rend au ministère de la Guerre rue Saint-Dominique ; après une halte à la préfecture de police, il se rend à l'Hôtel de Ville où il prononce un discours à la population dont un extrait est resté célèbre : « Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! Mais Paris libéré ! ». Georges Bidault lui demande de proclamer la République. De Gaulle refuse : « La République n'a jamais cessé d'être ! Vichy fut toujours et demeure nul et non avenu ».

 

Pendant plusieurs jours, la population parisienne est partagée entre la peur et l'enthousiasme. Les combats se poursuivent en banlieue nord, vers Le Bourget et la forêt de Montmorency, où la 47e Division d'infanterie allemande, venue du Pas-de-Calais, tente de freiner l'avance alliée. À Paris même, des tireurs isolés, Allemands ou miliciens, sont signalés à plusieurs reprises. Le 26 août, un défilé de la victoire sur les Champs-Élysées est organisé. La foule joyeuse salue les forces de Leclerc. La messe d'action de grâces à Notre-Dame est perturbée par une fusillade, car des résistants croient (peut-être à tort) avoir aperçu des tireurs embusqués. Dans la nuit du 26 août peu avant minuit, la Luftwaffe lance un ultime raid en guise de représailles, qui touche surtout le nord et l'est de Paris. Les bombes incendiaires font de 189 à 200 morts. La commune de Bagneux est également touchée, ainsi que la ville de Sceaux qui compte deux morts.

 

De nombreuses rumeurs ont par ailleurs couru, dans les jours qui ont suivi la Libération, sur la présence de tireurs miliciens embusqués, restés sur place y compris après le départ des Allemands. Le gros des miliciens avait quitté la capitale quelques jours avant les premiers combats, leur chef Joseph Darnand ayant ordonné un repli général. On ignore combien de miliciens, demeurés dans la capitale, ont pris part aux combats : Darnand avait déclaré à Ribbentrop avoir laissé 200 miliciens à Paris ; l'historienne Michèle Cointet met en doute ce chiffre, dans lequel elle voit des « paroles de fanfarons ». Il est possible que certains des tirs attribués à des miliciens embusqués aient été en réalité l'œuvre de groupes de résistants qui, dans la confusion générale, se seraient tiré les uns sur les autres. De Gaulle qualifiait quant à lui la rumeur sur les « tireurs des toits » miliciens de « tartarinade », exploitée par les communistes qui auraient ainsi voulu maintenir un état de vigilance armée contre les « ennemis de l'intérieur ». Il n'en est pas moins vrai que plusieurs FFI et policiers seront ainsi blessés et plusieurs de ces tireurs arrêtés.

 

Appui des Alliés

 

image

Affiche du comité parisien de la Libération concernant le pavoisement des bâtiments aux couleurs des Alliés, fac-similé, musée de l'Ordre de la Libération.


 

Au sud de Paris, les troupes alliées ont assuré la couverture du flanc droit de la 2e DB. Le général américain Barton fut affecté avec sa 4e DIUS avec, en plus, un groupe de reconnaissance US, le 102nd Cavalry Reconnaissance Squadron (MECZ)

 
 
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Libération de Paris : Insurrection populaire

Publié à 01:30 par dessinsagogo55 Tags : sur center france place png annonce centerblog merci monde blogs pouvoir
Libération de Paris : Insurrection populaire

Résistants français tirant sur les Allemands au cours de la bataille pour Paris.

 

 

La résistance parisienne est commandée par Rol-Tanguy, responsable régional des FFI pour l'Île-de-France depuis son poste de commandement de la rue de Meaux (il s'installe le 20 août sous la place Denfert-Rochereau) et par le colonel Lizé (de son vrai nom, Jean de Marguerittes), chef des FFI de la Seine (dont le PC est installé 1 rue Guénégaud, tout près de l'hôtel de la Monnaie). Jacques Chaban-Delmas est le délégué militaire national du gouvernement provisoire ; il accueillera le général Leclerc. Le « colonel Fabien », commandant le premier régiment des FFI de Paris, siège au no 34 rue Gandon (13e arrondissement) et au no 12 rue de l'Abbé-de-L'Épée (5e arrondissement).

 

 

image

Combat en milieu urbain lors de la bataille pour Paris. Un char d'assaut capturé tire sur une position de tireur embusqué.

 

 

L'occupant se trouve en position défensive, une division SS est mise en mouvement vers Paris pour renforcer l'armée allemande. Il est à prévoir qu'elle obéira sans état d'âme aux ordres de destruction de Hitler : von Choltitz a fait venir un bataillon de pionniers de la Luftwaffe pour miner les points majeurs de la ville.

 

 

La Résistance est pauvrement équipée (elle n'a même pas de liaison radio avec l'extérieur) mais enthousiaste. Avec l'annonce de l'avance rapide des Alliés sur Paris depuis la victoire de la Poche de Falaise, les cheminots se mettent en grève le 10 août, suivis par le métro de Paris, la gendarmerie le 13 août. La police se met en grève le 15 août, suivie des postiers le jour suivant. Ils sont rejoints par d'autres ouvriers de la ville quand la grève générale éclate le 18 août. Le jour même dans l'après-midi, Rol-Tanguy fait apposer les affiches d'appel à la mobilisation des Parisiens et au déclenchement de l'insurrection. En représailles, les forces d'occupation tuent 35 membres de la Résistance au bois de Boulogne.

 

 

image

Scène montrant deux Parisiens (peut-être des FFI) récupérant l'arme d’un soldat allemand qui vient d’être tué près de Notre-Dame.

 

 

Le 19 août au matin, deux mille policiers résistants s'emparent de la Préfecture de Police, hissent le drapeau tricolore sur la Préfecture et sur Notre-Dame, et engagent le combat avec les Allemands. Rol-Tanguy, qui passe par hasard à vélo, les affiches cachées dans sa sacoche, est pris au dépourvu. Il se fait difficilement reconnaître et vient prendre leur commandement. Dans la matinée, les policiers sont enrôlés dans les FFI. Le lendemain, sous l'impulsion de Léo Hamon, ils prendront l'Hôtel de Ville. Des barricades sont dressées, entravant les mouvements des véhicules allemands, et des escarmouches ont lieu contre les forces allemandes d'occupation, épaulées par des membres de la Milice restés à Paris malgré le repli général des miliciens quelques jours plus tôt. Les combats, violents et dispersés dès le 19, atteignent leur maximum le 22. De sérieux combats ont lieu, en particulier à la préfecture de police, au Sénat, au Grand Palais, autour de l'Hôtel de Ville... Les FFI encerclent les îlots de défense allemands.

 

Une brève trêve est conclue dès le 19, qui permet à chacun des camps, soit d'évacuer la capitale pour les Allemands, soit de conforter ses positions, pour la Résistance.

 

En marge des évènements de la capitale, des accrochages et embuscades sont organisés par des partisans et résistants en banlieue parisienne.

 

Les insurgés, faute de munitions, n'auraient pas pu tenir longtemps : la résistance intérieure envoie en mission le commandant Cocteau (« Gallois »), chef d'état-major du colonel Rol-Tanguy, auprès du général Patton pour signaler aux Américains que la moitié de la ville est libérée le 23, mais que la situation des résistants est critique. Devant cette situation, ayant obtenu l'accord de de Gaulle, qui rappelle à Eisenhower sa promesse faite à Alger en décembre 1943 que la libération de Paris serait confiée à une unité française, le général Leclerc force la main aux Américains en donnant l'ordre de marche sur Paris aux éléments de reconnaissance de sa 2e division blindée française. Le général américain Gerow, supérieur hiérarchique de Leclerc, est furieux, considérant cela comme une insubordination.

 

Eisenhower, doutant de pouvoir retenir les Français, finit par accepter et envoie la 4e division d'infanterie américaine du général Barton en renfort.

 
 
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Libération de Paris : Situation stratégique allemande

Publié à 01:08 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog center monde homme blogs sur vie france
Libération de Paris : Situation stratégique allemande

Hotchkiss H35

 

 

Les ordres de Hitler prévoyaient la destruction des ponts et monuments de Paris, la répression impitoyable de toute résistance de la part de la population et de combattre dans Paris jusqu'au dernier homme pour créer un « Stalingrad » sur le front de l'Ouest immobilisant ainsi plusieurs divisions alliées. Mais le général von Choltitz n'a pas les moyens de résister réellement. La garnison allemande est forte de 16 000 hommes, mal équipés, aux unités disparates (unités administratives, par exemple) de faible valeur combative, 80 chars (dont certains datent des prises de guerre de l'été 1940, comme des chars Renault FT d'un « autre âge ») et autant de pièces d'artillerie, pour certaines désuètes. La retraite des débris de la 7e armée allemande qui se replie sur la Somme est couverte par de petites unités de circonstance équipées de matériels modernes, canons antichars et Panzers, et qui marquent des coups d'arrêt. La résistance parisienne est cependant encore plus mal équipée.

 

Si les ponts et un certain nombre de bâtiments stratégiques sont effectivement minés dès le 21 août par les soldats du génie allemand (813. Pionierkompanie appuyée par la 177. Pionierkompanie) commandés par le capitaine Werner Ebernach, cet officier ne reçoit pas l'ordre de destruction de la part du Q.G. de Choltitz. Le 24 août au soir, il organise la retraite en bon ordre de son unité, ne laissant qu'une section de sapeurs pour assurer l'exécution de l'ordre de destruction final. L'ordre de destruction ne vint jamais. Parmi les conjectures expliquant ce geste considéré comme une trahison par Hitler, le fait que l'officier des transmissions qui était de service le soir, le sous-lieutenant Ernst von Bressensdorf, ait détourné les télégrammes urgents du Führer des 22 et 23 août au soir pour ne les remettre au général que le lendemain matin, un acte reconnu aujourd’hui comme une désobéissance volontaire de la part d'un jeune officier particulièrement francophile, l'entremise du consul suédois Raoul Nordling qui aurait exposé au général von Choltitz l'inutilité et l'inhumanité de son acte, et les calculs personnels de von Choltitz qui, conscient des déficiences du Führer, prépare son après-guerre en mettant à l'abri sa famille et en essayant d'épargner au maximum à la fois la vie des soldats allemands sous ses ordres et le patrimoine culturel parisien

 

 
 
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Libération de Paris : Contexte

Publié à 01:04 par dessinsagogo55 Tags : center sur merci france monde blogs centerblog
Libération de Paris : Contexte

 

Plaque commémorative de la libération de Paris, apposée au troisième étage de la tour Eiffel.

 

Les forces alliées progressent vers l'est, les généraux américains Dwight D. Eisenhower et Bradley, engagés dans les combats de la poche de Falaise, prévoient de contourner Paris pour ne pas être ralentis dans leur progression, notamment au niveau logistique, la libération des 4 millions d'habitants parisiens nécessitant 4 000 tonnes de vivres par jour. Le général Bradley écrit dans ses mémoires à propos de la capitale française : « La ville n'avait plus aucune signification tactique. En dépit de sa gloire historique, Paris ne représentait qu'une tache d'encre sur nos cartes ; il fallait l'éviter dans notre marche vers le Rhin ». Les Overlord forecasts (prévisions Overlord) ont pour cible principale le bassin de la Ruhr où se concentre l'industrie lourde allemande, la libération de Paris étant prévue pour fin octobre.

 

Marie-Pierre Kœnig, commandant en chef des Forces françaises de l'intérieur (FFI), prépare une insurrection afin de limiter l’effet de l'installation de l'AMGOT, redouté par le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF).

 

Peu avant, depuis le 1er août, les Polonais ont commencé l'insurrection de Varsovie, circonscrite par la Wehrmacht dès le surlendemain de son déclenchement.

 

 
 
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Libération de Paris

Publié à 00:30 par dessinsagogo55 Tags : sur centerblog merci center france monde blogs cadre
Libération de Paris

 

 

La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale eut lieu du 19 au 25 août 1944, marquant ainsi la fin de la bataille de Paris. Cet épisode a lieu dans le cadre de la Libération et met un terme à quatre années d'occupation de la capitale française.

 

 
 
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Porte-jarretelles

Publié à 04:55 par dessinsagogo55 Tags : femmes création femme mode coup france merci sur centerblog bleu center ange affiche film
Porte-jarretelles





Le porte-jarretelles est un sous-vêtement féminin. Pièce de lingerie, il s'apparente à une ceinture entourant la taille ou reposant sur les hanches. Il est muni de paires de jarretelles (le plus souvent 2 ou 3), avec des petites attaches en plastique ou en métal aux extrémités, servant à soutenir les bas « simples ». Il est parfois associé sans raison au port de bas dits auto-fixants.


Une légende, lancée par l'écrivain et dessinateur Jacques Lob (il faisait un canular) dans le magazine Pilote puis plus tard dans L'Écho des savanes, en attribue la paternité à Gustave Eiffel. En réalité, c'est en 1876 que Féréol Dedieu, corsetier, tente de remettre au goût du jour un système d'attache des bas en vogue sous Louis XIV... pour des raisons médicales. En effet, les jarretières posaient des problèmes de circulation du sang à certaines femmes. Jugé inesthétique, il fut tout d'abord boudé. Lorsque la mode imposa le corset qui s'ornait de jarretelles pour soutenir les bas, ce furent tout d'abord les Anglaises qui l'adoptèrent à partir de 1893.


Paul Poiret, grand couturier français des années 1930, contribuera à donner au porte-jarretelles ses lettres de noblesse. L'affiche du film L'Ange bleu sur laquelle on voit Marlène Dietrich vêtue de bas dans une pose provocante contribua également à lancer cette pièce de lingerie. Mais les privations de la Seconde Guerre mondiale et l'absence de bas portent un coup d'arrêt à son développement. Après la guerre, les Américains répandent les bas nylons. Marcel Rochas crée la guêpière. La mode change et le porte-jarretelles a mauvaise réputation, devenant le signe de reconnaissance de la prostituée. Pendant les années 1960, la minijupe s'accommode plutôt du collant, plus pratique et moins voyant.


Dans les années 1970, Chantal Thomass, entre autres, réintroduisit la lingerie sexy et sophistiquée pour les femmes élégantes. Les années 1980 sont celles du redémarrage du porte-jarretelles.


Certains films, à l'instar de L'Ange bleu où Lola-Lola montre ses jarretelles, contribuent à populariser cet accessoire. On peut citer Lunes de fiel dans lequel Emmanuelle Seigner apparaît en talons aiguilles, bas et porte-jarretelles sous un imperméable. Ou encore Talons aiguilles où les hommes qui se travestissent en femme commencent toujours par mettre un porte-jarretelles. Et également Brigitte Bardot dans le film En cas de malheur où son personnage d'Yvette soulève sa jupe dans le bureau de Jean Gabin et ses jaretelles apparaissent subrepticement.


Le porte-jarretelles regagne depuis quelques années la faveur des jeunes femmes, surtout depuis la vague de la mode porno chic ainsi que le New burlesque. En France 10 à 15% des femmes déclarent en porter. Sa présence fréquente dans les rayons des supermarchés, et non plus exclusivement dans les boutiques de lingerie, en est la démonstration.


Le serre-taille et la guêpière sont deux pièces de lingerie proches du porte-jarretelles.


Jusqu'à l'apparition du collant, à la fin des années 1960, la fonction du porte-jarretelles est utilitaire. Depuis lors, il est porté dans un but de séduction ou d'érotisme et est devenu un puissant symbole de féminité. De nos jours, les femmes qui utilisent le porte-jarretelles sont généralement reconnues pour leur charme, leur élégance, leur raffinement, voire leur sophistication.


Associé à la volonté de séduction de celles qui le portent, le porte-jarretelles est l'objet de fantasmes, voire de fétichisme de la part de beaucoup d'hommes.


Une jarretelle est un ruban élastique muni d'une pince à l'une de ses extrémités et servant à fixer les bas à la gaine ou au porte-jarretelles.


L'utilisation veut que la culotte soit porté par dessus l'ensemble porte-jarretelles/bas afin de faciliter l'usage des toilettes sans avoir à démonter le tout.


La jarretelle est une modernisation de la jarretière, pièce de vêtement très ancienne : au XIVe siècle, il existait un Ordre de la Jarretière ; plus récemment, dans certaines régions, il existait une tradition de la jarretière de la mariée.


À l'origine, un serre-taille (« Waspie » ou « Waist cincher ») est un petit corset permettant de maintenir la taille et le ventre, voir de donner une taille de guêpe, sans prendre le buste, et dépourvu de jarretelles. Il n'avait pas fonction de soutenir la poitrine.



De nos jours, par extension, un serre taille ou galbe taille est un porte-jarretelles, avec une ceinture haute, se portant au dessus des hanches. Devenu plus confortable par l'utilisation de baleines en plastiques et l'absence de busc rigide (un simple renfort en tissu ou plastique peut le remplacer), il permet malgré tout d'affiner la taille et maintenir le ventre. Pourvu de 2 à 3 paires de jarretelles, des modèles comportent jusqu'à 6 paires.


La vague du shapeware et du New burlesque a poussé certains fabricants de lingerie à proposer systématiquement ce type de modèle dans leurs gammes de produits, en plus du porte-jarretelles ou de la guêpière.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Porte-jarretelles

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
Description   Porte jarretelles
   
   
Création   Porte-jarretelles
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Dessin   Marivaux : Une femme qui n'est plus coquette
   
 
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Bataille du Cateau

Publié à 20:28 par dessinsagogo55 Tags : blogs mort center marne centerblog prix sur merci france place saint sport centre
Bataille du Cateau

 

 

La bataille du Cateau a lieu le 26 août 1914, au cours de la retraite menée par les troupes britanniques et françaises, à la suite des batailles de Mons et Charleroi. Elle oppose les troupes du 2e corps d'armée britannique aux troupes de la Ire armée allemande. En grande infériorité numérique et matérielle, les troupes britanniques bloquent pendant douze heures l'avancée de la Ire armée allemande au prix de lourdes pertes.

 

Disposition des troupes

 

En opposition aux ordres de retraite donnés par French, Smith-Dorrien, le commandant du 2e corps d'armée britannique décide de combattre les Allemands. La bataille se déroule dans une plaine ondulée parsemée de villages, traversée par une route rectiligne de Cambrai au Cateau. Cette route coupe le champ de bataille du nord-ouest au sud-est au Cateau. Une seconde route relie le Cateau à Saint-Quentin dans un axe nord-sud.

 

L'aile droite britannique est formée par la 5e division d'infanterie. La 14e brigade se place au sud du Cateau tandis que la 13e brigade se trouve le long de la route de Saint-Quentin. Le centre du dispositif est tenu par la 3e division d'infanterie, les 7e8e et 9e brigades situées respectivement à Caudry, Audencourt et Inchy au sud de la route Cambrai - Le Cateau. La 4e division d'infanterie tient l'aile gauche, les 10e11e et 12e brigades sont placées à Haucourt, Longsart et Fontaine-au-Pire. À l'extrême gauche du dispositif britannique est présent la 84e division d'infanterie territoriale française et le corps de cavalerie Sordet qui couvrent la ville d'Arras. L'extrême droite du dispositif britannique est formée par le 1er corps d'armée britannique en retraite.


Le 
IIIe corps d'armée allemand (de), formé des Ve et VIe divisions d'infanterie, se trouve face au Cateau. Le IVe corps d'armée (de) composé des VIIe et VIIIe divisions est placé au centre du champ de bataille, le IIe corps de cavalerie formé de trois divisions et une division du IVe corps d'armée de réserve sont face à l'aile gauche britannique.

 

Intention

 

En choisissant de combattre, Smith-Dorrien souhaite ralentir la progression et la pression de la Ire armée allemande sur le Corps expéditionnaire britannique. De son côté, Von Kluck, voit dans cette bataille la possibilité d'envelopper et de détruire la moitié des troupes britanniques.

 

La bataille

 

À l'aube du 26 août, une attaque allemande sur la gauche du dispositif britannique échoue. Durant la matinée, le centre du champ de bataille reste calme, malgré un bombardement d'artillerie réalisé par la VIIIe division d'infanterie et la IVe division de cavalerie.

 

Les troupes allemandes concentrent alors leurs attaques sur la droite du dispositif britannique. Deux compagnies des Suffolks chargées de la liaison avec le 1er corps d'armée britannique rencontrent les troupes du IIIe corps d'armée allemand (de) et doivent se replier sur Le Cateau rejoignant la 14e brigade. Les troupes allemandes s'infiltrent le long de la route Le Cateau - Saint-Quentin et commencent un pilonnage meurtrier des King’s Own Yorkshire Light Infantry et les Suffolks de la 5e division d'infanterie britannique. Des renforts d'artillerie de la 15e brigade et d'infanterie de Manchesters et des Argylls sont envoyés sur l'aile droite britannique. Malgré de lourdes pertes les Britanniques tiennent toujours leur position, mais en milieu de journée la Ve division du IIIe corps d'armée allemande commence à produire son action et tente d'envelopper l'aile droite britannique.

 

En début d'après-midi, le 2e corps d'armée britannique entame un mouvement de retraite par échelon, en commençant par l'aile droite. Malheureusement les King’s Own Yorkshire Light Infantry et les Suffolks ne sont pas prévenus à temps et sont détruits. Les batteries d'artillerie sont retirées canon par canon, ceux ne pouvant être transportés sont alors sabotés.

 

Sur l'aile gauche, la VIIe division du IVe corps d'armée allemand de réserve tente de déborder les troupes britanniques. Les troupes des 3e et 5e division de cavalerie du corps de cavalerie Sordet interviennent en utilisant l'artillerie et des escadrons à pieds pour ralentir l'enveloppement allemand et permettre aux Britanniques de se replier dans de bonnes conditions. Vers 18 heures, les troupes britanniques ne sont plus en contact avec l'armée allemande. Elle se retirent vers Saint-Quentin.

 

Bilan

 

Cette bataille est très coûteuse en hommes pour l'armée britannique. Des 40 000 Alliés ayant combattu au Cateau, 7 812 sont blessés, tués ou fait prisonniers. Plusieurs régiments britanniques sont anéantis. De plus, 38 pièces d'artillerie sont perdues. La bataille du Cateau permet néanmoins de ralentir la progression de la Ire armée allemande et aux troupes britanniques de reprendre leur retraite. Cette dernière est ponctuée par une autre bataille d'arrêt, la bataille de Guise avant de s'achever le 6 septembre par le début de la bataille de la Marne.

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_du_Cateau

 
Notes et références                                                    
   
   
    Première Guerre mondiale : France (Sommaire)
   
    26 août : Événements
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Bataille de Valmy

Publié à 20:12 par dessinsagogo55 Tags : center mort blogs monde sur centerblog merci france sport histoire
Bataille de Valmy

 

 

La bataille de Valmy, également appelée bataille ou affaire du camp de la Lune, est la première victoire décisive de l'armée française pendant les guerres de la Révolution ayant suivi le renversement de la monarchie des Bourbons. Elle eut lieu le 20 septembre 1792 lorsqu'une armée prussienne, commandée par le duc de Brunswick, essaya de marcher sur Paris. Les généraux François Christophe Kellermann et Charles François Dumouriez réussirent à arrêter l'avancée prussienne près du village de Valmy, situé à l'est de Paris, en Champagne-Ardenne.

 

En ces premiers mois des guerres de la Révolution — plus tard appelée guerre de la Première Coalition —, le nouveau gouvernement français était presque sans légitimité ; par conséquent, la victoire à Valmy devint une victoire psychologique décisive pour la Révolution et ses partisans. L'issue de la bataille est considérée comme « miraculeuse » et est présentée comme une « défaite décisive » de l'armée prussienne. Après la bataille, la jeune Convention nationale est suffisamment revigorée pour proclamer l'abolition de la monarchie en France dès le lendemain 21 septembre, et l’avènement de la Première République. Valmy permet donc à la Révolution de s'établir, et est ainsi considérée comme l'une des batailles les plus décisives de l'Histoire

 
 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Valmy

 
Notes et références                                                    
   
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Raymond Barre

Publié à 02:20 par dessinsagogo55 Tags : sur france saint homme mort centre center centerblog merci prix
Raymond Barre

 

 

Raymond Barre, né le 12 avril 1924 à Saint-Denis (La Réunion) et mort le 25 août 2007 à Paris, est un économiste, universitaire et homme d'État français.

 

Professeur d'université, il est vice-président de la Commission européenne, chargé de l'Économie et des Finances, de 1967 à 1973.

 

En janvier 1976, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, il est nommé ministre du Commerce extérieur du premier gouvernement Jacques Chirac, puis devient Premier ministre. Il met en œuvre une politique monétaire visant à réduire la pression de la monnaie sur les prix et une politique budgétaire stricte du fait de la hausse de la dette. Il démissionne après la victoire de François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1981.

 

Candidat de l'UDF à l'élection présidentielle de 1988, pour laquelle il est un temps donné favori dans les sondages, il arrive finalement en troisième position avec 16,5 % des suffrages exprimés, derrière Jacques Chirac et François Mitterrand. Il est député du Rhône de 1978 à 2002 et maire de Lyon de 1995 à 2001.

 

Classé au centre droit et proche de l'UDF, Raymond Barre est l’une des rares personnalités politiques contemporaines à avoir occupé d'aussi hautes fonctions sans jamais avoir été membre d'un parti politique.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Raymond_Barre

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Jean-Marc Thibault

Jean-Marc Thibault

 

 

Jean-Marc Thibault est un acteur, réalisateur et scénariste français né le 24 août 1923 à Saint-Bris-le-Vineux (Yonne) et mort le 28 mai 2017 à Marseille 7e. Il a connu la célébrité à travers son duo comique avec Roger Pierre.

 

Biographie

Carrière

 

Fils de Gaston Thibault, cuisinier, et de Louise Silventon, il fait ses études secondaires au lycée Voltaire à Paris. Après le cours Simon, Jean-Marc Thibault fait ses classes dans les bals musettes. Il joue aussi des sketches dans les cabarets : sa première apparition au cinéma a lieu en 1944 dans Premier de cordée de Louis Daquin.

 

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il forme avec Roger Pierre un duo comique qui dure trois décennies. Les deux compères font les beaux soirs des cabarets parisiens comme le Caveau de la RépubliqueLe Tabou (1947), L'Amiral (1949-55), Chez Carrère (1950), Chez tonton (1951) avant de fouler les planches (l’Olympia de 1954 à 1957, l’Alhambra de 1958 à 1962) et de s'emparer des studios de télévision, se produisant notamment dans des émissions de télévision populaires comme 36 chandelles présentée par Jean Nohain, puis dans celles de Maritie et Gilbert Carpentier. Cette association donne naissance à d'innombrables spectacles et à cinq longs métrages : La vie est belle, en 1956, Vive les vacances, en 1958, Les Motards, en 1959 (avec également Francis Blanche), Un cheval pour deux, en 1961, et Faites donc plaisir aux amis en 1969. Habitué des comédies populaires, Jean-Marc Thibault tourne notamment, en 1955, dans Les Assassins du dimanche d'Alex Joffé, Les Baratineurs, en 1965, de Francis Rigaud. Plus tard, en 1978, Yves Boisset l'engage dans La Femme flic, aux côtés de Miou-Miou, et Jean Marbœuf pour Vaudeville.

 

Roger Pierre et Jean-Marc Thibault ont régulièrement présenté l'émission Les Grands Enfants diffusée de 1967 à 1970, émission de divertissement à laquelle ont participé un grand nombre d'humoristes de l'époque : Jacqueline Maillan, Jean Poiret, Michel Serrault, Jacques Martin, Sophie Desmarets, Roger Carel, Francis Blanche, Jean Yanne, Maurice Biraud et Marcel Amont.

 

De 1985 à 1993, Jean-Marc Thibault se consacre à la télévision, où il joue notamment dans la série télévisée à succès Maguy, qui se déroule au « Vézinet », pour faire allusion à la ville du Vésinet dans les Yvelines mais où la série n'a jamais été tournée, avec, entre autres, Rosy Varte et Marthe Villalonga, mais aussi dans son célèbre rôle de Pierrot avec Claude Jade et Valérie Karsenti dans La Tête en l'air, dont le scénario est écrit par son épouse, Sophie Agacinski.

 

Le comédien revient au cinéma en 2001 avec deux longs métrages : De l'amour de Jean-François Richet et Vidocq de Pitof. Puis, en 2002, il tourne dans Féroce de Gilles de Maistre aux côtés de Samy Naceri, film qui traite de la montée de la droite nationale en France, et enchaîne téléfilms sur téléfilms (quatre pour la seule année 2003). Son comparse de toujours, Roger Pierre, qui était son cadet de six jours, est mort à l'âge de 86 ans le 23 janvier 2010.

 

Il meurt à son tour le 28 mai 2017 à l'âge de 93 ans, à Marseille. Ses obsèques ont eu lieu le 12 juin 2017 en l'Église Saint-Roch dans le 1er arrondissement à Paris en présence de Lionel Jospin et de nombreuses personnalités du monde du spectacle. Il est par la suite incinéré.

 

Vie privée et engagements

 

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Jean-Marc Thibault épouse Madeleine. Ils restent mariés vingt ans et ont trois enfants : Xavier, Frédéric et Anne. Au cours d'un tournage, en 1965, il rencontre la comédienne Sophie Agacinski, qu'il épouse le 9 juillet 1983 et dont il a un fils, Alexandre. Elle est la sœur de Sylviane Agacinski, épouse de Lionel Jospin, ce qui inspira à Cabu un dessin dans Le Canard enchaîné suivant la victoire de Jospin et du PS aux législatives de 1997, intitulé Passation de pouvoir chez les beaufs, où l'on voyait Roger Hanin, célèbre beau-frère de François Mitterrand, serrer la main de Jean-Marc Thibault, les deux entourés de photographes de presse et de micros empressés.

 

En 2002, Jean-Marc Thibault voit l'arrivée au second tour de l’élection présidentielle de Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national et de l'extrême droite, se hissant devant son beau-frère Lionel Jospin. Jean-Marc Thibault venait alors justement de tourner dans le film Féroce, de Gilles de Maistre, qui traite de la montée de l'extrême droite en France.

 

En mai 2017, au second tour de l'élection présidentielle en France, il vote pour l'ancien ministre Emmanuel Macron, contre Marine Le Pen, candidate du Front National.

 

Jean-Marc Thibault est le père de Xavier Thibault et Frédéric Thibault, directeurs du Grand Orchestre du Splendid, et d'Alexandre Thibault, comédien et réalisateur, né en 1968.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Thibault

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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