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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Hervé Cristiani, né le 8 novembre 1947 à Neuilly-sur-Seine et mort le 16 juillet 2014 dans le 15e arrondissement de Paris, est un auteur-compositeur-interprète français.
Il est surtout connu pour son succès populaire de 1981 : Il est libre Max.
Biographie
Hervé Cristiani naît à Neuilly-sur-Seine le 8 novembre 1947. Au collège Sainte-Marie de Monceau à Paris, il est cancre de la 11e à la terminale. Sa présence indispensable à la chorale a pesé en sa faveur pour ne pas être renvoyé. Il aime à dire que ses véritables études ont commencé le jour où elles se sont terminées.
Durant son adolescence, quand il ne joue pas de la guitare, Hervé Cristiani lit beaucoup et s’intéresse à la physique théorique, à l’histoire, aux religions et à la littérature. Il joue également au tennis et fait même de la compétition. Influencé par le blues et le folk dès ses débuts, il est réfractaire à la chanson française de l'époque et n'apprécie guère les yéyés tels que Claude François, Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan mais est fasciné par la soul de Ray Charles, Marvin Gaye et Aretha Franklin.
À 25 ans, il fréquente l'American Center de Paris, un creuset de la contre-culture et plateforme d'expérimentations inter-artistiques où s’exprime notamment toute une série d'artistes américains de passage. Bon guitariste, il partage alors la scène avec ses amis Marcel Dadi, Dick Annegarn, Bill Deraime, Jacques Higelin, Maxime Le Forestier et consorts, tous à cette époque aussi inconnus que lui.
En parallèle, Hervé Cristiani fréquente aussi Le Petit Conservatoire de la chanson de Mireille. Une forte complicité s'installe entre ces deux perfectionnistes, qui durera jusqu’à la mort de cette dernière. Cette période sera celle des premières apparitions télé et radio et dans la foulée, il sort son premier 45 tours chez AMI Records, Quand j'ai peur d'aimer / Le palais du roi, bientôt suivi d'un second avec Dick Annegarn : La femme fleur, chanson humoristique inspirée par Georges Wolinski.
Contrairement à ce qui est mentionné dans son livre, pour satisfaire les éditeurs et protéger la personne intéressée, c'est en remportant un pari dans une partie de poker contre un directeur artistique de la maison de disque Polydor qu'il obtient de ce dernier la promesse de pouvoir enregistrer un premier 33 tours. Ce sera Au pays de Mélodie (1975), premier album concept d'Hervé Cristiani dans la lignée de cette époque (Pink Floyd, Genesis, etc.). On retrouve déjà son monde fait de petits riens, qu'il développera au fil des ans. Parmi les titres : Dans les étoiles noires, Au pays de Mélodie, Flapie la défonce… Les albums et les tournées — souvent en compagnie de Francis Cabrel — s'enchaînent ensuite avec des fortunes diverses. La semi-réussite commerciale de Au pays de Mélodie pousse Polydor à produire un second album concept l'année suivante : Campanules (1976) dont le succès sera confidentiel.
En 1979, Hervé Cristiani quitte Polydor pour WEA et sort un nouveau disque, Récréation, qui comprend entre autres Madame Michu, Marylou et Le plombier, mais qui ne se vendra malheureusement pas mieux que le précédent.
Hervé Cristiani était membre de la Grande Loge nationale française
En 1980, à l'issue d'un spectacle minimaliste donné à la cour des Miracles au pied de la tour Montparnasse à l'occasion de la sortie de son 45 tours Rock 'n roll star/J'peux pas m'en empêcher, il interprète pour la première fois une chanson dans laquelle il compose le portrait d'un être imaginaire regroupant toutes les qualités qu'il affectionne et qu'il prénomme « Max ». Cette chanson, Il est libre Max, est très appréciée par le public et Cristiani la rode quelque temps lors d'un tour de chant donné au Théâtre de la Potinière. Elle deviendra d'ailleurs le titre d'un nouvel album publié cette fois chez RCA en 1981. Mais ce succès ne suffit pas à convaincre sa maison de disques qui préfère promouvoir Attila le Hun et L'igloo pour un premier single. Il réussit néanmoins à imposer ce titre pour le 45 tours suivant qui connaîtra un succès retentissant et le chanteur rencontre enfin le grand public. Cette chanson aurait d'ailleurs été reprise par les manifestants lors de la chute du régime Ceaușescu en Roumanie en décembre 1989. Hervé Cristiani raconte avoir été réveillé en pleine nuit par l'appel téléphonique d'un journaliste qui désirait lui faire entendre en direct sa chanson chantée par les manifestants.
Chanson emblématique de l'artiste, ce 45 tours s'est vendu à plus de 500 000 exemplaires et a connu d'innombrables adaptations, notamment par Gérard Lenorman, Vincent Delerm, Antoine, les Enfoirés, une reprise reggae par R.I.C. (Roots Intention Crew), une Urban Mix par le duo Da One, etc. Après ce succès et la sortie d'albums qui ne rencontrent pas la même fortune, Hervé Cristiani vit sa vie d'artiste avec flegme et discrétion et continue régulièrement à produire livres et albums. Comme Annegarn et tant d'autres, il prise peu la vie médiatique et se contente d'amitiés vraies : Souchon, Cabrel, Jonasz, Milteau, Noah…
En 1983, sa maison de disques lui fait sortir un nouvel album, son cinquième : Salve Regina, qui comprend notamment Vermine et choléra, Beaucoup de toujours et Ma claque, mais Cristiani n'arrive pas à imposer la chanson titre.
Il sortira dans les années suivantes trois 45 tours au rythme d'un single (et d'une nouvelle maison de disques !) par an :
1984 Hey money – Boomerang (BMG)
1985 Emmenez-moi – Royal Albert Hôtel (Vogue)
1986 Le tango bleu – Ti amo (Apache)
En 1989, confronté à l’éducation de ses propres enfants, Hervé Cristiani se lance dans la chanson pédagogique pour les tout petits et publie l'album La Multiplicato (1989) destiné à leur apprendre en musique les tables de multiplication. La SACEM le couronne du Prix du disque pour enfants.
L'année 1990 voit la sortie de l'album Antinoüs, cette fois sur BMG, qu'Hervé Cristiani considère comme étant le plus abouti. La chanson titre est inspirée des Mémoires d'Hadrien de Marguerite Yourcenar. Malchance : sa maison de disques fait faillite le jour de la sortie du disque, qui sera très mal distribué.
En 1991, sortie de L’Alphabet, un nouveau disque pédagogique pour enfants. Voyage inattendu au pays des lettres, un petit garçon curieux apprend à lire alors qu'il est encore trop petit.
Entre 1992 et 1993, Hervé Cristiani collabore à deux films musicaux dédiés à Roland-Garros réalisés pour la télévision par Martine Bureau, Le temps d’un rêve et À chacun son regard, pour lesquels il compose une dizaine de chansons à la gloire du tennis et de ses héros du moment.
De 1994 à 2000, il diversifie sa production : réalisation de publicités, concerts, écriture de chansons qui seront publiées plus tard et sorties de diverses compilations.
En 2001, il publie Bébé chante, un nouveau disque pour enfants où Hervé Cristiani met cette fois en chanson les premiers gazouillis d'un bébé de huit mois.
En 2003, il publie un livre chez Balland, Il est libre Max, qui se donne pour défi d’expliciter la philosophie du personnage imaginaire qui l'a rendu célèbre. Reprenant les paroles de la chanson, il évoque ses goûts, retrace son propre parcours, se souvient de ses fans et lève le voile sur ses inspirations. L'ouvrage obtiendra le Prix de la Ville de Toulouse et sera réédité en 2007 par les Presses de la Renaissance12. La même année, il publie également un mini-album concept « de remix et réinterprétations » uniquement disponible en téléchargement, Il est toujours libre Max, comprenant treize versions du Max originel allant du reggae au hard rock en passant par le rap, le jazz, le folk, la soul, etc.
En 2008, 17 ans après Antinoüs et 26 ans après Il est libre Max, Hervé Cristiani revient avec un nouvel album de 14 chansons : Paix à nos os. Bien accueilli par la critique, il est rejoint sur cet album par ses amis de toujours : Souchon, Cabrel, Jonasz, Noah…
En 2013, il révèle sur sa page Facebook qu'il est atteint d'un cancer de la gorge. Il participe jusqu'en juin 2013 à la tournée Stars 80 et cesse ensuite de donner des concerts. Il meurt le 16 juillet 2014 des suites de ce cancer.
Ses obsèques ont lieu le 23 juillet 2014 en l'église Sainte-Cécile de Boulogne-Billancourt. Il est ensuite inhumé au cimetière du Père-Lachaise (16e division), face à la tombe de Jim Morrison, dans le 20e arrondissement de Paris.
Discographie
1972 : Quand j'ai peur d'aimer / Le palais du roi (45 tours AMI Records / Discodis, AMI 86 015)
1973 : La femme fleur / Si on pouvait (45 tours AMI Records / Discodis, AMI 86 048)
1975 : Y fait chaud / Ne nous séparez pas (45 tours Polydor 2056 342)
1976 : Gigot blues / La forêt de Montdidier (45 tours Polydor 2056 516)
1978 : Les pigeons / Baba au Rhum (45 tours WEA 17 228)
1980 : Rock'n roll star / J'peux pas m'en empêcher (45 tours WEA 17 549)
1981 : Attila le Hun ! / L'igloo (45 tours Challenge Production / RCA PB 8679)
1981 : Il est libre Max / Boogie boum (45 tours Challenge Production / RCA PB 8804)
1982 : Radio bonheur / Kate Bush (45 tours RCA PB 8947)
1982 : Salve Regina / Les futures légendes (45 tours Challenge Prod / RCA PB 61034)
1983 : Ma claque
1985 : Hey money / Boomerang (45 tours Challenge Prod. / Polydor 881 706-7) (aussi en version Maxi 45 tours 881 706)
1986 : Royal Albert Hôtel / Emmenez-moi (45 tours Vogue 102 143)
1987 : Le tango bleu / Ti amo (45 tours Apache / WEA 248 440-7)
2008 : Florentine
Albums
1975 : Au pays de Mélodie (Polydor)
1976 : Campanules (Polydor)
1979 : Récréation (Warner Bros)
1981 : Il est libre Max (RCA)
1983 : 5 (RCA)
1990 : Antinoüs (Bird)
2008 : Paix à nos os
Pour enfants
1989 : La Multiplicato (Nathan)
1989 : J'apprends à lire en chantant (M10)
2001 : Bébé chante (M10)
Divers
1992 : Bamako (CDM Fnac Music Dance Division / WMD 665 035)
Bamako (nouvelle version)
Arrêtez le monde
Bamako (instrumental)
1996 : Les plus belles chansons françaises - 1966 (CD Atlas FRA CD 005)
Reprise de la chanson L'amour avec toi de Michel Polnareff
1998 : Les plus belles chansons françaises - 1967 (CD Atlas FRA CD 006)
Reprise de la chanson J'aime les filles de Jacques Dutronc
Bibliographie
2003 : Il est libre Max !, éditions Balland. Réédité en 2007 aux Presses de la Renaissance dans la collection de poche Petite Renaissance.
Récompenses
Grand prix SACEM du disque pour enfants pour La Multiplicato (1989).
Prix Vincent Scotto pour la chanson Il est libre Max (2002).
Grand prix du livre de la ville de Toulouse pour le livre Il est libre Max (2003).
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Hervé Cristiani — Wikipédia (wikipedia.org) | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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Siège social d'Interpol à Lyon, France
L'Organisation internationale de police criminelle (OIPC), communément abrégée en Interpol, est une organisation internationale créée le 7 septembre 1923 dans le but de promouvoir la coopération policière internationale. Son siège est situé à Lyon, en France.
Interpol est connue pour délivrer, entre autres, des notices rouges, documents d'alerte qui une fois publiés permettent d'assurer la traque planétaire de criminels recherchés dans le monde. Ces documents qui contiennent des éléments d'identification et des éléments juridiques sur les individus recherchés sont diffusés à travers 195 pays membres. Ils facilitent grandement le travail des polices nationales en leur permettant d'identifier, de localiser et d'arrêter des individus recherchés sur la base de n'importe quel contrôle à des fins d'extradition.
Sa devise est : « Relier les polices pour un monde plus sûr », et sa mission : « Prévenir et combattre la criminalité grâce à une coopération policière internationale renforcée ».
Historique
Les prémices de la création d'Interpol datent du début du xxe siècle. Cette idée de police internationale avait été émise par Edmond Locard, grand professeur de médecine légale, qui fonda à Lyon (sa ville) en 1910 le premier laboratoire de police scientifique au monde. Celui-ci se trouvait en 1905 au VIe Congrès d’anthropologie criminelle, à Turin. Parmi les personnages importants qui s'y trouvent, il y rencontre le criminologue français Alphonse Bertillon, le professeur italien de médecine légale et psychiatre Cesare Lombroso, ainsi que le criminologue et photographe suisse Rodolphe Archibald Reiss. En voyant ce beau monde, Edmond Locard se rend compte que pour lutter contre le crime international, il faut user d'une police internationale.
L'idée se poursuit en 1914, lors du premier Congrès international de police criminelle : des officiers de police, juristes et magistrats de 14 pays se réunissent à Monaco à l'initiative du prince Albert Ier, pour discuter des procédures d'arrestation et d'extradition, techniques d'identification et centralisation des fichiers. La Première Guerre mondiale suspend cette initiative.
L'organisation est créée le 7 septembre 1923 lors du deuxième Congrès à l'initiative de Johann Schober, le directeur de la police de Vienne qui réunit dans sa ville les responsables des forces de polices de vingt pays pour fonder la Commission internationale de police criminelle (CIPC).
À la suite de l'Anschluss (rattachement de l'Autriche à l'Allemagne nazie) en 1938, la CIPC passe sous le contrôle de la Gestapo et son siège, de Vienne, est transféré à Berlin en 1942. La plupart des polices des pays membres continuent alors leur coopération, participant notamment à la traque des résistants et à la Shoah. L'organisation renaît en 1946 sous l'égide de la France, de la Belgique, du Royaume-Uni et des pays scandinaves. En 1956, le statut est modernisé et la CIPC devient « Organisation internationale de police criminelle-Interpol ».
Après la guerre, Interpol donne l'ordre, en interne, de ne pas poursuivre les crimes liés au régime nazi, sous le prétexte qu'ils étaient « de nature politique », afin de protéger les nombreux policiers ayant participé aux crimes nazis.
Interpol est reconnue en tant qu'organisation intergouvernementale par l'ONU en 1971 et l'année suivante un accord de siège est conclu avec la France. En 2003, un centre de commandement et de coordination est instauré. En 2001, Interpol se dote d'un bureau de liaison au siège de l'Union africaine à Addis-Abeba. En 2004, un nouveau bureau de liaison est créé au siège de l'ONU à New York. Un troisième est créé en 2009 au siège de l'Union européenne à Bruxelles.
En 2008, le président d'Interpol Jackie Selebi est contraint de démissionner, accusé d'avoir été corrompu par un narcotrafiquant. Il est condamné à 15 ans de prison pour corruption par le tribunal de Johannesburg le 3 août 2010.
Le 7 octobre 2018, Interpol annonce avoir reçu la démission de son président Meng Hongwei, qui n'avait plus donné signe de vie depuis son départ en Chine, fin septembre 2018. L'office chinois de lutte contre la corruption annonce par la suite que Meng Hongwei fait l'objet d'une enquête pour violations présumées de la loi.
Siège
Le siège d'Interpol est situé dans le quartier de la Cité internationale, au 200, quai Charles-de-Gaulle, dans le 6e arrondissement de Lyon en France, depuis le 1er mai 1989. Auparavant, l'organisation était basée à Paris dès 1946 puis rue Armengaud à Saint-Cloud en 1967.
Elle dispose par ailleurs de sept bureaux régionaux :
Buenos Aires (Argentine)
San Salvador (Salvador)
Yaoundé (Cameroun)
Abidjan (Côte d'Ivoire)
Nairobi (Kenya)
Bangkok (Thaïlande) (bureau de liaison)
Harare (Zimbabwe)
dont trois représentations :
à l'Union africaine à Addis-Abeba depuis 2001
aux Nations unies à New York depuis 2004
à l'Union européenne à Bruxelles depuis 2009
Pays membres
Interpol regroupe un total de 195 pays membres. Chaque pays membre dispose d’un Bureau central national (National Central Bureau (NCB)) assurant la liaison entre sa police nationale et celles des autres pays pour former le réseau mondial
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Jean Albertini, dit Jean-François Maurice, est un producteur, parolier et chanteur français né le 28 juin 1947 à Marseille et mort le 6 novembre 1996 à Paris. Il devient le producteur de C. Jérôme.
Son plus grand succès est la chanson 28 degrés à l'ombre sortie en 1978, dont il a écrit les paroles avec Didier Barbelivien et dont la musique est signée par Squid, Salermo et Magiordani.
Il participe également à la production de la plupart des succès du duo formé par Félix Gray et Didier Barbelivien : A toutes les filles, Il faut laisser du temps au temps, Evado via...
Ses succès en tant que chanteur
J'aime en duo avec Michèle Torr (1977)
28° à l'ombre (1978)
Disconnection (1978)
Pas de slow pour moi (1979)
Le petit chaperon blanc (1979)
La rencontre(Deux ans déjà) en duo avec Maryse (1983)
Maeva (300 jours sans voir la mer) (1985)
Aranjuez, mon amour (1988)
Ses chansons pour les autres
Aline pour Christophe (1965) (non crédité)
La Plage aux romantiques pour Pascal Danel (1966)
Kiss Me pour C. Jérôme (1972)
Cette fille c'était moi pour Michèle Torr (1975)
Emmène-moi danser ce soir pour Michèle Torr (1978)
Et tu danses avec lui pour C. Jérôme (1985)
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Jean-François Maurice | |||||||||||||||||||||||||||
Jean-François Maurice : 28° à l'ombre | |||||||||||||||||||||||||||
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Jean-François Maurice : Pas De Slow Pour Moi | |||||||||||||||||||||||||||
Michèle Torr & Jean-François Maurice : J'aime | |||||||||||||||||||||||||||
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L’affaire de Bruay-en-Artois est une affaire criminelle française non élucidée, très médiatisée dans les années 1970, concernant le meurtre d'une adolescente d'origine modeste, Brigitte Dewèvre, à Bruay-en-Artois (aujourd'hui Bruay-la-Buissière). Après la découverte du corps de la victime le 6 avril 1972, le notaire Pierre Leroy et sa maîtresse Monique Béghin-Mayeur sont inculpés, puis incarcérés. Henri Pascal, le juge d’instruction, déclare ne posséder aucune preuve solide de leur implication dans le meurtre. Des militants de la Gauche prolétarienne, mouvement d'extrême gauche, profitent de l'appartenance des deux personnes mises en cause à la bourgeoisie pour transformer cette affaire en symbole de la lutte des classes dans une région touchée alors par la fermeture des mines de charbon. Les inculpés sont finalement libérés. Par la suite, un camarade de Brigitte Dewèvre s'accuse du meurtre, mais il est acquitté. Le crime est finalement prescrit en 2005.
Les faits
Le 6 avril 1972 à Bruay-en-Artois, dans un terrain vague qui sépare le quartier bourgeois du coron, des enfants jouant au ballon découvrent le corps sans vie de Brigitte Dewèvre, une fille de mineur âgée de quinze ans et demi. La veille au soir, le 5 avril, elle est partie vers 19 h 30 pour aller dormir chez sa grand-mère et a disparu. Brigitte Dewèvre a été aperçue pour la dernière fois vers 19 h 45, en conversation avec un inconnu vêtu d'un pull à col roulé. Elle a été étranglée avec un lien souple, vraisemblablement un foulard, déshabillée en partie, et déposée dans un terrain vague à proximité d'une haie d'aubépines qui sépare ce terrain de la propriété de Monique Béghin-Mayeur (fille du plus gros marchand de meubles de Bruay-en-Artois et qui est en instance de divorce). La victime a été frappée violemment derrière la tête et mutilée avec un objet tranchant (de type hachette ou serpette) mais non violée. Ses jambes étaient dissimulées sous un vieux pneu.
Les enquêtes judiciaires et le déchaînement médiatique
Henri Pascal, premier juge d'instruction au tribunal de grande instance de Béthune, hérite du dossier. Il deviendra le premier juge d'instruction connu par son nom. Surnommé « le petit juge », cet ancien avocat d'origine modeste, juge suppléant, puis juge d'instruction, est un des premiers adhérents du Syndicat de la magistrature.
Les témoins font état de la présence d'une Peugeot 504 mal garée à proximité du lieu du meurtre. Son propriétaire est rapidement identifié, il s'agit du notaire Pierre Leroy qui a son étude non loin : membre du Rotary Club et habitué des transactions immobilières, la rumeur en fait rapidement un coupable idéal car elle condamne par avance cet homme qui n'est pas marié et fréquente les bordels de Lille. Il est inculpé le 13 avril, après une semaine d'enquête, pour homicide volontaire et incarcéré. Le juge invoque « un faisceau de présomptions graves et concordantes », qui naissent selon lui des explications évasives de l'intéressé quant à son alibi et de sa présence près des lieux du crime au moment des faits. Au fil des interrogatoires, Pierre Leroy a présenté cinq versions différentes pour ne pas impliquer sa maîtresse Monique Béghin-Mayeur, rendant son emploi du temps trop flou. Une première reconstitution sur les lieux du crime, le 27 avril 1972, voit la foule conspuer le notaire déjà condamné par la rumeur publique locale.
L'inculpé nie avec constance et, malgré un examen minutieux de tous les éléments pouvant l'incriminer, le juge Pascal ne parvient pas à trouver de preuve, si bien que le 30 juin les avocats de la défense déposent une requête en suspicion légitime à son encontre. Le 12 juillet, le juge procède à une seconde reconstitution avec l'ensemble des témoins qui ne reconnaissent pas officiellement les accusés. Le lendemain, il inculpe et fait incarcérer Monique Béghin-Mayeur, car elle aussi, lors de ses interrogatoires, donne des versions contradictoires de son emploi du temps et a un alibi que le juge considère comme douteux. La cour d'appel d'Amiens désavoue le juge et fait relâcher Pierre Leroy le 18 juillet 1972 après plus de trois mois d'incarcération.
Durant toutes ces semaines, le juge Pascal, qui est opposé au secret de l'instruction, alimente la presse par de nombreuses déclarations. Il entend « faire connaître ses idées sur la justice » et laisse notamment filmer l'arrestation du notaire. Selon les nouvelles théories du Syndicat de la magistrature, Henri Pascal tente de faire de son instruction un modèle de transparence, clamant, lors de nombreuses déclarations à la presse, son opposition au secret de l'instruction et militant pour une « justice à ciel ouvert ».
Le juge est alors sous la pression de la presse maoïste d'extrême gauche qui croit trouver dans cette région prolétarisée un terrain propice à la continuation de la lutte révolutionnaire. Parmi les militants de la Gauche prolétarienne établis dans le Nord après la dissolution en 1970 du mouvement maoïste se trouve Serge July qui répondait alors au pseudonyme de Marc. François Ewald et Serge July dirigent les opérations sur place et créent un Comité pour la Vérité et la Justice qui démarche les parents et les proches de la famille Dewèvre et organise une occupation militante du terrain vague où a été découverte la victime. Le Comité est présidé par Joseph Tournel, militant maoïste et ancien mineur connu de tous dans la région. Habitué des colonnes du journal maoïste La Cause du peuple, il y incarne le point de vue prolétarien, aux côtés de figures intellectuelles telles que Jean-Paul Sartre ou Maurice Clavel. Le 1er mai 1972, La Cause du peuple titre : « Et maintenant, ils massacrent nos enfants », accompagné du sous-titre, « il n'y a qu'un bourgeois pour avoir fait ça ! ». Ils dénoncent une « justice de classe » et demandent la tête du notaire. La GP est alors menée par des intellectuels comme le normalien André Glucksmann et soutenue par Jean-Paul Sartre. Mais après le numéro du 1er mai 1972 de La Cause du peuple, Sartre leur reproche son contenu et l'appel au lynchage. Plus tard, le romancier Morgan Sportès rappellera la responsabilité, au même moment, de la GP dans la mort de Pierre Overney, dans Ils ont tué Pierre Overney.
Le 20 juillet, sur décision de la Cour de cassation, les avocats de Pierre Leroy obtiennent le dessaisissement du juge Pascal. Cette décision suscite la colère de nombreux habitants de Bruay et des groupes d'extrême-gauche. Le Comité pour la Vérité et la Justice, qui milite contre le dessaisissement du juge Pascal et contre la libération de Pierre Leroy, considère Pierre Leroy comme coupable et dénonce une protection dont l'inculpé bénéficierait du fait de son statut social élevé.
La Cour de cassation confie le dossier au juge parisien Jean Sablayrolles, qui reprend l'instruction depuis le début et fait libérer Monique Mayeur le 31 juillet 1972.
Le 18 avril 1973, plus d'un an après les faits, Jean-Pierre Flahaut, âgé de 17 ans, orphelin perturbé et ancien camarade de Brigitte Dewèvre, avoue aux enquêteurs être l'auteur du meurtre. Jean-Pierre Flahaut avait été l'un des premiers suspects, rapidement écarté par le juge Pascal. Témoin important, le jeune homme était présent aux reconstitutions, aux manifestations du Comité pour la Vérité et la Justice, se tenait souvent à proximité du juge Pascal dans ses déplacements et tirait une certaine fierté de son exposition médiatique. Il affirme au juge Sablayrolles ne pas connaître particulièrement la victime mais une amie de Brigitte Dewèvre témoigne l'avoir vu avec celle-ci à la ducasse de Bruay le 3 avril 1972. Jean-Pierre Flahaut livre des aveux circonstanciés : il avait donné rendez-vous à la victime rue de Ranchicourt, a chahuté avec elle, l'a poussée et fait tomber à la renverse. Blessée à la tête, Brigitte Dewèvre a fait de vifs reproches à Jean-Pierre. Pris de colère, ce dernier l'a étranglée avant de traîner son corps à l'entrée du terrain vague voisin. A l'aide d'une brouette à charbon trouvée à proximité dans un jardin de coron, il transporte le corps au fond du terrain vague, près de la propriété de Monique Beghin-Mayeur. Il a alors l'idée de maquiller le meurtre en crime sadique. Il déshabille le corps et revient chez son frère prendre une hache pour mutiler la victime. Pendant le transport du corps, il affirme avoir récupéré les lunettes de Dewèvre tombées au sol et les avoir cachées au domicile de son frère. Les enquêteurs les retrouvent bien à son domicile, dissimulées dans la doublure d'un fauteuil. Elles avaient échappé à la police lors d'une perquisition ordonnée par le juge Pascal. Le père et l'opticien de la victime confirment qu'il s'agit des lunettes de Brigitte Dewèvre.
Le 30 octobre 1974, la justice prononce une ordonnance de non-lieu en faveur des époux Leroy (Monique Mayeur a épousé Pierre Leroy entre-temps).
Le Comité pour la Vérité et la Justice, arguant qu'un fils de mineur ne peut tuer une fille de mineur, milite pour la libération de Jean-Pierre Flahaut. Celui-ci revient partiellement sur ses aveux. Il est jugé à huis clos devant le tribunal pour enfants de Paris et acquitté au bénéfice du doute le 15 juillet 1975. Après un appel du parquet, le jugement est confirmé par la cour d'appel de Paris le 25 février 1976.
Le meurtre de Brigitte Dewèvre n'a donné lieu à aucune condamnation pénale. La famille Dewèvre n'a jamais accepté l'innocence du notaire Pierre Leroy et a demandé expressément à Georges Kiejman, avocat de la partie civile, de plaider l'acquittement de Jean-Pierre Flahaut lors de son procès. Malgré les aveux de ce dernier, l'avocat a donc plaidé l'insuffisance des preuves matérielles et le doute sur la culpabilité en mettant en avant l'existence possible d'un pervers sexuel ayant tué plusieurs jeunes femmes dans la région. Cas sans doute unique dans les annales de la justice, la conviction aveugle des parents de la victime, portée par la politisation de l'affaire, aboutit ainsi à innocenter le probable responsable des faits. L'affaire est classée sans suite en 1981 et le crime prescrit en 2005.
Conséquences de l'affaire
Ce fait divers représente une des grandes affaires où la presse écrite est le média dominant. Localement, le contexte est à la concurrence et la surenchère entre le journal socialiste Nord Matin et le numéro un régional La Voix du Nord. La presse nationale s'intéresse à l'affaire à partir du 13 avril 1972, quand le notaire Pierre Leroy est mis en cause. Des journaux comme France-Soir et des magazines comme Le Nouveau Détective suivront les moindres soubresauts d'une enquête qui a du mal à avancer.
La presse s'efforce par tous les moyens d'extorquer des déclarations aux témoins. Au sortir des auditions, ces derniers sont poursuivis dans la rue par des groupes de journalistes qui leur demandent de réagir à des déclarations qu'ils savent pertinemment déformées ou fausses. Ce procédé sera systématisé par une partie du corps de presse suivant l'affaire Grégory.
L'affaire de Bruay voit aussi une tentative de faire connaître un média alternatif, J'accuse, qui se veut acquis à la cause ouvrière. Serge July couvre cette affaire comme journaliste de La Cause du peuple et c'est en filiation directe de La Cause du peuple que le journal Libération va renaître de ses cendres. Cette affaire montre comment les maoïstes de la Gauche prolétarienne se sont emparés d'un fait divers pour alimenter leur nouveau journal et en faire une cause politique de justice de classe.
Le média qui monte à l'époque est la télévision, qui met en place pour la première fois des antennes mobiles permettant aux reporters de réaliser des entretiens en direct.
Le combat d'Henri Pascal pour une instruction débarrassée de l'obligation du secret échoue largement. Le juge Pascal est une première fois désavoué en 1972 quand le dossier est dépaysé, et une deuxième fois en 1975 quand il est inculpé pour violation du secret de l'instruction, violant ainsi l'article 11 du code de procédure pénale. Il dénonce alors une situation qui lui paraît absurde : « Les inculpés ont le droit de parler, les témoins ont le droit de parler, les parties civiles, le parquet a le droit de parler et publier des communiqués, il a le droit de le faire. La presse peut se déchaîner dans un sens ou dans un autre. Mais si le juge d'instruction parle pour rétablir la vérité maltraitée par certains, eh bien ce juge d'instruction est inculpé. »
Le dénouement de l'affaire de Bruay donne des arguments aux partisans du secret, lesquels estiment que Pierre Leroy, qui a bénéficié finalement d'un non-lieu, a été exagérément exposé à la vindicte populaire. L'affaire Grégory, autre affaire très médiatisée de meurtre, non élucidée elle non plus, et dans laquelle le juge d'instruction Jean-Michel Lambert s'est imprudemment ouvert à la presse sans obtenir de résultat probant dans son enquête, incitera elle aussi les juges d'instruction à se taire. Après ces deux affaires emblématiques, leur pratique professionnelle normale, la mieux acceptée, sera de refuser toute déclaration à la presse pendant le temps de l'instruction.
En 2017 et 2018, Daniel Bourdon, policier à la retraite, publie deux livres, l'auteur prétendant dans le dernier avoir identifié l'assassin, un gardien de nuit qui se serait évaporé dans la nature après l'arrestation de Jean-Pierre Flahaut et qui ne peut pas être poursuivi en raison de la prescription
Filmographie
Le Dossier érotique d'un notaire (1972) de Jean-Marie Pallardy avec Jean-Marie Pallardy, Angela Hensen, Alice Arno, Evelyne Scott. Librement inspiré du fait-divers.
La Femme flic (1980) d'Yves Boisset avec Miou-Miou, traite d'un sujet proche, dans un décor semblable : une policière qui enquête sur un réseau de prostitution de mineures se heurte à l'establishment d'une petite ville du Pas-de-Calais, et finit par échouer en raison de l'obstruction de la bourgeoisie locale.
Garde à vue (1981) de Claude Miller, avec Lino Ventura, Michel Serrault et Romy Schneider a rappelé à la critique et au grand public l’affaire de Bruay-en-Artois. Le scénario de Claude Miller et Jean Herman (récompensé d'un César en 1982) est une adaptation d'un roman de John Wainwright, Brainwash (traduit en français par À table !).
L’Affaire de Bruay-en-Artois (2008) téléfilm de Charlotte Brandström avec Bernard Le Coq, Tchéky Karyo et Agathe de La Boulaye. Le scénario reprend la thèse de la culpabilité du notaire Pierre Leroy en privilégiant l'affrontement personnel entre le juge et le notaire. Il donne l'avantage aux rumeurs locales amplifiées par la presse maoïste de l'époque, à savoir que Pierre Leroy aurait bénéficié de protections locales voire gouvernementales, que le juge Sablayrolles aurait été choisi pour sa docilité à l'égard de sa hiérarchie, qu'il aurait existé un réseau de notables locaux impliqués dans plusieurs autres meurtres non résolus et que l'Etat aurait cherché à étouffer ces affaires afin de couper court à l'agitation sociale.
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Philippe Bouvard, né le 6 décembre 1929 à Coulommiers (Seine-et-Marne), est un journaliste français, humoriste et présentateur de radio et de télévision, également écrivain, auteur de théâtre et dialoguiste au cinéma.
Il est le premier animateur, de 1977 à 2014, de l'émission radiophonique Les Grosses Têtes sur RTL.
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La 104 est une petite voiture française construite par Peugeot à Mulhouse (Haut-Rhin).
Elle a d'abord été lancée en berline bi-corps à 4 portes, puis en coupé 3 portes. Celui-ci connut des déclinaisons sportives. La 104 a servi de base aux Citroën LN/LNA, Citroën Visa et Talbot Samba. À son lancement, en 1972, elle est la berline 4 portes la plus courte du monde (3,58m.)
La 104 est issue de l'Association Peugeot-Renault pour concevoir des éléments techniques et des pièces mécaniques. Du projet M-121 naissent donc la 104 mais aussi la Renault 14 en 1976.
Évolutions de la 104
Modèles 1972 :
début de la production de la berline 4 portes, avec le « moteur X » de 954 cm3 (type XV, 46 ch DIN) en aluminium à culbuteurs et arbre à cames en tête entraîné par chaîne, placé transversalement à l'avant. Il est couché vers l'arrière de 72° et, comme les Peugeot 204 et les Austin-Morris Mini, placé au-dessus de la boîte de vitesses. La transmission primaire par pignon est particulièrement reconnaissable par son sifflement. Il est équipé pour la première fois de nouvelles bougies coniques sans joint et est décliné en 4 cylindrées différentes : 70x62 = 954 cm3 (XV), 72x69 = 1 124 cm3 (XW), 75x69 = 1 219 cm3 (XZ) et 75x77 = 1 360 cm3 (XY).
Modèles 1974 :
lancement du coupé 3 portes qui dispose d'un hayon, contrairement à la berline. Grâce à l'empattement et au porte-à-faux arrière réduits, la longueur passe à 3,30 m.
Même moteur que la berline.
lancement du coupé 104 ZS, « moteur X » de 1 124 cm3, 66 ch DIN, version sportive (155 km/h), avec compte-tours, volant trois branches, phares à iode et jantes de style (avec enjoliveur).
Modèles 1977 :
apparitions du moteur 6 CV et du hayon sur la berline, qui devient alors une 5 portes.
Modèles 1978 :
feux de recul sur la 104 ZS.
Modèles 1979 :
la série spéciale sportive ZS2 (173 km/h), animée par le « moteur X » de 1 360 cm3 93 ch DIN, est vendue à 1 000 exemplaires entre janvier et mars 19792. La 104 ZS2 se distingue de la ZS par ses jantes Amil en alliage léger, son bavolet avant, ses élargisseurs d'ailes, ses pare-chocs "minces" noir mat, son rétroviseur extérieur type obus, sa teinte spécifique gris vulcain et ses bandes de décoration latérales rouges, ses stripings ZS2. Apparition d'une berline 104 S (1 124 cm3, 66 ch) reprenant la sellerie de la série spéciale Sundgau.
Modèles 1980 :
nouveau tableau de bord. Les 104 S (5 portes) et ZS sont désormais équipées d'un 1 360 cm3 de 72 ch DIN. Elles possèdent des pneumatiques taille basse sur des jantes de style larges (sans enjoliveur) et des bandes de décoration latérales.
Modèles 1982 :
nouvelle face avant et nouveau rétroviseur extérieur aérodynamique noir mat. Essuie-glace de lunette arrière sur les 104 S et ZS.
Modèles 1983 :
deux versions ZS au catalogue : 72 ch DIN (158 km/h) et nouvelle 80 ch DIN (164 km/h). Cette dernière, qui est identifiable à l'autocollant 80hp sur les ailes avant, est équipée de deux carburateurs simple corps. Sur les deux 104 ZS, la boîte à cinq vitesses est une nouveauté.
Modèles 1984 :
la gamme se réduit à la suite du lancement de la 205. La 104 ZS 72 ch disparaît.
Modèles 1985 :
planche de bord et éléments extérieurs type Talbot Samba.
Modèles 1986 :
suppression de la 104 ZS.
Modèles 1987 :
nouvelle calandre couleur carrosserie "façon 205". Ne restent au catalogue que les berline GLS et coupés Z et Style Z, tous équipés du 1 124 cm3 50 ch.
1988 : fin de la production
ZS et compétition
La voiture donne lieu à une Coupe annuelle spécifique nationale entre 1976 et 1982 (au début lors du Tour de France automobile, puis sur circuits, et enfin sur Terre lors des dernières éditions - lauréat en 1977 Hervé Migeo).
Elle s'impose aussi aux 24 Heures de Chamonix en 1977 grâce à Jean-Pierre Nicolas et Henri Pescarolo, ainsi qu'à trois reprises lors de la Ronde de Serre Chevalier, en 1977 (Jean-Claude Lefebvre, 2e des 24 Heures de Chamonix 1977 et qui l'engage aussi parfois en championnat de France de rallycross naissant — 2e à Loheac en 1977, <1.6L), 1981 (Timo Mäkinen) et 1982 (François Chauche). Ce dernier pilote remporte avec elle plusieurs courses en Championnat de France des rallyes Terre entre 1980 (Terres du Diois et de Provence) et 1981-82 (Terre du Quercy deux fois), alors que Pierre Lartigue empoche une victoire de classe au Rallye des 1000 Pistes avec sa groupe 2 en 1981.
En WRC, Jean-Claude Lefebvre (10e, alors associé à Jean Todt) gagne en 1977 le groupe 2 du Tour de Corse (10e de l'épreuve en 1976 Hannu Mikkola devant Claude Laurent, place reprise à son compte par Jean-Charles Martinetti en 1979). Le meilleur classement est obtenue par Timo Mäkinen lors du Rallye du Portugal 1978: 7e; au Rallye Monte-Carlo la même année Alain Coppier gagne la classe 1 du groupe 2 Tourisme, et en 1981 Pierre Toujan empoche la classe 2 de ce même groupe alors que Charbonneaux termine en tête de classe 1 en groupe 1 (Coupe des Dames pour Giselu Blume). En 1979 la classe 1 du Rallye Molson du Québec est remportée par Claude Laurent.
Peugeot 104 Peugette
Peugette cabriolet au musée de l'Aventure Peugeot
Pour fêter les 25 années de collaboration entre Peugeot et Pininfarina, le designer italien présente, en 1976 au Salon de Genève, deux prototypes sur une même base de 104, les Peugeot 104 Peugette :
un cabriolet minimaliste avec pare-brise rappelant le concept des Panhard Dyna Junior ;
une Barquette « 1 place », avec saute vent.
La Peugette ne se contente pas d’être une version cabriolet de la 104. Pininfarina a travaillé sur l’abaissement des coûts, via une carrosserie entièrement symétrique. Le capot autoclave est identique à l’avant et à l’arrière, et sur les flancs, les panneaux des portes ou des bas de caisse sont identiques.
Ces propositions ne connaîtront pas de déclinaison industrielle.
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La pierre d'Euville est un type de pierre utilisé dans la construction de nombreux bâtiments. C'est une pierre de calcaire à entroques beige rosé et jaunâtre du Jurassique supérieur (Oxfordien, -160 millions d'années)
Le calcaire d'Euville est exploité à Euville, Géville et Commercy, dans les côtes de Meuse, dans le département de la Meuse, région Grand-Est. D'autres carrières plus anciennes furent exploitées à Sorcy et Lérouville...
Coloration
L'absence d'oxyde de fer caractérise cette pierre d'une extrême blancheur, et qui lui confère une réputation dans toute l'Europe et même au-delà
.
Caractéristiques
D'un grain très fin et d'une grande blancheur, la pierre dite d'Euville est en fait exploitée depuis des siècles dans les carrières de Sorcy (désormais fermées). Cette pierre de Sorcy, identique à la pierre d'Euville était le matériau idéal pour le sculpteur de la renaissance lorraine : Ligier Richier.
Constructions
De nombreux bâtiments, notamment en Lorraine, utilisent cette pierre :
À Nancy, c'est la principale pierre utilisée pour les bâtiments Art nouveau du mouvement de l'École de Nancy ainsi que de la plupart des édifices construits au XIXe siècle comme la basilique Saint-Epvre de Nancy,
le château de Commercy (XVIIe siècle),
la place Stanislas de Nancy (XVIIIe siècle),
les bâtiments de style École de Nancy construits en dehors de la ville comme la mairie d'Euville par exemple,
La Basilique Sainte-Jeanne-d'Arc de Domrémy-la-Pucelle,
Les mémoriaux Américains en Lorraine tels que :
la butte de Montsec et son mémorial du saillant de Saint-Mihiel ainsi que le Cimetière militaire du Saillant de Saint-Mihiel,
le cimetière américain d'Épinal,
le cimetière américain de Romagne-sous-Montfaucon,
le cimetière américain de Saint-Avold.
Les édifices construits en pierre de Sorcy antérieurs au XVIIIe siècle tels que :
la basilique de Saint-Nicolas-de-Port (XVIe siècle),
la cathédrale Saint-Étienne de Toul (XIIIe – XVIe siècle),
Les sculptures de Ligier Richier (XVIe siècle)
l'Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson (XVIIIe siècle).
Il en existe également à Paris :
l'aile du Louvre édifiée sous Napoléon III,
le Grand Palais ainsi que le Petit Palais,
l'Opéra Garnier,
la gare de Paris-Est,
le pont Alexandre-III.
Les frises sculptées par Constant Roux qui entourent l'Institut de paléontologie humaine (fondation du Prince Albert Ier de Monaco) rue René Panhard le sont en pierre d'Euville.
le Monument aux Mères françaises de Paul Bigot, Henri Bouchard et Alexandre Descatoire pour le jardin du Monument-aux-Mères-Françaises
Cependant n'est pas en pierre d'Euville, comme le prétend pourtant une légende persistante, le socle de la statue de la Liberté à New York, qui est en fait constitué de béton et de granit provenant du Connecticut
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_d%27Euville | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Euville | |||||||||||||||||||||||||||
Euville : La mairie | |||||||||||||||||||||||||||
Euville : L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul | |||||||||||||||||||||||||||
Euville : Personnalités liées à la commune | |||||||||||||||||||||||||||
Euville : Évolution de la population | |||||||||||||||||||||||||||
Pierre d'Euville | |||||||||||||||||||||||||||
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Filmographie
Acteur
Cinéma
1951 : Seul dans Paris d'Herve Bromberger : un consommateur à la terrasse d'un café
1951 : Maître après Dieu de Louis Daquin : un soldat allemand
1952 : Nous sommes tous des assassinsd'André Cayatte : un employé de la prison
1952 : Le Chemin de Damas de Max Glass : un disciple
1953 : La Môme vert-de-gris de Bernard Borderie : un garde du corps
1955 : Série noire de Pierre Foucaud : Ménard
1955 : Les Hussards d'Alex Joffé : Un soldat
1955 : Gas-Oil de Gilles Grangier : René Schwob, un gangster
1956 : Vous pigez ? de Pierre Chevalier : Istria
1957 : Celui qui doit mourir de Jules Dassin : Pannagotaros
1957 : Escapade de Ralph Habib : Olivier
1958 : Tamango de John Berry : 1er Mate Bebe
1958 : Sois belle et tais-toi de Marc Allégret : Charlemagne
1958 : Une balle dans le canon de Michel Deville : Dick
1958 : Un drôle de dimanche de Marc Allégret : Sartori
1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier : Albert Simoni
1958 : La Chatte d'Henri Decoin : Pierre
1959 : La Sentence de Jean Valère : Antoine
1959 : Le Fric de Maurice Cloche : Robert Bertin
1959 : Ramuntcho de Pierre Schoendoerffer : Itchoa
1959 : Du rififi chez les femmes d’Alex Joffé : L'Insecte
1959 : La Valse du Gorille de Bernard Borderie : Géo Paquet, dit « Le Gorille »
1959 : À bout de souffle de Jean-Luc Godard : Cal Zombach
1960 : Petit jour de Jackie Pierre
1960 : L'Ennemi dans l'ombre de Charles Gérard : Serge Cazais
1960 : Rocco et ses frères de Luchino Visconti : Morini
1960 : L'Affaire d'une nuit d'Henri Verneuil : Michel Ferréol
1961 : Le Miracle des loups d'André Hunebelle : Charles le Téméraire
1961 : Vive Henri IV, vive l'amour de Claude Autant-Lara : Ravaillac
1961 : Les Bras de la nuit de Jacques Guymont : Landais
1962 : Les Ennemis d'Édouard Molinaro : Jean de Fursac
1962 : La Marche sur Rome de Dino Risi : Capitaine Paolinelli
1962 : Le Gorille a mordu l'archevêque de Maurice Labro : Géo Paquet, dit « Le Gorille »
1963 : Un mari à prix fixe de Claude de Givray
1964 : Le Hibou chasse la nuit de Werner Klingler
1964 : Le Tigre aime la chair fraîche de Claude Chabrol : Louis Rapière, le Tigre
1964 : Marie-Chantal contre le docteur Kha de Claude Chabrol : Bruno Kerrien, l'espion français
1965 : Le Tigre se parfume à la dynamitede Claude Chabrol : Louis Rapière, le Tigre
1965 : Passeport diplomatique agent K 8de Robert Vernay : Mirmont
1965 : Corrida pour un espion de Maurice Labro : Stuart
1966 : Via Macao de Jean Leduc : Michel
1966 : Carré de dames pour un as de Jacques Poitrenaud : Dan Layton
1966 : Les 13 fiancées de Fu Manchu (The Brides of Fu Manchu) de Don Sharp : l'inspecteur Grimaldi
1966 : Le Solitaire passe à l'attaque de Ralph Habib : Frank Normand
1967 : Le Canard en fer blanc de Jacques Poitrenaud : François Cartier
1968 : Les Hommes de Las Vegasd’Antonio Isasi-Isasmendi : Le patron
1969 : La Main de Henri Glaeser : l'inspecteur / le producteur
1969 : Bruno, l'enfant du dimanche de Louis Grospierre
1970 : Le Clair de Terre, de Guy Gilles : Le père de Pierre
1971 : Une femme libre de Claude Pierson : André
1971 : Les Aveux les plus doux d'Édouard Molinaro : Inspecteur Borelli
1972 : La Poursuite sauvage (The Revengers) de Daniel Mann : Quiberon
1973 : Les Grands Fusils de Duccio Tessari : Carré
1973 : Le Concierge de Jean Girault : Barbarin
1973 : Le Protecteur de Roger Hanin : Julien
1975 : Le Faux-cul de Roger Hanin : Kaminsky
1978 : L'Amant de poche de Bernard Queysanne
1978 : Le Coup de sirocco d'Alexandre Arcady : Albert Narboni
1978 : Le Sucre de Jacques Rouffio : Kerbaoui
1979 : Certaines Nouvelles de Jacques Davila : Georges
1981 : Le Grand Pardon d'Alexandre Arcady : Raymond Bettoun
1982 : Les Misérables de Robert Hossein : L'aubergiste
1982 : La Baraka de Jean Valère : Aimé Prado
1983 : Attention ! Une femme peut en cacher une autre de Georges Lautner : Philippe
1983 : Le Grand Carnaval d'Alexandre Arcady : Léon Castelli
1983 : L'Étincelle de Michel Lang : Maurice
1984 : Train d'enfer de Roger Hanin : Commissaire Couturier
1985 : La Galette du roi de Jean-Michel Ribes : Victor Harris
1986 : La Rumba de Roger Hanin : Beppo Manzoni
1987 : Dernier Été à Tanger d'Alexandre Arcady : William Barres
1987 : Lévy et Goliath de Gérard Oury : Dieu (voix uniquement)
1989 : L'Orchestre rouge de Jacques Rouffio : Berzine
1989 : L'Union sacrée d'Alexandre Arcady : le père de Simon (caméo)
1990 : Jean Galmot, aventurier d'Alain Maline : Georges Picard
1992 : Le Grand Pardon 2 d'Alexandre Arcady : Raymond Bettoun
1993 : Le Nombril du monde d'Ariel Zeitoun : Scali
1997 : Soleil de Roger Hanin : Professeur Lévy
Télévision
Séries télévisées
1965 : Le train bleu s'arrête 13 fois, série adaptée par René Wheeler, d'après Boileau et Narcejac, épisode 6 : Beaulieu, le piège de Serge Friedman
1978 : Il était un musicien
1989 : Les Grandes Familles, mini-série en 3 épisodes d'Édouard Molinaro : Lucien Maublanc
1989-2007 : Navarro, série télévisée créée par Pierre Grimblat et Tito Topin : commissaire principal Antoine Navarro
1990 : Le Gorille : Maurier (un épisode)
1997 : Maître Da Costa série télévisée de Bob Swaim d'après Frédéric Dard : Maître Julien Da Costa
2007-2009 : Brigade Navarro : commissaire divisionnaire Antoine Navarro
Téléfilms
1968 : Cinq jours d'automne de Pierre Badel
1969 : Au théâtre ce soir : La Nuit du 9 mars de Jack Roffey et Gordon Harbord, adaptation Roger Féral, mise en scène Henri Soubeyran, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1970 : Au théâtre ce soir : Jupiter de Robert Boissy, mise en scène Jacques-Henri Duval, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1971 : Prière pour Éléna d'Abder Isker : Enrico Segura
1977 : La Mort du Téméraire de Roger Viry-Babel : Charles le Téméraire
1979 : Othello, d'Yves-André Hubert : Othello
1980 : Au bon beurre d'Édouard Molinaro : Charles-Hubert Poissonnard
1981 : Henri IV de Jeannette Hubert
1983 : Le Crime de Pierre Lacaze de Jean Delannoy : Pierre Lacaze
1987 : Dorothée Show
1991 : Le cadeau de Noël
1993 : Chambre 12, Hôtel de Suède, téléfilm documentaire de Claude Venturaet Xavier Villetard : lui-même
1995 : Samson le magnifique d'Étienne Périer : Jacques Brachart
1996 : Une femme explosive de Jacques Deray : Muller
1999 : La Femme du boulanger de Nicolas Ribowski : Aimable, le boulanger
2000 : La Trilogie Marseillaise : Marius de Nicolas Ribowski : César
2000 : La Trilogie Marseillaise : Fanny de Nicolas Ribowski : César
2000 : La Trilogie Marseillaise : César de Nicolas Ribowski : César
2000 : Anibal de Pierre Boutron : l'acteur
2001 : L'Étrange Monsieur Joseph de Josée Dayan : Joseph Joanovici
2003 : Ne meurs pas de José Pinheiro : Dalembert
2005 : Mademoiselle Navarro de Jean Sagols : le commissaire Navarro
2006 : La Femme et le pantin d'Alain Schwarzstein : Charles Mathéo
2007 : Roger Hanin, toute une vied'Hugues de Rosière (documentaire)
2008 : César Lévy d'Alain Schwarzstein : César Lévy
Réalisateur
Cinéma
1973 : Le Protecteur
1975 : Le Faux-cul
1980 : Le Coffre et le Revenant, téléfilm adapté de la nouvelle éponyme de Stendhal, dans la série « Le roman du samedi »
1984 : Train d'enfer
1986 : La Rumba
1997 : Soleil
Télévision
1978-1979 : Il était un musicien : 2 épisodes
1990 : Le Gorille : un épisode
Producteur
1978-1979 : Il était un musicien : 7 épisodes
Théâtre
1951 : Vogue la galère de Marcel Aymé, mise en scène Georges Douking, Théâtre de la Madeleine
1952 : La Jacquerie de Prosper Mérimée, mise en scène Clément Harari, Théâtre Charles de Rochefort
1952 : La Résurrection des corps de Loys Masson, mise en scène Michel Vitold, Théâtre de l'Œuvre
1953 : Les Aveux les plus doux de Georges Arnaud, mise en scène Michel de Ré, Théâtre du Quartier Latin
1953 : La Maison de la nuit de Thierry Maulnier, mise en scène Marcelle Tassencourt & Michel Vitold, Théâtre Hébertot
1954 : Les salauds vont en enfer de Frédéric Dard, mise en scène Robert Hossein, Théâtre du Grand-Guignol
1954 : La Condition humaine d'André Malraux, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Hébertot
1954 : Othello de William Shakespeare
1954 : Macbeth de William Shakespeare
1954 : Carlos et Marguerite de Jean Bernard-Luc, mise en scène Christian-Gérard, Théâtre de la Madeleine
1955 : Le Prince d'Égypte de Christopher Fry, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre du Vieux-Colombier
1955 : La Chair de l'orchidée adaptation Frédéric Dard et Marcel Duhamel d'après James Hadley Chase, mise en scène Robert Hossein, Théâtre du Grand-Guignol
1956 : Les Sorcières de Salem de Arthur Miller, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre des Célestins
1956 : La Nuit romaine d'Albert Vidalie, mise en scène Marcelle Tassencourt, Théâtre Hébertot
1957 : Wako, l’abominable homme des neiges de Roger Duchemin, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre Hébertot
1959 : Dix Ans ou dix minutes de Grisha Dabat, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre Hébertot
1959 : Le Vélo devant la porte adaptation Marc-Gilbert Sauvajon d'après Desperate Hours de Joseph Hayes, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
1960 : La Nuit du 9 mars de Jack Roffey39et Gordon Harbord40, adaptation Roger Féral, mise en scène Henri Soubeyran, Théâtre des Ambassadeurs
1962 : L'Otage de Paul Claudel, mise en scène Bernard Jenny, Théâtre du Vieux-Colombier
1962 : Le Pain dur de Paul Claudel, mise en scène Bernard Jenny, Théâtre du Vieux-Colombier
1962 : Le Père humilié de Paul Claudel, mise en scène Bernard Jenny, Théâtre du Vieux-Colombier
1963 : Othello de William Shakespeare, mise en scène Marcelle Tassencourt, Odéon-Théâtre de France
1964 : Macbeth de William Shakespeare, mise en scène Claude Chabrol, Théâtre Montansier
1969 : Le Contrat de Francis Veber
1970 : Les Guss d'Anne Caprile, mise en scène Roberto Rossellini, Théâtre du Vieux-Colombier
1970 : Zorglub de Richard Bohringer
1970 : Ciel, où sont passées les dattes de tes oasis ? de Roger Hanin, mise en scène Jacques Ardouin, Théâtre de la Potinière
1972 : Le Contrat de Francis Veber, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty-Herbert
1973 : Virgule de Roger Hanin, Théâtre Daunou
1979 : Lucrèce Borgia de Victor Hugo, mise en scène Roger Hanin (avec Magali Noël, Michel Auclair, David Clair, Jean-Marie Galey...)
1980 : Une chambre pour enfant sage de Didier Decoin, mise en scène Pierre Vielhescaze, Théâtre Tristan Bernard
1983 : Argent, mon bel argent de Roger Hanin, mise en scène de l'auteur, Théâtre Daunou
1983 : Un grand avocat d’Henry Denker, mise en scène Robert Hossein, Théâtre Mogador
1984 : Duetto de Jeannine Worms, mise en scène Yutaka Worms
1984 : La Chasse aux dragons de Jeannine Worms, mise en scène Yutaka Wada, Théâtre de l'Œuvre
1996 : En attendant Godot de Samuel Beckett, mise en scène Pierre Boutron
1997 : Tartuffe de Molière
2001 : Une femme parfaite de Roger Hanin, mise en scène de l'auteur, Théâtre Marigny
2006 : Un petit pull over angora de Daniel Saint-Hamont, Théâtre Le Temple
Publications
Romans
L'ours en lambeaux, éd. Encre, 1983
Le voyage d'Arsène, éd. Grasset, 1985
Les gants blancs d'Alexandre, éd. Grasset 1994
Les sanglots de la fête, éd. Grasset 1996
L'hôtel de la Vieille Lune, éd. Grasset 1998
Dentelles, éd. Grasset, 2000
Lettre à un ami mystérieux, éd. Grasset, 2001
Gustav, éd. Grasset, 2003
L'Horizon, éd. Grasset, 2005
Loin de Kharkov, éd. Grasset, 2007
Carnet de survie, éd. Balland 2009
Théâtre
Une femme parfaite, éd. L'Avant-scène théâtre, 2004
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Hanin | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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