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Journée des bricoles

Publié à 21:50 par dessinsagogo55 Tags : prix sur place travail divers center centerblog merci
Journée des bricoles

 

 

La journée des bricoles est une série d'affrontements pré-révolutionnaire les 26 et 27 janvier 1789 à Rennes entre étudiants et nobles en marge de la convocation des États de Bretagne.

 

Description

Contexte

 

Depuis décembre 1788 et comme tous les deux ans, les États de Bretagne sont réunis à Rennes. Ils sont paralysés par l'opposition entre la bourgeoisie, qui demande leur réforme, et la noblesse qui s'y oppose. Les 54 députés du tiers états bloque les délibérations tant que leurs conditions ne sont pas approuvées (notamment une réforme fiscale) que les députés de la noblesse refuse. Le 7 janvier 1789, Louis XVI décide de suspendre la session pour un mois et charge Bareau de Girac, évêque de Rennes de trouver une solution.

 

Le froid intense de cet hiver 1789, combiné avec les effets d'une récolte passable, renchérissent le prix de la farine et donc du pain.

 

26 janvier 1789

 

Le 26 janvier, les porteurs d'eau et portefaix qui utilisent des bricoles pour leur travail se rassemblent pour protester contre la cherté du pain. Ils se dirigent vers le Parlement pour soutenir des conseillers nobles qui veulent forcer la municipalité à baisser le prix du pain. Ces derniers rendent la bourgeoisie responsable de l'absence d'une aide en faveur des Rennais.

 

Les étudiants en droit, menés par Moreau, rassemblés dans un café de la place du Parlement, sont pris à partie par les manifestants qui en assomment quelques-uns avant de poursuivre les « jeunes gens » dans les rues adjacentes.

 

27 janvier 1789

 

Le 27 janvier, les étudiants rassemblés dans l'église de Toussaints, dénoncent les manœuvres de la noblesse et ils décident, en partie par provocation, d'aller porter plainte au Parlement. Ils s'y rendent soutenus par une foule de plus en plus nombreuse.

 

Chateaubriand, présent parmi les députés de la noblesse aux États relate ces événements dans les Mémoires d'outre-tombe :

 

« Les États se tinrent dans le couvent des Jacobins sur la place du Palais. […] Les 25, 26, 27 et 28 janvier 1789 furent des jours malheureux. Le comte de Thiard avait peu de troupes ; chef indécis et sans vigueur, il se remuait et n'agissait point. L'école de droit de Rennes, à la tête de laquelle était Moreau, avait envoyé quérir les jeunes gens de Nantes ; ils arrivaient au nombre de quatre cents, et le commandant, malgré ses prières, ne les put empêcher d'envahir la ville. Des assemblées, en sens divers, au champ Montmorin et dans les cafés, en étaient venues à des collisions sanglantes. »

 

« Las d'être bloqués dans notre salle, nous prîmes la résolution de saillir dehors, l'épée à la main ; ce fut un assez beau spectacle. Au signal de notre président, nous tirâmes nos épées tous à la fois, au cri de : Vive la Bretagne ! et, comme une garnison sans ressources, nous exécutâmes une furieuse sortie, pour passer sur le ventre des assiégeants. Le peuple nous reçut avec des hurlements, des jets de pierres, des bourrades de bâtons ferrés et des coups de pistolet. Nous fîmes une trouée dans la masse de ses flots qui se refermaient sur nous. Plusieurs gentilshommes furent blessés, traînés, déchirés, chargés de meurtrissures et de contusions. Parvenus à grande peine à nous dégager, chacun regagna son logis. »

 

Deux jeunes nobles sont tués dont l'un est son ami. Il conclut :

 

« Lecteur, je t'arrête : regarde couler les premières gouttes de sang que la Révolution devait répandre. Le ciel a voulu qu'elles sortissent des veines d'un compagnon de mon enfance. »

 

Suite des journées

 

Finalement, les nobles quittent la ville et les jeunes gens tiennent des assemblées qui serviront de modèle notamment aux fédération de 1790. Ces journées sont vues comme les prémices de la Révolution française

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_des_bricoles

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Joseph-Ignace Guillotin

Joseph-Ignace Guillotin

Joseph-Ignace Guillotin, né le 28 mai 1738 à Saintes et mort le 26 mars 1814 à Paris, est un médecin et homme politique français. Il est connu pour avoir fait adopter, sous la Révolution française, la guillotine comme mode unique d’exécution capitale.


Biographie

Origines et débuts

 

Joseph Ignace Guillotin est le neuvième des treize enfants de Joseph-Alexandre Guillotin, avocat en la Cour et conseiller du roi en l'élection de Saintes, et de Catherine-Agathe Martin. Une légende familiale veut qu'il soit né près d'une place à Saintes où avaient lieu les exécutions : l'émotion provoquée par les cris d'un condamné fait Mme Guillotin se sentir prise des douleurs de l'enfantement et elle le met au monde.

 

Il fait des études théologiques pendant sept ans dans le collège des jésuites de Bordeaux et y obtient son baccalauréat. Jésuite, il est d'abord professeur du collège des Irlandais à Bordeaux. En 1763, il choisit les études de médecine d'abord à Reims (où les études sont moins onéreuses) puis en 1768 à Paris, pendant trois ans grâce aux bourses d'études. Il devient pupille à la Faculté de médecine de Paris, obtient un doctorat de régent le 26 octobre 1770 et enseigne l'anatomie, la physiologie et la pathologie dans cette même faculté (de 1778 à 1783).

 

En même temps, il exerce en cabinet et se partage avec son confrère Jean-Paul Marat la clientèle des maisons des frères du roi, le comte de Provence, futur Louis XVIII, et le comte d'Artois. Il effectue des expériences scientifiques sur le vinaigre ou les caractéristiques de la rage. Le 14 juillet 1787, il se marie à la paroisse Saint-Victor à Paris avec Marie Louise Saugrain.

 

Parcours politique

Peu avant la Révolution française, Guillotin se rend célèbre pour avoir publié plusieurs ouvrages politiques et avoir proposé un certain nombre de réformes. Dans sa Pétition des six corps (ou Pétition des citoyens domiciliés à Paris) rédigée le 8 décembre 1788, il réclame le vote par tête (et non par ordre aux États généraux) et que le nombre des députés du tiers état soit au moins égal à celui des députés des deux autres ordres réunis. Cette proposition lui vaut la réprobation du roi (plusieurs personnes avaient déjà adressé ce genre d'écrit au souverain, mais dans une correspondance personnelle et non en en appelant à lui publiquement par voie de requêtes) et il passe en jugement.

 

Le Parlement de Paris le condamne le 19 décembre 1788 pour la forme et non pour le fond, comme le fait remarquer le conseiller Lefebvre : « Ce jugement concerne la forme de votre écrit et son mode de diffusion. Quant au fond, le Parlement, dont je suis ici l'interprète, n'y trouve rien à redire. » La pétition est alors interdite de diffusion. Le 27 décembre 1788, sur la demande de Necker, elle est acceptée par le Conseil d'État du roi, pour ce qui est du nombre de députés.

 

Initié en 1772 à la loge la Parfaite Union d’Angoulême, il devient en 1776 vénérable maître de la loge la Concorde fraternelle à l’orient de Paris et en 1778 membre affilié à celle des Neuf Sœurs (côtoyant les peintres Jean-Baptiste Greuze ou Claude Joseph Vernet, Voltaire, le duc d’Orléans ou le duc de Chartres). Il fréquente tout au long de sa vie des ateliers et des cercles tel les Philalèthes, empreints de rationalité, de connaissance et de liberté. Il joue un rôle important dans la formation du Grand Orient de France et devient orateur de sa « chambre des provinces » qui recevait chaque année le tableau des membres de toutes les loges de provinces, et exerçait sur elle une tutelle. Il cesse ses activités maçonniques pendant la Révolution, à l'issue de laquelle et malgré l'insistance d'Alexandre Roëttiers de Montaleau, il ne réintègre pas la franc-maçonnerie.

 

Élu le 15 mai député du tiers état de la ville et des faubourgs de Paris aux États généraux de 1789 réunis à l’hôtel des Menus-Plaisirs de Versailles, c'est lui qui propose la réunion dans la salle du Jeu de paume, lorsque les députés trouvent leur salle fermée le 20 juin. Après que l'Assemblée a décrété dans sa séance du 9 octobre qu'elle se transporterait à Paris, Guillotin fait partie de la commission de six membres chargée de déterminer et faire disposer le local le plus adapté à la tenue de ses séances. S'inspirant des théâtres anatomiques, Guillotin suggère de réunir les élus du peuple dans une salle en demi-cercle, afin que tous puissent se voir et s'entendre, ce qui donnera naissance plus tard à l'hémicycle du Palais Bourbon.

 

Dans l'immédiat le choix de la commission se porte en deux jours sur la salle du Manège au jardin des Tuileries ; elle désigne l'architecte Pierre-Adrien Pâris afin de procéder aux modifications et aménagements voulus pour permettre l'installation des parlementaires. L'Assemblée y tient sa première séance le 9 novembre 1789, après avoir, depuis le 19 octobre, en attendant l'achèvement des travaux, siégé provisoirement dans la grande salle de l'Archevêché, nommée aussi Chapelle des Ordinations. Le 1er février 1790, Guillotin est choisi comme l'un des trois secrétaires de l'Assemblée chargés d'organiser les séances parlementaires souvent chahutées, ce qui lui vaut des attaques malveillantes de la presse parlementaire déçue par la mise en discipline des séances.

 

Adoption de la « guillotine »

image

CIVI OPTIMO : À un illustre citoyen. Une devise tirée d’Horace : « Quid verum atque decens curo et rogo et omnis in hoc sum » : Mes soins et mes interrogations sont à la recherche de la vérité et de l’harmonie, et je n’ai pas d’autre but.

Guillotin, alors président du comité de salubrité de l'Assemblée nationale constituante, propose le 1er décembre 1789 avec l'appui de Mirabeau (député et secrétaire de l’Assemblée nationale constituante), un projet de réforme du droit pénal dont le 1er article dispose que « les délits de même genre seront punis par les mêmes genres de peines, quels que soient le rang et l'état du coupable », et demande que « la décapitation fût le seul supplice adopté et qu'on cherchât une machine qui pût être substituée à la main du bourreau ». L’utilisation d’un appareil mécanique pour l’exécution de la peine capitale lui paraît une garantie d’égalité, qui devait, selon lui, ouvrir la porte à un futur où la peine capitale serait finalement abolie.

 

La proposition de Guillotin vise également à supprimer les souffrances inutiles. En effet, jusqu’alors, l'exécution de la peine capitale différait selon le forfait et le rang social du condamné : les nobles étaient décapités au sabre, les roturiers à la hache, les régicides et criminels d'État écartelés, les hérétiques brûlés, les voleurs roués ou pendus, les faux-monnayeurs bouillis vifs dans un chaudron. Son idée est adoptée en 1791 par la loi du 6 octobre qui dispose que « la peine de mort consistera dans la simple privation de la vie, sans qu'il puisse jamais être exercé aucune torture envers les condamnés » et que « tout condamné à mort aura la tête tranchée ».

 

L’appareil, inspiré d’anciens modèles de machines à décapitation existant depuis le XVIe siècle, est mis au point en 1792 par son confrère Antoine Louis, chirurgien militaire, secrétaire perpétuel de l'Académie de chirurgie (d’où son premier nom de Louison). Après plusieurs essais sur des moutons puis trois cadavres à l'Hospice de Bicêtre le 15 avril 1792, la première personne guillotinée en France fut un voleur, du nom de Nicolas Jacques Pelletier, le 25 avril 1792.

 

Malgré les protestations de Guillotin qui n'a nullement inventé cette machine, celle-ci se voit rapidement affublée du nom de guillotine. Ce sont les rédacteurs du journal royaliste Les Actes des Apôtres qui auraient employé ce mot, dès les premiers jours, contre sa volonté. Cette méchante plaisanterie fut reprise, avec joie, par les gribouilleurs de copies que Guillotin avait exclus des séances de l’assemblée où ils semaient le trouble. Le docteur en manifesta le regret jusqu'à sa mort en 1814, appelant sa fameuse machine « la tache involontaire de [sa] vie ».

 

L’erreur de Guillotin aura été de plaider maladroitement pour cette machine le 1er décembre 1789 : « Avec ma machine, je vous fais sauter la tête en un clin d’œil, et vous ne souffrez point. La mécanique tombe comme la foudre, la tête vole, le sang jaillit, l'homme n'est plus. »

 

« Il y a des hommes malheureux. Christophe Colomb ne peut attacher son nom à sa découverte ; Guillotin ne peut détacher le sien de son invention. »

— Victor Hugo

Guillotin espérait instaurer une exécution plus humaine et moins douloureuse. Mais dans les périodes qui suivent, celle qui est désormais affublée de nombreux surnoms – la Mirabelle surnom dérivé de Mirabeau, la Monte-à-regret, la Veuve, le Rasoir national, le Moulin à silence, la Cravate à Capet après son emploi sur Louis XVI, la Lucarne au XIXe siècle, le Massicot, la Bécane, la Bascule à Charlot (du prénom de Charles-Henri Sanson, le bourreau de Louis XVI), etc. – a largement contribué à multiplier les exécutions capitales.

 

Désolé de son impuissance à sauver quelques victimes, attristé de voir couler le sang à flots, écœuré d'entendre continuellement prononcer le mot de guillotine, jusque dans des chansons, d'apercevoir, sans cesse, l'image de la sinistre machine (sous la forme de hideux bibelots, d'ignobles bijoux, boucles d'oreilles, cachets de montre, etc.), Guillotin quitte Paris pour se délivrer de cette tragique obsession, car, en l'an II, on le trouve, à Arras, directeur des hôpitaux militaires, installés dans l'abbaye Saint-Vaast, après l'expulsion des bénédictins. Emprisonné le 16 vendémiaire an IV (8 octobre 1795) au cours de la réaction thermidorienne, Guillotin est remis en liberté le mois suivant le 13 brumaire an IV (4 novembre 1795).

 

Il passe ensuite le restant de ses jours loin de la vie politique et ne se consacre plus qu'à la médecine, s’activant à propager la pratique de la vaccination contre la variole. Il préside le Comité central de vaccine créé en mai 1800, sous le Consulat par le ministre de l'intérieur, Chaptal. C'est, en cette qualité, que, le 10 ventôse an XIII (1er mars 1805), il est reçu avec le comité, en audience particulière, par le pape Pie VII. Il est chargé d’installer le premier programme cohérent de santé publique en France à l’échelle de la nation. Guillotin est également le fondateur de la Société Académique de Médecine, ancêtre de l'actuelle Académie nationale de médecine.

 

Une légende veut que Guillotin aurait lui-même été exécuté par « sa » machine et s'explique par une coïncidence : un médecin lyonnais, J. M. V. Guillotin (sans lien de parenté avec lui), est exécuté par la guillotine. Joseph Ignace Guillotin est en réalité mort chez lui, de causes naturelles (anthrax à l'épaule gauche), le 26 mars 1814 (à 75 ans).

 

Mort dans sa maison, à l'époque no 333 (aujourd'hui no 209) de la rue Saint-Honoré à Paris (au coin de la rue de La Sourdière), sans enfants, il laisse pour donataire universelle, en usufruit, Marie Louise Saugrain, sa veuve, et pour seule héritière, sa sœur Marie-Marguerite-Agathe-Monique Guillotin, épouse de Jean-François de La Charlonnie. Deux jours plus tard, après un éloge funèbre d'Edme-Claude Bourru, ancien doyen de l’ancienne Faculté de médecine de Paris, il est inhumé dans une concession temporaire au cimetière du Père-Lachaise. Sa tombe, dans l'actuelle 8e division, a depuis longtemps disparu.

 

Œuvres et publications

 

Articles sur les lois criminelles, dont l'Assemblée nationale a ordonné l'impression le premier décembre 1789, pour être discutés dans la séance du 2., Paris : Impr. nationale, (s. d.), In-8° , 3 p.

Pétition des citoyens domiciliés à Paris, du 8 décembre 1788 ([Reprod.]), chez Clousier, imprimeur du Roi, & des Six-corps (Paris), 1788, 1 microfiche ; 105*148 mm, lire en ligne sur Gallica.

Projet de décret sur l'enseignement et l'exercice de l'art de guérir, présenté au nom du Comité de salubrité par M. Guillotin, Paris : Impr. nationale, 1791, In-8° , 39 p.

Présentation du rapport du Comité central de vaccine au Premier consul, par le citoyen Guillotin, Paris, impr. de Plassan, (s. d.), In-8°, 3 p.

 

En collaboration

 

avec Docteur Salle: Le Grand spécifique, ou L'ordonnance de MM. Guillotin et Salle, docteurs en médecine, sur la maladie et le traitement de très-haut et très-puissant seigneur, monseigneur, le haut clergé de l'église gallicane ([Reprod.]) [s.n.], 179., 1 microfiche ; 105*148 mm, lire en ligne [archive] sur Gallica.

 

Dans la culture populaire

Cinéma

 

Joseph Guillotin est incarné au cinéma par Henri Virlojeux dans le film Caroline Chérie en 1968 et par Jacques Ciron dans le film La Révolution française en 1989.

 

Télévision

 

Joseph Guillotin est incarné par Amir El Kacem dans la série uchronique La Révolution, sortie le 16 octobre 2020 sur Netflix.

 

Bande dessinée

 

Joseph Guillotin est le héros de la bande dessinée pour adultes en petit format Madame Guillotine (dans Le Cimetière des Apaches, Paris, ElviFrance, 1975, coll. Série bleue n° 9, p. 113-223).

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph-Ignace_Guillotin

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Coupe du monde de rugby : France - All Blacks (27-13)

Publié à 03:08 par dessinsagogo55 Tags : sur merci france monde sport centerblog
Coupe du monde de rugby : France - All Blacks (27-13)



COUPE DU MONDE | FRANCE - ALL BLACKS | LES NOTES DES BLEUS : GRÉGORY ALLDRITT COLOSSAL, YORAM MOEFANA À LA PEINE
 
PAR SIMON FARVACQUE

MIS À JOUR 09/09/2023 À 15:04 GMT+2

 

Quelle performance. Grégory Alldritt a été monumental lors de la victoire française, vendredi au Stade de France, en match d'ouverture de la Coupe du monde de rugby 2023. Vainqueurs 27-13 face à la Nouvelle-Zélande, les Bleus ont aussi pu compter sur un Thomas Ramos serein, notamment dans les airs. Yoram Moefana, en revanche, est passé à côté, dans la foulée d'une entame manquée. 
 
 
Liens externes                                                  
 

https://www.eurosport.fr/rugby/coupe-du-monde/2023/coupe-du-monde-france-all-blacks-les-notes-des-bleus-gregory-alldritt-colossal-yoram-moefana-a-la-pe_sto9787938/story.shtml

 
Notes et références                                                    
   
   
  Coupe du monde de rugby à XV 2023
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Équipe de France de rugby à XV à la Coupe du monde 2023

Équipe de France de rugby à XV à la Coupe du monde 2023

 

Fabien Galthié annonce le groupe définitif de 33 joueurs sélectionnés pour la Coupe du monde le lundi 21 août (dans le Journal de 13 heures de TF1, diffuseur principal de la compétition en France).

 

Romain Ntamack, blessé lors du second match de préparation, est le grand absent de cette sélection.

 

Anthony Jelonch, en phase de reprise après sa blessure dans le Tournoi des Six Nations, et Cyril Baille, blessé et indisponible pour les premiers matchs de la phase de groupe, sont sélectionnés.

 

Louis Bielle-Biarrey, ailier ou arrière de 20 ans sans sélection avant l'été, est retenu dans le groupe pour disputer la compétition, au détriment d'Ethan Dumortier, titulaire lors des cinq matchs du Tournoi des Six Nations.

 

Le 1er septembre, Paul Willemse, blessé à une cuisse, est contraint au forfait pour la compétition. Il est remplacé dans le groupe français par Bastien Chalureau

 
 

Avants

Nom Naissance Sélections

(Pts marqués)

Club Année de

1re sélection

 

Piliers

Dorian Aldegheri 4 août 1993 (30 ans) 10 (0)  Stade toulousain 2019
Uini Atonio 26 mars 1990 (33 ans) 52 (10)  Stade rochelais 2014
Cyril Baille 15 septembre 1993 (29 ans) 44 (15)  Stade toulousain 2016
Sipili Falatea 6 juin 1997 (26 ans) 13 (5)  Union Bordeaux Bègles 2021
Jean-Baptiste Gros 29 mai 1999 (24 ans) 23 (0)  RC Toulon 2020
Reda Wardi 2 août 1995 (28 ans) 8 (0)  Stade rochelais 2022

 

Talonneurs

Pierre Bourgarit 12 septembre 1997 (25 ans) 9 (5)  Stade rochelais 2018
Julien Marchand 10 mai 1995 (28 ans) 30 (5)  Stade toulousain 2018
Peato Mauvaka 10 janvier 1997 (26 ans) 22 (25)  Stade toulousain 2019

 

Deuxièmes lignes

Thibaud Flament 29 avril 1997 (26 ans) 17 (20)  Stade toulousain 2021
Romain Taofifénua 14 septembre 1990 (32 ans) 43 (10)  Lyon OU 2012
Bastien Chalureau 13 février 1992 (31 ans) 6 (0)  Montpellier HR 2022
Cameron Woki 7 novembre 1998 (24 ans) 21 (10)  Racing 92 2020

 

Troisièmes lignes aile

Paul Boudehent 21 novembre 1999 (23 ans) 2 (0)  Stade rochelais 2023
François Cros 25 mars 1994 (29 ans) 20 (5)  Stade toulousain 2019
Anthony Jelonch 28 juillet 1996 (27 ans) 25 (15)  Stade toulousain 2017
Sekou Macalou 20 avril 1995 (28 ans) 18 (5)  Stade français 2017
Charles Ollivon 11 mai 1993 (30 ans) 34 (65)  RC Toulon 2014

 

Troisièmes lignes centre

Grégory Alldritt 23 mars 1997 (26 ans) 40 (20)  Stade rochelais 2019

 

Arrières

Nom Naissance Sélections

(Pts marqués)

Club Année de

1re sélection

 

Demis de mêlée

Baptiste Couilloud 22 juillet 1997 (26 ans) 12 (15)  Lyon OU 2018
Antoine Dupont  15 novembre 1996 (26 ans) 48 (60)  Stade toulousain 2017
Maxime Lucu 12 janvier 1993 (30 ans) 14 (5)  Union Bordeaux Bègles 2021

 

Demis d'ouverture

Antoine Hastoy 4 juin 1997 (26 ans) 3 (0)  Stade rochelais 2021
Matthieu Jalibert 6 novembre 1998 (24 ans) 24 (84)  Union Bordeaux Bègles 2018

 

Centres

Jonathan Danty 7 octobre 1992 (30 ans) 21 (15)  Stade rochelais 2016
Gaël Fickou 26 mars 1994 (29 ans) 80 (70)  Racing 92 2013
Yoram Moefana 18 juillet 2000 (23 ans) 17 (10)  Union Bordeaux Bègles 2020
Arthur Vincent 30 septembre 1999 (23 ans) 15 (5)  Montpellier HR 2020

 

Ailiers

Louis Bielle-Biarrey 19 juin 2003 (20 ans) 2 (5)  Union Bordeaux Bègles 2023
Damian Penaud 25 septembre 1996 (26 ans) 43 (130)  Union Bordeaux Bègles 2017
Gabin Villière 13 décembre 1995 (27 ans) 13 (30)  RC Toulon 2020

 

Arrières

Melvyn Jaminet 30 juin 1999 (24 ans) 14 (160)  Stade toulousain 2021
Thomas Ramos 23 juillet 1995 (28 ans) 26 (179)  Stade toulousain 2019

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quipe_de_France_de_rugby_

%C3%A0_XV_%C3%A0_la_Coupe_du_monde_2023

 
Notes et références                                                    
   
   
   
  Coupe du monde de rugby à XV 2023
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Louis Hachette

Louis Hachette

 

 

Louis Hachette, né le 5 mai 1800 à Rethel (Ardennes) et mort le 31 juillet 1864 en son château du Plessis-Piquet (Seine), est un éditeur français, fondateur en 1826 de la maison d'édition qui porte aujourd'hui encore son nom, et qui, en 2020, est le premier groupe éditorial français.

 

Biographie

 

Louis Christophe François Hachette est issu d'une famille paysanne, par la suite émigrée à Paris. Son père est pharmacien militaire ou huissier de justice selon les sources. Sa mère travaille comme lingère au lycée Louis-le-Grand, ce qui permet à Louis d'y être scolarisé. Il y côtoie Louis Marie Quicherat et Émile Littré.

 

En 1819, il entre second au Pensionnat normal, prédécesseur de l'École normale supérieure, où il suit les cours de François Guizot. Sa carrière prometteuse dans l'enseignement est brisée lorsque le gouvernement de Joseph de Villèle décide de fermer l'établissement (1822).

 

Latiniste, anglophone, Louis Hachette commence alors des études de droit, tout en gagnant sa vie comme précepteur des enfants d'un grand notaire parisien, Pierre Fourcault de Pavant. Grâce à son aide, il acquiert en août 1826 un brevet de libraire-éditeur et fonde une librairie classique au 12 rue Pierre-Sarrazin (à la place de l'ancienne petite librairie de Jean-François Brédif), baptisée Librairie L. Hachette à laquelle son activité donne de très grands développements dès 1832 quand il reçoit des commandes du ministère de l’Instruction publique. En 1836, il reçoit du ministère Guizot le titre très envié de « libraire de l'Université ». En 1840, il s'associe au notaire Henri Bréton dont le fils épouse la fille de sa seconde femme ; ils développent une librairie scientifique et littéraire d'où sortent de nombreuses et importantes publications.

 

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Louis Hachette publie Jules Michelet dès 1833.

Jusqu'en 1850, la maison L. Hachette se consacre exclusivement à l'édition scolaire et universitaire. Il fonde plusieurs recueils périodiques, comme la Revue de l'instruction publique et le Manuel général de l'instruction primaire, ce dernier support étant un peu le bulletin officiel de l'administration de l'enseignement public généralisé depuis la loi de 1833.

 

Son génie du marketing est à l'origine de plusieurs innovations qui assurent le succès à sa maison d'édition.

 

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Prospectus de la Bibliothèque des chemins de fer, reproduit en 1853 à la fin d'un ouvrage de la collection.

Il propose aux libraires de leur faire parvenir un exemplaire de toutes ses publications, avec la possibilité de les lui renvoyer s'ils ne sont pas vendus au cours de la première année (en moyenne après 6 mois). Ce système s'est largement développé pour devenir l'office tel qu'on le connaît aujourd'hui.

 

Il a surtout l'idée, le premier en France, en s'inspirant d'un modèle anglais imaginé par W. H. Smith, d'installer des points de vente dans les gares ferroviaires, créant ainsi le réseau des « Bibliothèques des Chemins de fer », « colportant » des ouvrages littéraires ou pratiques en un volume, dans une présentation commode pour le voyageur, et des périodiques. Il avait rencontré en 1853 Eugène de Ségur, président de la Compagnie des Chemins de fer de l'Est, qui lui aurait accordé l'exclusivité de ces points de vente et concessions sous la condition qu'il publierait les histoires pour enfants de son épouse, la comtesse de Ségur, ce qu'il n'eut pas à regretter. Ces points de vente sont devenus plus tard les boutiques Relay. Mais,

 

« dans les faits, Louis Hachette demande, le 17 mai 1853, l’autorisation du ministre secrétaire d’État au département de la Police générale, M. de Maupas, d’installer des officines pour vendre des livres sous son brevet de libraire, il lui est répondu qu’un brevet de librairie est personnel et ne peut concerner qu’une boutique. Hachette doit modifier ses prétentions ; il sollicite l’autorisation “de laisser vendre dans le[ur]s stations tous les Ouvrages soumis au Colportage”. Les bibliothèques vont devenir des lieux de colportage ; ce qui signifie, a priori, que les vendeurs doivent se déplacer, alors que Louis Hachette désire des emplacements stables. De là surgit une polémique avec le Cercle de la Librairie, les maisons Chaix et Charpentier qui durera plusieurs décennies, et à laquelle participent le monde politique et la presse. Il lui est reproché non seulement d’avoir usurpé le droit d’installer des bibliothèques fixes, de privilégier la vente de ses propres publications, mais également de censurer certains ouvrages, et de ne pas offrir assez de liberté aux journaux dans leur diffusion. »

 

Il se lance dans la presse avec Le Tour du monde, le Journal pour tous (1855) et la Semaine des enfants (1857).

 

Ses gendres et associés, Louis Bréton (1817-1883) et l'avocat Émile Templier (1821-1891), prennent la cogérance avec lui (un tiers chacun) de la société pour former la Librairie L. Hachette et Cie, société en nom collectif fondé dès 1840, et s'adjoignent plus tard ses deux fils, Alfred (1822-1872) et Jean-Georges (1838-1892), entre 1857 et 1864.

 

Ces cinq personnalités, dont Louis Hachette qui garde le contrôle des relations avec l'Université et le pouvoir politique, s'entourent de directeurs de collection, chose nouvelle à l'époque. Ainsi, Adolphe Joanne gère les guides de voyages (les futurs Guides bleus), Adolphe Régnier les « Grands Écrivains de France », Victor Duruy la série Histoire de France.

 

Côté littérature, Louis Hachette finit par vouloir concurrencer Michel Lévy frères, le leader français incontesté du secteur littéraire à cette époque : il rachète le fonds d'Eugène Renduel en 1841, puis celui de Victor Lecou en 1855, compléments de la Bibliothèque des Chemins de fer, origine des futures Bibliothèque rose et verte destinées à la jeunesse. Côté dictionnaire, Hachette retrouve son ami Émile Littré pour diffuser son Dictionnaire de la langue française mais aussi Gustave Vapereau.

 

À sa mort, la maison Hachette est la plus grande maison d'édition française et européenne et son siège parisien s'étend sur 10 000 m2 boulevard Saint-Germain. Sa fortune personnelle est évaluée à plus de deux millions de francs-or.

 

Le 19 juillet 1854, il avait acheté à la famille Odier le château du Plessis-Piquet où il meurt dix ans plus tard le 31 juillet 1864. Il possédait également l'hôtel particulier situé au 24 boulevard Saint-Michel.

 

Descendance en 1re génération

 

Avec Amélie Barbedienne (1803-1832):

Louise-Agathe (1829-1900) et

Alfred-Louis (1832-1872)

 

Avec Pauline Catherine Royer, veuve Auzat (1804-1872):

Jean-Georges (1838-1892), qui eut pour enfants :

Louis-Marcel-André (1870-1941),

Suzanne Élise (1872-1946),

André (1873-1945) et

Jean-Alfred (1876-1947)

 

Décoration

 

1860 : chevalier de la Légion d'honneur

 

 

Chantiers de Penhoët

Publié à 08:32 par dessinsagogo55 Tags : société mode monde saint france merci centerblog sur center histoire
Chantiers de Penhoët

 

Les Chantiers et ateliers de Penhoët ou Chantiers de Penhoët sont un chantier naval implanté à Saint-Nazaire en 1881. Il fait suite au chantier Scott (1862-1870). L'activité sera reprise sous le nom des Chantiers de L'Océan entre 1869-1870, sans succès. La reprise suivante ne se fait qu'en 1881 sous le nom des « Chantiers et Ateliers de Penhoët »  sous la seule égide de la Compagnie générale des Transatlantiques, jusqu'en 1900 où le chantier prend comme dénomination : « Société des Chantiers et Ateliers de Saint-Nazaire - Penhoët » qui en fusionnant en 1955 avec les Ateliers et Chantiers de la Loire installés à proximité en 1882, deviendront les Chantiers de l'Atlantique, puis par la suite STX France en 2008, avant de reprendre sa précédente dénomination en 2018.

 

Histoire

 

Le chantier Scott est créé en 1862 par John Scott et les frères Pereire de la Compagnie générale transatlantique (CGT). Ces chantiers sont actifs de 1862 à 1870. Ces premiers chantiers feront faillite en 1866, due en partie à un mauvais choix de la Compagnie générale transatlantique (C.G.T.) de faire construire des navires à vapeur à roues plutôt qu'à hélice, mode de propulsion privilégié par les compagnies concurrentes comme la Cunard Line. L'activité reprendra en 1869 sur ce site avec les Chantiers de l'Océan, mais leur fermeture advient l'année suivante.

 

Ce n'est qu'en 1881 que les chantiers nazairiens prennent leur essor durablement, le port de Saint-Nazaire devenant intéressant pour la construction navale grâce à son agrandissement avec le bassin de Penhoët inauguré par le ministre des travaux publics et le ministre des Postes le dimanche 8 mai 1881.

 

Les forges de Trignac, créées en 1879, fournissent les chantiers Penhoët en tôles de fonte et d'acier pour la fabrication des coques de paquebot. De 1881 à 1900, les chantiers construiront principalement des paquebots, la Compagnie Générale des Transatlantiques étant à leur tête.

 

En 1900, sous une nouvelle direction, les chantiers deviennent la « Société des Chantiers et Ateliers de Saint-Nazaire - Penhoët » jusqu'à la fusion avec l'entité voisine des « Ateliers et Chantiers de la Loire » pour former les Chantiers de l'Atlantique en 1955. L'école d'apprentissage est touchée par le bombardement de Saint-Nazaire du 9 novembre 1942, entraînant notamment le décès de 134 apprentis âgés de 14 à 17 ans sur un total de plus de 180 morts et plus de 100 blessés.

 

Navires construits

 

Sur les Chantiers John Scott (1862-1866)

 

Pour la Compagnie Générale Transatlantique

Les paquebots :

 

Impératrice Eugénie (1864),

France (1864),

Nouveau Monde (1865),

Panama (1866),

 

Saint Laurent (1866) modifié sur cale en navire à hélice.

 

Sur les Chantiers et Ateliers de Penhoët (1881-1900)

 

Pour la Compagnie Générale Transatlantique

Les paquebots :

 

La Bretagne (1886),

La Touraine (1891),

La Navarre (1893)

La Savoie (1900).

 

Sur les Chantiers et Ateliers de Saint-Nazaire - Penhoët (1900-1955)

 

Pour des armateurs nazairiens et nantais

Les navires à voiles :

 

Daniel 3 mâts carré (1902) pour la Société des Voiliers Nazairiens,

Crillon 3 mâts carré (1902) pour la Compagnie Maritime Française,

Vercingétorix 3 mâts carré (1902) pour la Compagnie Française de Navigation.

 

Pour la Compagnie Générale Transatlantique

Les Paquebots :

 

La Provence (1906),

France (1910),

Paris (1921),

Île-de-France (1927),

Normandie (1932).

 

Pour la Compagnie de Navigation Sud-Atlantique

 

le Paquebot L'Atlantique (1930).

 

Pour la Marine Nationale française

le porte-avions Joffre fut commencé dans ce chantier en 1938, mais il ne fut jamais terminé à la suite du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.

le cuirassé Jean Bart Bâtiment de ligne (1940).

 

Pour le commerce maritime

Ariane Pétrolier (1948) pour la Compagnie auxiliaire de navigation,

Dalila Pétrolier (1952) pour la Compagnie auxiliaire de navigation.

 

 

La Provence (paquebot de 1906)

Publié à 07:47 par dessinsagogo55 Tags : center air centerblog course sur mer merci france monde presse voyage enfants histoire
La Provence (paquebot de 1906)

 

La Provence est un paquebot transatlantique français lancé en 1906 et coulé en Méditerranée pendant la Première guerre mondiale (en 1916) alors qu'il servait de transport de troupes.

 

Histoire civile

 

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Coupe paquebot La Provence

À sa mise en service, La Provence est le plus grand et le plus rapide paquebot français mais ses dimensions ayant été dictées par les capacités d'accueil maximales du port du Havre, son tonnage est alors très inférieur aux grands paquebots transatlantiques des concurrents étrangers. Ce handicap ne sera levé qu’avec les travaux entrepris pour la mise en service du Normandie dans les années 1930.

 

La Provence est également le premier paquebot de la Compagnie générale transatlantique équipé de la télégraphie sans fil (TSF) et c’est à son bord que fut imprimé le premier exemplaire de L’Atlantique, le journal destiné aux passagers qui sera ensuite imprimé et diffusé sur tous les paquebots transatlantiques jusqu’à l’arrêt du France en 1974.

 

La propulsion est assurée par deux machines à vapeur classiques à triple expansion qui sont parmi les plus puissantes du monde (30 000 cv à comparer aux 31 000 cv du Lucania et de son sister-ship (l'Etruria de la Cunard Line britannique). Elles représentent l'apogée de la machine alternative à pistons qui sera bientôt supplantée pour les fortes puissances par les turbines à vapeur inventées par l'ingénieur Charles Algernon Parsons. Ces turbines à vapeur seront installées sur les navires transatlantiques de la génération suivante dotés de quatre lignes d'arbres porte-hélice : Le Mauretania et le Lusitania de la Cunard ou le France (1912) de la compagnie générale transatlantique.

 

Il est mis en service en avril 1906 sur la ligne Le Havre - New York où il assure le service express en compagnie des paquebots La Lorraine et La Savoie, de dimensions plus réduites. Au retour de son deuxième voyage, il effectue une course mémorable avec le paquebot allemand Deutschland qu’il bat finalement de 4 heures, les passagers américains ayant engagé des paris importants à bord des deux rivaux.

 

Histoire militaire

 

Le 2 août 1914, il est réquisitionné et converti en croiseur auxiliaire.

 

Il est rebaptisé Provence II, un cuirassé français portant déjà le même nom. Il est armé de 5 canons de 140 mm, 2 de 57 mm et 4 de 47 mm.

 

À partir de janvier 1915, il est utilisé pour le transport de troupes vers les Dardanelles.

 

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Le paquebot servant de transport de troupes pendant la Première Guerre mondiale

Le 23 février 1916 au soir, la Provence II part de Toulon pour Salonique avec 1 700 hommes encore inexpérimentés du 3e régiment d'infanterie coloniale. Le 26 février 1916, la Provence II est torpillée au large du cap Matapan, en Méditerranée, par le sous-marin allemand U 35. Le navire sombre en 17 minutes, faisant officiellement 912 victimes, dont le commandant, le capitaine de frégate savoyard Henri Vesco, qui avait demandé qu'on débarque 1 100 personnes en raison du manque de brassières de sauvetage.

 

Les journaux se font l'écho de la perte du navire.

 

Au moment du naufrage, le commandant Henri Vesco, tout en dirigeant l'évacuation, reste à la passerelle jusqu'au dernier instant du navire qui s'enfonce rapidement par l'arrière, d'où il s'adresse une dernière fois par-dessus le tumulte aux malheureux hommes n'ayant pu évacuer et qui se sont regroupés sur le pont avant, en leur criant « Adieu mes enfants ! ». Ce à quoi ces derniers lui répondent en criant « Vive la France », avant d'être tous emportés par les flots car le navire s'enfonce à la verticale comme une flèche. À leur tour, les survivants des canots et des radeaux lancent en retour « Vive la France ».

 

Les rescapés secourus par des navires des marines de guerre française et britannique sont débarqués à Milo en Sicile et à Malte.

 

Voici comment un médecin passager, le Dr Clunet, décrit la fin du croiseur auxiliaire :

 

« L'affolement commence environ 5 minutes après le torpillage alors que le bateau est à peine enfoncé à l'arrière et semble immobile et paraît devoir supporter son avarie. Cet affolement demeure silencieux : pas de cris, seulement quelques râles de gens étouffés et étranglés dans la presse des escaliers. Des hommes, frappés de stupeur, immobiles sur le pont, où la plupart très agités se livrent à des actes déraisonnables. Certains s'entassent sur les embarcations, sur le pont, sans essayer de les mettre à la mer, d'autres montent dans les haubans de la mâture ; d'autres encore tirent des coups de revolver et des coups de fusil en l'air. »

 

 

 

 

 

 

Emma de Caunes

Emma de Caunes



Emma de Caunes, née le 9 septembre 1976 à Paris, est une actrice française de cinéma et animatrice télé. Elle est la fille de l'animateur télé et cinéaste Antoine de Caunes et de Gaëlle Royer, réalisatrice de documentaires et graphiste.
 
 
Sa carrière commence lorsqu'elle a dix ans, par un rôle qu'elle doit à sa marraine Michèle Reiser. Emma obtient son bac L cinéma en 1995 et elle l'annonce à son père en direct, lors de la dernière émission, le 29 juin, pour son père de Nulle part ailleurs.

 

On l'aperçoit ensuite dans quelques spots publicitaires pour Clearasil, Dim ou Crunch... Mais c'est son rôle dans Un frère, de Sylvie Verheyde, pour lequel elle obtient un césar en 1998, qui la révèle vraiment au public.
 

Elle poursuit alors sa carrière, que ce soit au théâtre, dans la publicité, ou au cinéma. Son travail est encouragé en 2002 par le prix Romy-Schneider, récompensant chaque année une jeune actrice. Elle se frotte par ailleurs à la réalisation avec divers court-métrages.
 

Elle s'est mariée en septembre 2001 au chanteur Sinclair (Mathieu Blanc-Francard), avec lequel elle a eu une fille, Nina, née en octobre 2002 à Paris (divorce en 2005 après onze ans de vie commune).
 

Emma de Caunes a posé nue pour Playboy en décembre 2008.



Filmographie


Emma de Caunes photographiée en 2005 par le studio Harcourt.
1988 : Margot et le voleur d'enfants de Michèle Reiser
1996 : Liberté chérie de Jean-Marc Brondolo
1996 : Vladimir en trop de Jacques-Henri Rochereuil : Lola (court-métrage)
1996 : Velvet 99 : Milli Vanilli (court-métrage)
1996 : L'Échappée belle d'Étienne Dhaene : Juliette
1997 : Au bord de l'autoroute de Oliver Jahan : Camille (court-métrage)
1997 : Un frère de Sylvie Verheyde : Sophie
1998 : Beaucoup trop loin (court-métrage)
1998 : 3 petits points la lune (court-métrage)
1998 : La voie est libre de Stéphane Clavier : Nadia
1998 : Restons groupés de Jean-Paul Salomé : Claire
1999 : Mondialito de Nicolas Wadimoff : Louisa
1999 : Mille Bornes d'Alain Beigel : Nina
1999 : Le Nombril de l'univers en tant que réalisatrice
2000 : Faites comme si je n'étais pas là d'Olivier Jahan : Marie
2000 : Sans plomb de Muriel Téodori : Marie
2000 : Princesses de Sylvie Verheyde : Sophie
2002 : Les Amants du Nil d' Éric Heumann : Anne Frendo
2002 : Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre d'Alain Chabat : la secrétaire de César
2004 : Ma mère de Christophe Honoré : Hansi
2005 : Short Order : Fiona
2006 : La Science des rêves : Zoé
2006 : Souris City : Rita (voix)
2006 : Le Scaphandre et le Papillon de Julian Schnabel : l'impératrice Eugénie
2007 : Les Vacances de Mr. Bean : Sabine
2007 : L'Âge des ténèbres de Denys Arcand : Karine Tendance
2008 : Le Bruit des gens autour de Diastème : Maud
2008 : Coluche, l'histoire d'un mec d'Antoine de Caunes : une infirmière

Théâtre


2001: La Nuit du thermomètre de Diastème, mise en scène de l'auteur, théâtre de Nice : Lucie
2003: La Nuit du thermomètre de Diastème, mise en scène de l'auteur, théâtre Marigny
2009 : L'Amour de l'art de Diastème, mise en scène de l'auteur, théâtre du Chêne Noir Festival d'Avignon off

Télévision

2005 : Kaamelott : Azénor (2 épisodes)
2008 : Rien dans les poches de Marion Vernoux : Marie Manikowski
2009 : Sweet Dream de Jean-Philippe Amar : Adèle
2011 : Faux coupable de Didier Le Pêcheur : Lena Hemont
En 2001, elle est la partenaire de Thom Yorke dans le clip Knives out de Radiohead (par Michel Gondry)
Elle joue dans le clip Si c'est bon comme ça de Sinclair
Elle anime l'émission de musique de Canal+ La musicale

Participations annexes

Beyond Good & Evil de Michel Ancel; où elle donne sa voix à Jade
Alone in the Dark: The New Nightmare où elle donne sa voix à Aline Cedrac.
Emma est marraine de l'opération caritative Novembre en enfance
En 2004, elle est présidente du jury du Festival des Très Courts.

Nominations

Molières 2003 :
 
 

 

 

Pierre Mendès France

Publié à 18:03 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur merci vie france monde homme mort blogs
Pierre Mendès France

 

 

Pierre Mendès France, parfois surnommé PMF, est un homme d'État français, né le 11 janvier 1907 à Paris et mort le 18 octobre 1982 dans la même ville.

 

Il s'initie à la vie politique dès 1924 dans les mouvements étudiants d'opposition à l'extrême droite. Il rencontre Édouard Herriot, qui le motive à adhérer au Parti républicain, radical et radical-socialiste (PRRRS).

 

Aux élections législatives de 1932, il est élu de justesse député de l'Eure. Malgré le fait qu'il soit plus identifié à gauche que la majorité du Parti radical, s'opposant parfois aux grandes figures du parti, il en reste membre. Après les évènements du 6 février 1934 et la chute du gouvernement Daladier, il s'oppose fermement à l’alliance des radicaux avec la droite, dont la Fédération républicaine de Louis Marin. En 1938, il participe à la coalition du Front populaire et devient membre du second gouvernement Blum.

 

Pendant la Seconde guerre mondiale, après avoir été incarcéré par le régime de Vichy, il parvient à rejoindre la Résistance et s'engage dans les Forces aériennes françaises libres. Il est commissaire aux Finances puis ministre de l'Économie nationale dans le gouvernement provisoire du général de Gaulle de septembre 1943 à avril 1945. Son plan de rigueur est rejeté par le général de Gaulle, ce qui conduit Pierre Mendès France à la démission.

 

Nommé président du Conseil par le président René Coty en juin 1954, il cumule cette fonction avec celle de ministre des Affaires étrangères. S'il parvient à conclure la paix en Indochine, à préparer l'indépendance de la Tunisie et à amorcer celle du Maroc, ses tentatives de réforme en Algérie entraînent la chute de son gouvernement, cible à la fois de ses adversaires colonialistes et de ses soutiens politiques habituels anti-colonialistes. Renversé par l'Assemblée nationale sur cette question très sensible de l'Algérie française, il quitte la présidence du gouvernement en février 1955.

 

Ministre d'État sans portefeuille du gouvernement Guy Mollet en 1956, il démissionne au bout de quelques mois en raison de son désaccord avec la politique du cabinet menée en Algérie.

 

Il vote contre l'investiture de Charles de Gaulle à la présidence du Conseil en 1958, puis abandonne tous ses mandats locaux à la suite de sa défaite aux élections législatives qui suivent. Après avoir été pressenti pour se présenter à l’élection présidentielle de 1965, il revient au Parlement en 1967, en se faisant élire député de l'Isère. Ayant perdu son siège à l’Assemblée nationale l'année suivante, il forme un « ticket » avec Gaston Defferre, candidat à l'élection présidentielle de 1969, mais celui-ci ne recueille que 5 % des suffrages exprimés.

 

Bien qu'il n'ait dirigé le gouvernement de la France que pendant un peu plus de sept mois, il constitue une figure morale pour une partie de la gauche en France. Au-delà, il demeure une référence pour des personnalités de la classe politique française, incarnant le symbole d'une conception exigeante de la politique.

 

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Mend%C3%A8s_France

 
     
     
Notes et références                                                    
   
    Monde : France 1900 à 1999 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Albert Lebrun

Publié à 21:58 par dessinsagogo55 Tags : pouvoir mort homme center afrique france sur merci monde blogs centerblog
Albert Lebrun

 

 

Albert Lebrun, né le 29 août 1871 à Mercy-le-Haut (alors en Moselle) et mort le 6 mars 1950 à Paris (alors dans le département de la Seine), est un homme d'État français. Il est président de la République française du 10 mai 1932 au 11 juillet 1940 (le dernier de la IIIe République).

 

Fils d’un agriculteur lorrain, il naît en territoire occupé par l’Empire allemand à la suite de la défaite française de 1870. Après une scolarité au lycée national de Nancy, il sort major de promotion de l'École polytechnique et de l'École nationale supérieure des mines de Paris, puis exerce pendant cinq ans la profession d’ingénieur des mines à Vesoul et Nancy.

 

Sa carrière politique commence en 1898, avec son élection comme conseiller général de Meurthe-et-Moselle. En 1900, à 29 ans, il est élu député de Meurthe-et-Moselle. Républicain modéré, il rejoint l’Alliance républicaine démocratique, qui connaîtra plusieurs dénominations et avec laquelle il évoluera à droite.

 

Il fait partie de plusieurs gouvernements de la Troisième République, en tant que ministre des Colonies (1911-1912 et 1913-1914), de la Guerre (1913) et des Régions libérées (1917-1919). Proche de Georges Clemenceau puis de Raymond Poincaré, il entre en 1920 au Sénat comme représentant de Meurthe-et-Moselle : devenu l'un des membres les plus influents de la chambre haute, il en est élu président en 1931.

 

L’année suivante, après l'assassinat de Paul Doumer, il est facilement élu à la présidence de la République. Son premier mandat est marqué par une forte instabilité politique, la succession de plusieurs gouvernements et les événements du 6 février 1934, qui le conduisent à désigner un cabinet d'union nationale ; en outre, il ne peut empêcher l'accession au pouvoir du Front populaire et de son chef de file, Léon Blum. Il préside au lancement de Normandie en 1932 et à son inauguration en 1935, ainsi qu’à l’ouverture de l’Exposition internationale de Paris 1937.

 

En avril 1939, à l’approche de la Seconde Guerre mondiale, il est réélu pour un second mandat présidentiel, une première sous la Troisième République depuis Jules Grévy en 1885. À la suite de la défaite des armées alliées, il nomme le maréchal Pétain à la présidence du Conseil. Celui-ci signe rapidement un armistice avec l'Allemagne nazie puis instaure le régime de Vichy, ce qui met un terme à la présidence d’Albert Lebrun, qui souhaitait la poursuite de la lutte en Afrique française du Nord.

 

 

En 1943, alors qu’il est retiré à Vizille (Isère), où il est placé en résidence surveillée, il est enlevé par les Allemands, qui le maintiennent en détention pendant un mois. À la fin du conflit, Albert Lebrun — qui n'a jamais démissionné — ne retrouve pas son mandat de président de la République, qui devait en principe s'achever en 1946, en raison du changement de régime.

 

 


Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Lebrun

 
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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