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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
L'histoire du CF-105 Arrow, un intercepteur biplace conçu au Canada dans les années 1950 par la société Avro, au temps de la Guerre froide. Malgré ses performances impressionnantes pour l'époque, seuls quelques prototypes ont volé avant l'abandon complet du programme en 1959.
1997
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L'Avro CF-105 Arrow était un projet ambitieux d'intercepteur biplace conçu au Canada dans les années 1950, au temps de la guerre froide. Malgré ses performances impressionnantes pour l'époque, seuls quelques prototypes ont volé avant l'abandon complet du programme le 20 février 1959.
Histoire
En avril 1953, la RCAF émit ses exigences pour un nouvel appareil qui devait remplacer le CF-100 Canuck. Cet avion devait dépasser Mach 2, atteindre une altitude supérieure à 18 000 m, et exécuter un virage à 2 G sans perdre ni vitesse ni altitude. La satisfaction de ces spécifications apparaissait impossible à la plupart des observateurs.
Le développement de l'appareil par Avro Canada commença en 1953, pour aboutir à un avion de grande taille doté d'une aile delta en position haute. Quelques essais furent effectués avec des maquettes propulsées par des fusées, certains au-dessus du Lac Ontario et d'autres aux États-Unis, qui disposaient de meilleurs instruments de mesure. Les ingénieurs canadiens rencontrèrent de nombreux problèmes. Par exemple, en soufflerie, les maquettes atteignaient facilement Mach 1,8 mais, au-delà, l'air circulait seulement sur le bord d'attaque et l'aile ne produisait donc plus de portance.
Au départ, l'appareil aurait dû être propulsé par des turboréacteurs Rolls-Royce RB.106 mais, par crainte que ces moteurs ne soient pas prêts à temps, il fut décidé d'utiliser des Pratt & Whitney J75 pour les prototypes et, en parallèle, de faire développer un turboréacteur au Canada par la compagnie Orenda. Ce réacteur, qui sera nommé PS.13 Iroquois, devait fournir une poussée de 11 820 kg avec post-combustion. Il fut testé au sol en 1955 et en vol en 1957 sur un Boeing B-47 Stratojet prêté par les États-Unis.
Le CF-105 était le premier avion au monde équipé de commandes de vol électriques. Il disposait également d'un pilote automatique. Il avait une soute à armement ventrale de 5 mètres de long et devait initialement emporter des missiles air-air Hugues AIM-4 Falcon américains et le système de tir associé. En 1955, la RCAF demanda à pouvoir utiliser le missile Sparrow II, alors en cours de développement aux États-Unis. Quand ce missile fut abandonné, un an plus tard, le Canada reprit le développement à sa charge.
Immatriculé RL-201, le premier CF-105 Arrow sortit de l'usine le 4 octobre 1957. Cela aurait pu être un très grand événement mais, le même jour, les Soviétiques lançaient Spoutnik 1, qui vola évidemment la vedette dans les médias. Le premier vol eut lieu le 25 mars 1958, aux mains de Januz Zura Zurakowski, pilote d'essai principal. Ce prototype était provisoirement doté de Pratt & Whitney J75 américains car les Iroquois n'étaient pas encore au point. Le vol dura 35 minutes, train d'atterrissage sorti.
Quatre autres prototypes dotés des turboréacteurs J75 suivirent, immatriculés RL-202, RL-203, RL-204 et RL-205. Les vols d'essai s'enchaînèrent : l'Arrow atteignit Mach 0,9 en croisière et Mach 2 en pointe, une altitude de 16 000 m, une vitesse ascensionnelle de 4 500 m/min et un rayon d'action de 750 km. Début 1959, le sixième prototype (RL-206) était pratiquement achevé. Il était enfin équipé des turboréacteurs Iroquois, beaucoup plus puissants que les J75. Sur le papier l'appareil aurait pu atteindre Mach 1,2 en croisière, Mach 2,5 en pointe, une altitude de 21 000 m, une vitesse ascensionnelle de 6 000 m/min et un rayon d'action de 1 000 km. Malheureusement, il semblerait que cet appareil n'ait jamais pu prendre l'air, bien que certaines personnes affirment que le RL-206 aurait effectué un dernier vol battant tous les records de l'époque, mais que le gouvernement canadien aurait imposé le secret. Après 70 h 30 de vol en 66 sorties, les cinq prototypes furent cloués au sol le 12 janvier 1959.
Sabordage
Quelques jours plus tard, le 20 février 1959, John George Diefenbaker, le premier ministre du Canada de l'époque, annonça officiellement à la Chambre des Communes l'annulation du projet Arrow. Officiellement, les arguments étaient que le projet était trop coûteux et qu'il ne répondait plus aux exigences après l'apparition des missiles intercontinentaux. L'Arrow étant incapable de faire face à cette nouvelle menace, il valait mieux confier la défense à des missiles sol-air BOMARC américains, qui étaient efficaces à la fois contre les bombardiers et les missiles.
Il faut dire que les coûts de développement de l'Arrow avaient très nettement augmenté depuis que le développement de l'appareil était passé d'Avro à l'Aviation royale du Canada : évalués initialement entre 2 et 4 millions de $CAN par appareil, le prix unitaire atteignait maintenant 12,5 millions (à comparer aux 2 millions à l'unité des missiles BOMARC). Parallèlement, après l'apparition des missiles intercontinentaux, de plus en plus de spécialistes considéraient que l'avenir était aux missiles guidés et non plus aux avions pilotés. Enfin, les retards s'accumulaient, notamment en ce qui concerne la mise au point de la conduite de tir, confiée à RCA et Honeywell Canada après le désistement de Hughes Aircraft.
Officieusement, la découverte de fuites au plus haut niveau des gouvernements anglais et canadien favorisant d'importants transferts de technologie vers l'URSS laissèrent présager le risque que les Arrow auraient pu être retournés contre les États-Unis ou dérobés sous leur nez à destination de l'URSS, sans aucune possibilité pour les forces aériennes américaines de les contrer avec leur propre technologie. Pour nombre d'experts militaires, la découverte quelques années plus tard de l'intercepteur MiG-25 (code OTAN « Foxbat »), au gabarit et aux performances étonnamment proches, sonna comme la confirmation que les efforts canadiens avaient bel et bien été éventés.
Le vol de l'un des prototypes aurait servi d'inspiration à l'écrivain Craig Thomas avant d'être adapté au cinéma par Clint Eastwood dans Firefox, l'arme absolue, la subtilisation ayant cette fois-ci lieu dans le sens inverse, la motivation de corruption, alors moins crédible sous un régime communiste, ayant laissé place au devoir « patriotique » d'ingénieurs dissidents travaillant sous la contrainte, rappelant ironiquement la situation des ingénieurs allemands engagés dans ce même projet.
Le projet fut donc totalement abandonné, alors que 37 appareils étaient déjà sur les chaînes de montage sur le point d'être finalisés et que 82 % des pièces avaient déjà été manufacturées pour les 87 appareils suivants. Pire, le gouvernement ordonna de détruire tous les prototypes, tous les plans et données. Du jour au lendemain, 60 000 employés furent licenciés, dont 13 000 chez Avro, le reste étant ceux des 660 compagnies sous-traitantes. Cet abandon reste un traumatisme profond pour l'industrie aéronautique du Canada, au point que le 20 février 1959 est parfois désigné « le vendredi noir ».
Cependant, l'option BOMARC s'avérera très coûteuse, au point que l'Aviation royale du Canada dut faire l'achat de 61 CF-101 Voodoo, moins performants que l'Arrow mais de conception américaine, lesquels entrèrent en service à partir de juillet 1961.
Une divergence politique partisane à l'époque entre le premier ministre conservateur canadien et le président d'Avro Canada reconnue pour son allégeance libérale et son franc parler pourrait avoir pesé dans la décision finale. Ceci pourrait expliquer en partie la fin abrupte et surprenante d'un projet si prometteur doté d'un impact économique majeur pour l'industrie aéronautique canadienne.
Depuis, une association canadienne cherche à retrouver les maquettes ayant fini leur vie dans le lac Ontario et au moins deux répliques grandeur nature de l'Arrow ont été construites :
La première a été utilisée pour un documentaire télévisé sur le projet du CF-105 ;
La seconde a été commandée par le Musée de l’aérospatiale de Toronto qui l'expose dans sa collection.
En 1997, un téléfilm de Don McBrearty, The Arrow, retrace l'aventure de la construction de cet avion et du travail de ses ingénieurs et pilotes d'essais. On y retrouve des images d'époque.
Galerie
Voici quelques photos de la réplique du musée de Toronto et d'accessoires récupérés avant leurs destructions :
Sortie officielle de la réplique à Toronto.
Présentation au public de la réplique du musée à Toronto.
La réplique à l'intérieur du Canadian Air and Space Museum.
Le cockpit du CF-105 Mk.II RL 206 au Musée de l'Aviation et de l'Espace du Canada à Ottawa.
Le manche à balai d'un Arrow au musée de la défense aérienne de Bagotville.
Panneaux externes des ailes du CF-105 Mk.I RL 203 au Musée de l'Aviation et de l'Espace du Canada à Ottawa.
Versions
Le CF-105 Mk.1 est la version initiale, et la seule à voler, de l'Arrow. Il a été utilisé pour le développement et les essais en vol. Cinq furent construits. La vitesse maximale atteinte pendant les essais est de Mach 1,96, c'est-à-dire 2 075 km/h. Cependant quatre opérateurs radar des bases de la RCAF de Foymount et d'Edgar (station radar de la ligne Pinetree) ont enregistré une vitesse de Mach 2,2 durant un vol commémoratif du jour du souvenir le 11 novembre 1958. Le pilote, Spud Potocki, n'a cependant jamais admis avoir dépassé la vitesse officielle de Mach 1,96 ce jour là. Les CF-105 Mk.1 Arrow ont volé 70 heures et 30 minutes du 25 mars 1958 au 20 février 1959.
Le CF-105 Mk.2 est la version de série de l'Arrow. Il aurait d'abord été équipé du système de contrôle de tir Astra 1 et des missiles Sparrow II puis du système Hughes MA-1C et des missiles AIM-4 Falcon et AIR-2 Genie. Un appareil était terminé à 93 % et d'autres étaient en cours de fabrication lorsque le projet fut annulé. Son poids à vide était de 19 935 kg, son poids opérationnel de 20 444 kg et son poids maximal au décollage de 28 319 kg. Le CF-105 Mk.2 aurait pu atteindre et dépasser les 2 454 km/h s'il avait volé
Le CF-105 Mk.2A Arrow aurait été une version à rayon d'action augmenté (environ 1 290 km), avec une structure renforcée pour des vitesses légèrement plus élevées que le Mk.2 original, possédant des entrées d'air modifiées pour augmenter la pénétration dans l'air de l'avion et arborant un bord d'attaque d'aile redessiné pour améliorer la portance. Un système ZELTO (Zero Length Take Off) fut aussi imaginé pour lancer les avions sans pistes. De plus le Mk.2A aurait été équipé du moteur Orenda PS.13 Iroquois développant 18 053 kg de poussée avec postcombustion. La version ne fut qu'étudiée, donc évidemment non construite.
Encore une version étudiée du Arrow prouvant son immense potentiel, le Mark 3 aurait pu aller à mach 3, soit trois fois la vitesse du son, six ans avant le MiG-25 russe. Doté d'entrées d'air en « V » le CF-105 Mk.3 avait sur papier un plafond de 70 000 pieds (21 336 m) et un poids brut plus élevé de 7 711 kg par rapport au Mk.2. Équipé des Iroquois Mk.3 (les mêmes que le Mk.2A) le Mk.3, capable d'être ravitaillé en vol, aurait été un intercepteur extraordinaire, mais aussi probablement très coûteux.
Le Mk.4 était la dernière version de l'Arrow officiellement étudiée par A.V.Roe Canada Aircrafts. C'était un avion à propulsion mixte (turboréacteur et statoréacteur). Allant lui aussi à mach 3, il pouvait cependant atteindre des altitudes de 80 000 pieds (24 384 m) et être utilisé comme plateforme anti-missiles balistiques. Cette version, elle non-plus, ne fut pas construite
https://fr.wikipedia.org/wiki/Avro_Canada_CF-105_Arrow
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Sweet Dreams (Are Made of This) est une chanson écrite, composée et interprétée par le duo britannique Eurythmics. Quatrième extrait de leur second album, Sweet Dreams (Are Made of This), sorti en 1983, elle est leur premier succès et la chanson la plus connue du groupe. Arrivée jusqu'à la 1re position des charts américains et à la 2e position des charts anglais, la chanson a été classée 365e des 500 plus grandes chansons de tous les temps par le magazine Rolling Stone.
Postérité, reprises et utilisations
Cette chanson apparaît dans un épisode des Simpson (Saison 13 Épisode 10), Artie Ziff s'en servant pour envoyer des messages subliminaux à Marge Simpson.
Cette chanson a fait l'objet de reprises, notamment par La Bouche en 1994, Steve Angello en 2005, Avicii en 2011, Marilyn Manson en 1995 sur l'album Smells Like Children, Triggerfinger, Mika en 2007 et puis Sound Of Legend en 2020, une adaptation musicale de Sylvie Vartan, Déprime en 1983. Ainsi qu'une reprise par Skip the Use et Orelsan lors de la Fête de la musique en 2012.
La chanson d'Eurythmics reprise par Marilyn Manson est utilisée à plusieurs moments dans le film "La Maison de l'horreur" [1999] : lorsque les personnages sont amenés à la maison et lors du générique de fin.
Elle a aussi été reprise dans une version très sombre par l'actrice Emily Browning pour le film Sucker Punch de Zack Snyder : elle y sert de trame de fond à tout le prologue du film, jusqu'à l'internement de l'héroïne dans un asile, nommé justement Asile Lennox.
Le morceau a également été repris lors de la scène du film X-Men: Apocalypse, lorsque Vif-Argent intervient pour sauver les mutants au cœur du manoir de Charles Xavier, au moment d'une explosion.
On peut également entendre la chanson dans Tron : L'Héritage (2010) lorsque Sam Flynn entre dans la cave de la salle d'arcade de son père. Et aussi dans Mr. Nobody lorsque Nemo se rend à une soirée et voit Élise.
La chanson est utilisée dans la bande-annonce du film Atomic Blonde (2017) ainsi que dans la bande annonce de la saison 2 de la série For All Mankind (2021).
Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree ?
I travel the world and the seven seas
Everybody' s looking for something
Some of them want to use you
Some of them want to get used by you
Some of them want to abuse you
Some of them want to be abused
Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree ?
I travel the world and the seven seas
Everybody' s looking for something
Hold your head up
Keep your head up, movin' on
Hold your head up, movin' on
Keep your head up, movin' on
Hold your head up, movin' on
Keep your head up, movin' on
Hold your head up, movin' on
Keep your head up
Some of them want to use you
Some of them want to get used by you
Some of them want to abuse you
Some of them want to be abused
Hold your head up
Keep your head up, movin' on
Hold your head up, movin' on
Keep your head up, movin' on
Hold your head up, movin' on
Keep your head up, movin' on
Hold your head up, movin' on
Keep your head up
Sweet dreams are made of this
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Everybody' s looking for something
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Everybody' s looking for something
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" The Miracle of Love " est une chanson de 1986 enregistrée par le duo britannique Eurythmics . Il a été écrit par les membres d'Eurythmics Annie Lennox et David A. Stewart et produit par Stewart. Le morceau est sorti en tant que troisième single du sixième album du duo Revenge au Royaume-Uni. Il n'est pas sorti en single aux États-Unis.
Le clip a été réalisé par le membre du groupe David A. Stewart. La vidéo granuleuse montre Lennox et Stewart séparément dans une pièce sombre entourée uniquement de bougies suivies d'un plan de Lennox contre un arbre tandis que des images historiques de violence militaire sont montrées. La vidéo se termine par un gros plan extrême de Lennox alors qu'elle se promène dans un parc avant de reconnaître la caméra en clignant des yeux, en souriant et en riant. La pochette du single est une capture d'écran de cette scène La musique comporte un solo de guitare montant par Stewart, reprenant la mélodie des barres d'ouverture.
La chanson est devenue un modeste succès dans le classement des singles britanniques, mais a atteint le Top 20 en Australie, au Brésil et dans certaines parties de l'Europe. Dans une critique de Revenge , Glenn O'Brian du magazine Spin l' a appelé "une chanson d'amour miraculeuse qui est céleste, séduisante, radicale, anodynamique et carrément curative."
How many sorrows
Do you try to hide
In a world of illusion
That's covering your mind?
I'll show you something good
Oh I'll show you something good.
When you open your mind
You'll discover the sign
That there's something
You're longing to find
The miracle of love
Will take away your pain
When the miracle of love
Comes your way again.
Cruel is the night
That covers up your fears.
Tender is the one
That wipes away your tears.
There must be a bitter breeze
To make you sting so viciously
They say the greatest coward
Can hurt the most ferociously.
But I'll show you something good.
Oh I'll show you something good.
If you open your heart
You can make a start
When your crumbling world falls apart.
The miracle of love
Will take away your pain
When the miracle of love
Comes your way again.
Source : LyricFind
Paroliers : Annie Lennox / David Allan Stewart
Paroles de The Miracle of Love (2018 Remastered) © Universal Music Publishing Group
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On continue à l'appeler Trinita (...continuavano a chiamarlo Trinità) est un film italien réalisé par Enzo Barboni, sorti en 1971. Il est la suite de On l'appelle Trinita, sorti un an plus tôt.
Synopsis
À la demande de leur père mourant, Trinita et son demi-frère Bambino tentent de devenir de vrais bandits, mais leur bonne nature finit par les faire combattre une bande de hors la loi avec l'aide de prêtres.
Fiche technique
Titre : On continue à l'appeler Trinita
Titre original : ...continuavano a chiamarlo Trinità
Réalisation : Enzo Barboni
Scénario : Enzo Barboni
Musique : Guido De Angelis et Maurizio De Angelis
Pays d'origine : Italie
Langue : italien, anglais
Genre : Comédie, Western
Durée : 107 minutes
Dates de sortie :
Italie : 21 octobre 1971
France : 15 mars 1972
États-Unis : 20 juillet 1972
Distribution
Terence Hill (VF 1972 : Pierre Arditi ; VF 1980 : Patrick Poivey) : Trinita
Bud Spencer (VF 1972 : Michel Barbey ; VF 1980 : Claude Bertrand) : Bambino
Yanti Somer (VF 1980 : Francine Lainé) : la fille du paysan vagabond
Jessica Dublin : Farrah, la mère de Trinita et Bambino
Enzo Tarascio (VF 1972 : Jean Roche ; VF 1980 : Henry Djanik) : le shérif
Pupo De Luca
Dana Ghia (VF 1980 : Julia Dancourt) : la femme du paysan vagabond
Emilio Delle Piane (VF 1972 : Jacques Ebner ; VF 1980 : Philippe Ogouz) : James Parker
Enzo Fiermonte (VF 1972 : Roger Rudel ; VF 1980 : André Valmy) : le paysan vagabond
Harry Carey Jr. (VF 1972 : Francis Lax ; VF 1980 : Edmond Bernard) : le père de Trinita et Bambino
Antonio Monselesan : Will Cathendrix
Franco Ressel : Un serveur dans le restaurant
Autour du film
Contrairement à son prédécesseur, ce film ne compte pas un seul mort.
Le cascadeur Riccardo Pizzuti, qui fut le chorégraphe des combats dans les films du duo Spencer-Hill, joue ici deux rôles : celui d'un hors-la-loi puis celui du maître d'Hôtel dans la scène du restaurant.
Dans la scène de la partie de carte, Trinita s'amuse tour à tour à dégainer et à gifler un autre joueur qui l'accuse d'avoir triché. Terence Hill reprendra ce même gag dans Mon nom est Personne.
Lors de sa première sortie dans les salles françaises, le film démarrait avec une scène où Bambino se retrouve à pied dans le désert après s'être fait attaquer (il a notamment perdu ses deux acolytes présents dans On l'appelle Trinita). Il tombe sur quatre bandits s'apprêtant à manger des haricots que Bambino leur confisque aussitôt. Quand le film est ressorti en 1980, cette scène fut retirée du montage. L'édition DVD présente cependant cette première version (avec le doublage d'origine).
Les faux Trinita
Après la sortie des deux Trinita, les distributeurs français ont ressorti des anciens films de Terence Hill et Bud Spencer en exploitant le succès des deux films :
Dieu pardonne... moi pas ! étant sorti pour la première fois dans les salles françaises en 1972 directement sous le titre Trinita ne pardonne pas (il reprendra finalement son titre initial avec le temps et les sorties vidéos).
La Colline des bottes devient Trinita va tout casser.
La Colère du vent, avec seulement Terence Hill, est renommé Trinita voit rouge.
Django, prépare ton cercueil ! devient Trinita, prépare ton cercueil !.
Rita nel West sort directement sous le titre T'as le bonjour de Trinita.
Voir aussi
On l'appelle Trinita d'Enzo Barboni avec Terence Hill et Bud Spencer (1970)
Trinità & Bambino... e adesso tocca a noi d'Enzo Barboni avec Heath Kizzier et Keith Neubert (1995)
|
On l'appelle Trinita (titre original: Lo chiamavano Trinità...) est un film italien réalisé par Enzo Barboni, sorti en 1970.
Synopsis
Un cow-boy solitaire, fine gâchette, rejoint son frère qui a pris l'identité d'un shérif pour voler les chevaux d'un homme qui veut chasser une communauté mormone de ses terres.
Fiche technique
Titre original : Lo chiamavano Trinità...
Titre français : On l'appelle Trinita
Réalisation : Enzo Barboni
Scénario : Enzo Barboni
Musique : Franco Micalizzi
Pays d'origine : Italie
Langue : italien, anglais
Genre : Comédie, Western
Durée : 113 minutes
Dates de sortie :
Italie : 22 décembre 1970
France : 21 juillet 1971 + 5 novembre 2014 « reprise »
États-Unis : 4 novembre 1971
Distribution
Terence Hill (VF 1971 : Gérard Dessalles ; VF 1980 : Patrick Poivey) : Trinita
Bud Spencer (VF 1971 : Michel Barbey ; VF 1980 : Claude Bertrand) : Bambino
Farley Granger (VF 1980 : Philippe Ogouz) : Le major Harriman
Dan Sturkie (VF 1980 : André Valmy) : Tobias
Gisela Hahn (VF 1980 : Sylvie Feit) : Sarah
Elena Pedemonte : Judith
Ezio Marano : Grincheux
Luciano Rossi : Timide
Remo Capitani : Mezcal
Riccardo Pizzuti (VF 1980 : Med Hondo) : Jeff Poivre et Sel
Steffen Zacharias : Jonathan
Autour du film
Enzo Barboni a écrit le scénario du film en 1966 alors qu'il était cadreur sur le tournage de Django. À l'époque, il s'agissait d'un western plutôt sérieux. Barboni l'a même proposé à Franco Nero entre deux prises mais ce dernier l'a refusé.
Le film a marqué un tournant dans le western spaghetti. En effet la violence des tueries laisse la place à l'humour tandis que les pistoleros taciturnes sont remplacés par des personnages très bavards.
Avec ce film, Bud Spencer a popularisé son fameux coup de poing-massue, un coup que, par ailleurs, l'acteur avait effectué une première fois pour assommer Terence Hill dans Dieu pardonne... moi pas !.
Faute de moyens financiers, le film a été tourné en Italie (les westerns italiens étant filmés en Espagne en temps normal). Le camp mormon a été installé dans un parc national à côté de Rome.
Farley Granger a causé pas mal de problèmes sur le tournage. Un jour, il a déchiré un script dans un excès de colère.
Le film est ressorti en 1980 en France avec un montage différent et, de ce fait, un nouveau doublage.
Le film a une suite sortie en 1971 : On continue à l'appeler Trinita.
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Événements
872 : Louis II le Jeune est couronné empereur d'Occident pour la 2e fois.
1096 : début du massacre des Juifs de Worms lors de la première croisade.
1152 : mariage de Henri II, futur roi d'Angleterre, avec Aliénor d'Aquitaine.
1268 : prise de la principauté d'Antioche par les mamelouks.
1302 : matines de Bruges.
1514 : mariage du futur roi de France François Ier avec Claude de France, fille du roi Louis XII, à Saint-Germain-en-Laye.
1565 : début du grand siège de Malte.
1643 : Anne d'Autriche devient régente de France, quatre jours après le décès de son royal époux Louis XIII, son successeur leur fils Louis XIV n'ayant alors que 5 ans.
1792 : L'Empire russe déclare la guerre à la République des Deux Nations. Les armées russes entrent en Pologne le même jour.
1794 : bataille de Tourcoing, pendant la première coalition.
1804 : Constitution de l'an XII, en France.
1811 : en Uruguay, bataille de Las Piedras.
1815 : bataille des Échaubrognes, pendant la guerre de Vendée.
1869 : fin de la guerre de Boshin, et dissolution de la République d'Ezo.
1951 : résolution n° 93, du Conseil de sécurité des Nations unies, sur la question de la Palestine.
1955 : fin de l'opération Passage to Freedom.
1972 : entrée en vigueur du traité de désarmement sur le fond des mers et des océans.
1978 : la Légion étrangère saute sur Kolwezi.
1980 :
éruption du mont Saint Helens, dans l'État de Washington, aux États-Unis d'Amérique.
Soulèvement de Kwangju.
1991 : le Somaliland proclame son indépendance, qui n'est pas reconnue par la communauté internationale.
1803 : création du drapeau de Haïti.
1890 : la Belle Caroline Otero débute au Cirque d'Été de Paris.
1897 : première de L'Apprenti sorcier de Paul Dukas.
1927 : attentat de la Bath Consolidated School aux États-Unis d'Amérique.
1928 : inauguration porte d'Auteuil à Paris du complexe sportif de Roland-Garros entièrement dédié au tennis et d'abord à la finale de coupe Davis, mais par des tenniswomen.
1990 : le TGV140 bat le record de vitesse ferroviaire en atteignant 515,3 km/h.
2012 : introduction de la société Facebook à la bourse de New-York.
2012 : résolution n° 2048, du Conseil de sécurité des Nations unies, sur la situation en Guinée-Bissau.
2014 : la dépression à l’origine des inondations des jours précédents en Europe du sud-est s’éloigne et s’affaiblit en laissant plus de cinquante victimes dans son sillage.
2018 :
écrasement d'un Boeing 737 de la compagnie Cubana qui devait relier La Havane à Holguín (Cuba) peu après son décollage, causant la mort de ses 104 passagers et 6 membres d'équipage.
Une fusillade dans un lycée de Santa Fe au Texas (États-Unis d'Amérique) tue 10 personnes.
2019 : 64e édition du concours Eurovision de la chanson à Tel Aviv (Israël), à l'issue de laquelle le Néerlandais Duncan Laurence gagne avec la chanson Arcade.
2019 : des élections fédérales ont lieu en Australie afin de renouveler l'intégralité des 151 sièges de la Chambre des représentants et 40 des 76 sièges du Sénat ; et c'est la coalition de centre droit du Premier ministre Scott Morrison qui remporte une victoire inattendue
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Dictons
« Soleil à la Saint-Éric promet du vin plein les barriques. »
« À Saint-Félix, tous les lilas sont fleuris. »
« Bon fermier, à Sainte-Juliette, doit vendre ses poulettes. »
« À la Sainte-Corinne, aucune raison de faire triste mine. »
« À la sainte Coralie, tous les lilas sont fleuris. »
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Le Dernier des Mohicans (The Last of the Mohicans) est un film américain réalisé par Michael Mann, sorti en 1992. C'est l'adaptation cinématographique du roman du même nom de James Fenimore Cooper publié en 1826, mais avec plusieurs changements effectués, qui modifient l'histoire originelle.
En 1757, en pleine guerre de la Conquête, dans ce qui est alors la Province de New York, les Français, soutenus par les Hurons, se battent contre les Britanniques, aidés par les Mohicans.
Nathanael « Œil de Faucon », Européen élevé parmi les Mohicans, sauve avec l'aide de son père, Chingachgook, et son frère adoptifs Uncas, l'officier major Duncan Heyward et ses deux protégées, Cora et Alice Munro. Celles-ci devaient en effet rejoindre leur père, le colonel Munro, commandant du Fort William Henry. L'officier et sa compagnie étaient tombés dans une embuscade tendue par leur guide, un Huron nommé Magua, ou « Renard Subtil », s'étant fait passer pour un Mohawk. C'est alors que Nathanael, est intervenu pour sauver les Britanniques. Ces derniers reprennent ensuite leur route mais se retrouvent dès leur arrivée pris à partie dans la bataille de Fort William Henry.
La bataille s'articule en effet autour d'un siège mis en place par les Français pour contraindre les Britanniques à abandonner leur position. Disposant de moins de soldats et pièces d'artillerie que ses adversaires, le colonel Munro envisage à trois jours la durée maximale de résistance du fort. Arrivent alors ses deux jeunes filles en compagnie de Nathanael, son père et son frère, qui lui font part de la trahison de Magua. Pour Munro, il n'y a plus qu'une solution, celle d'envoyer un messager capable de rejoindre les troupes du général Webb, qui ne sont qu'à une journée de marche, à Fort Edward, afin de demander assistance et bénéficier de l'arrivée des renforts.
Mais alors que l'éclaireur est dépêché, Munro apprend qu'Œil-de-Faucon, qui avait en parallèle demandé à ses amis de la Milice coloniale s'ils désiraient rester ou non combattre aux côtés de l'armée anglaise, en a profité de son côté pour aider les miliciens qui voulaient sortir à quitter le fort. Considérant cet acte comme une trahison, il le met aux fers et ordonne sa pendaison pour le lendemain, même s'il a sauvé ses filles. Cora, qui lui avait fait part de son amour juste avant son emprisonnement, vient alors le voir pour lui apprendre la nouvelle.
Mais la pendaison n'a pas lieu, car le jour suivant, l'activité du fort est interrompue par l'envoi d'une délégation française, dirigée par le marquis de Montcalm, et qui demande la reddition de la garnison anglaise. Munro, qui s'apprête à rejeter la demande de Montcalm, apprend alors de sa part que les renforts sur lesquels il comptait n'arriveront pas, puisque la réponse du général anglais Webb a été interceptée par les Français et celui-ci stipule qu'aucune aide ne pourra être fournie.
Munro, qui a compris que la bataille était perdue, accepte les conditions de reddition de Montcalm, qui lui promet que tous les soldats du fort pourront repartir sains et saufs, avec armes et couleurs, mais seulement si ceux-ci se dirigent vers le port le plus proche pour regagner l'Angleterre. La veille du départ de la garnison, Magua fait alors savoir à Montcalm que pour lui, la justice n'a pas été rendue, puisque les Anglais, dont l'armée a brûlé le village de sa famille, sont toujours vivants. Montcalm, quant à lui, avoue à Magua qu'il sait pertinemment que, si Munro respectera sa promesse de repartir en Angleterre, son supérieur le général Webb ne le fera pas : les soldats qu'il s'apprête à laisser partir se retrouveront tôt ou tard sur sa route.
Le lendemain, la garnison anglaise quitte le fort, et s'engage dans la route qui mène à Fort Edward. Mais le trajet est interrompu par l'embuscade que tend Magua et ses guerriers à la troupe. Dans la bataille, Œil-de-Faucon, qui marchait, prisonnier en fin de troupe, pour son acte de trahison, parvient à se libérer avec l'aide de Uncas et à rejoindre Cora et Alice en tête de cortège, pour les protéger. Entre-temps, Magua parvient à atteindre le cheval de Munro, et lui déclare, avant de lui arracher le coeur, qu'il tuera ensuite ses deux filles afin d'annihiler sa descendance. Mais Nathanael parvient à sauver Alice et Cora de l'embuscade, et avec son père et son frère prend la fuite et embarque sur des canoës pour échapper aux Hurons en compagnie de soldats anglais. Sur le fleuve, il retrouve, naviguant en parallèle, le major Heyward, qui lui promet de le faire pendre, sitôt arrivés à Fort Edward. Mais les Hurons qui les ont pris en chasse sur les eaux obligent les fugitifs à se réfugier dans une grotte, sous une chute d'eau, après avoir essayé de ruser en faisant croire qu'ils avaient continué à fuir au-delà des chutes d'eau. Mais la nuit venue, les guerriers de Magua les retrouvent, contraignant Œil-de-Faucon, son père et son frère, à sauter au travers de la chute d'eau pour leur échapper et tenter ensuite de revenir libérer Cora, Alice et Duncan par la suite. Arrivés dans le village des guerriers hurons de Magua, ceux-ci demandent alors d'obtenir audience avec le grand sachem pour lui rendre compte de leurs exploits. Après avoir proposé de vendre l'officier anglais aux Français pour continuer à entretenir des relations avec ces derniers, Magua annonce qu'il compte brûler Cora et Alice, afin d'honorer la promesse qu'il avait faite à leur père avant de le tuer.
C'est alors que Nathanael, qui avait réussi à retrouver leur trace, fait son entrée dans le village afin d'empêcher l'exécution des deux sœurs. Pris à partie par les guerriers hurons, il parvient néanmoins à atteindre le grand sachem et lui proposer sa propre requête, le major Eyward servant d'interprète anglais-français (français que parlent les hurons). Il demande donc à ce que tous les prisonniers soient relâchés afin d'éviter la vengeance des Anglais. Magua prétexte alors que les Hurons n'ont rien à craindre des Anglais, puisque leur étant supérieurs en nombre, eux et leurs amis Français. Œil-de-Faucon argue alors que puisque les Français viennent de signer un compromis avec les Anglais, ils n'ont donc plus de raison de venir aider les Hurons, ce à quoi Magua répond en disant que c'est par la peur du nombre qu'ils représentent que les Français accepteront de venir les aider.
Magua ajoute ensuite que grâce à leur force, ils pourront voler les biens des autres peuples indiens, et ainsi avoir de quoi marchander avec les Blancs, pour récupérer de l'or. Ce à quoi Œil-de-Faucon s'empresse d'ajouter que si c'est l'avidité que Magua compte apporter au peuple huron, il n'y aura aucun intérêt à faire ainsi, si ce n'est pour fonctionner de la même manière que les hommes blancs. Tombant finalement d'accord avec les propos de Nathanael, le sachem déclare que Duncan pourra retourner auprès de l'armée anglaise, mais qu'en revanche, Magua prendra Alice comme épouse pour assurer sa descendance, et brûlera sa sœur Cora pour venger sa famille.
Désemparé par la nouvelle décision du doyen du village, Nathanael implore alors le sachem de remplacer Cora par sa personne, afin de permettre à cette dernière de vivre. Mais Duncan, amoureux éconduit de Cora et connaissant les sentiments de cette dernière pour Nathanael, insiste pour être désigné à leur place et mourir sur le bûcher. Œil-de-Faucon, d'abord surpris par la décision de l'officier est vivement éloigné du village en compagnie de Cora. Il décide alors, à distance, d'abréger les souffrances du major déjà pris par les flammes du bûcher, en lui logeant une balle en pleine tête. Le couple retrouve ensuite Chingachgook et Uncas, le père et le frère adoptifs de Nathanael, et leur troupe part alors vers le haut des falaises qui surplombent le village, car c'est là-bas que Magua compte passer pour ramener Alice vers le village des Hurons du lac afin d'y négocier la continuité du conflit avec les Anglais. S'ensuit alors, face aux Hurons, une embuscade frontale de la part d'Uncas, qui avait pris les devants, afin de tenter de leur enlever Alice, les deux jeunes gens étant tombé également amoureux. Mais lors du combat qui l'oppose à Magua, Uncas périt, égorgé par le chef huron, qui pousse ensuite son corps dans le vide, alors que son père, Chingachgook, arrive sur la corniche, en retrait des combats. Alice, toujours prisonnière des indiens, choisit alors de se donner la mort en se jetant du haut de la falaise devant les yeux de sa sœur impuissante, qui arrive à son tour sur la corniche derrière Œil-de-Faucon. Alors, après avoir éliminé l'arrière-garde huron, Chingachgook s'oppose en combat singulier contre Magua. Et, au terme d'un duel où les deux protagonistes se combattent à l'arme blanche, Chingachgook venge son fils en tuant Magua.
Le film se termine sur la scène qui réunit Chingachgook, Œil-de-Faucon et Cora sur le haut des falaises, et qui disséminent au vent les herbes symbolisant les cendres d'Uncas. Chingachgook, en s'adressant au Grand Esprit, lui demande de bien vouloir réserver une place à son fils au sein du Conseil de son peuple, « car ils sont tous là, sauf un ; moi, Chingachgook, le dernier des Mohicans. »
Titre original : The Last of the Mohicans
Titre français : Le Dernier des Mohicans
Réalisation : Michael Mann
Scénario : Christopher Crowe et Michael Mann, avec la participation de John L. Balderston, Paul Perez et Daniel Moore, d'après le roman Le Dernier des Mohicans de James Fenimore Cooper
Photographie : Dante Spinotti
Montage : Dov Hoenig et Arthur Schmidt
Décors : Wolf Kroeger
Costumes : Elsa Zamparelli
Musique : Trevor Jones et Randy Edelman
Musique additionnelle de Ciaran Brennan et Dougie Maclean (en)
Production : Hunt Lowry et Michael Mann
Producteur délégué : James G. Robinson
Société de production : Morgan Creek Productions
Sociétés de distribution : 20th Century Fox (États-Unis), AMLF (France)
Langues originales : anglais, français, mohawk
Format : Couleur - 2,20:1 - son Dolby
Genre : drame historique
Durée : 112 minutes, 117 minutes (version director's cut)
Budget : ~ 40 000 000 $ US
Dates de sortie
France : 26 août 1992
États-Unis : 25 septembre 1992
Daniel Day-Lewis (VF : Patrick Poivey) : Hawkeye / Nathanael Poe dit « Œil de faucon »
Madeleine Stowe (VF : Micky Sébastian) : Cora Munro
Russell Means : Chingachgook
Eric Schweig (VF : Pascal Renwick) : Uncas
Jodhi May (VF : Anne Rondeleux) : Alice Munro
Steven Waddington (VF : Bernard Lanneau) : Major Duncan Heyward
Wes Studi (VF : Simon Abkarian) : Magua
Maurice Roëves (VF : William Sabatier) : Colonel Edmund Munro
Patrice Chéreau : Général Montcalm
Edward Blatchford (en) (VF : Philippe Vincent) : Jack Winthrop
Terry Kinney : John Cameron
Tracey Ellis (en) : Alexandra Cameron
Justin M. Rice : James Cameron
Dennis Banks (en) : Ongewasgone
Pete Postlethwaite : Capitaine Beams
Colm Meaney : Major Ambrose
Mac Andrews : Général Webb
Malcolm Storry (en) : Phelps
David Schofield : Sergent major
Eric D. Sandgren : Coureur de bois
Mike Phillips : Sachem
Mark A. Baker : un colonialiste
Dylan Baker : Capitaine de Bougainville
Tim Hopper (en) : Ian
Jared Harris : un lieutenant britannique
Sebastian Roché : Martin
Production
Le film de Michael Mann est la neuvième adaptation audiovisuelle du célèbre roman éponyme de James Fenimore Cooper publié en 1826. La première date de 1911, et les plus connues sont celles de Clarence Brown et Maurice Tourneur en 1920, celle de George B. Seitz en 1936 et celle de James L. Conway en 1977.
Russell Means, qui incarne ici Chingachgook, était un représentant des Lakotas, membre du mouvement amérindien AIM et promoteur d'une République Lakota.
Le tournage a eu lieu dans le parc d'État de Chimney Rock, situé en Caroline du Nord à 40 km d'Asheville, en particulier pour la bataille finale dans les 17 dernières minutes du film.
Trevor Jones était à l'origine l'unique compositeur de la musique du film, qui devait avoir plus d'accent de musique électronique, comme les précédents films du réalisateur. Pourtant, à la suite de désaccords avec Michael Mann, Trevor Jones quitte le film avant même d'avoir achevé son travail. Cette tâche est donc confiée à Randy Edelman. Les deux compositeurs sont donc crédités au générique, ce qui exclut alors toute nomination aux Oscars. Ils seront cependant nommés aux Golden Globes 1993 pour la meilleure musique.
Une partie de la musique est inspirée des Folies d'Espagne.
La musique du générique était toujours utilisée dans l'émission À prendre ou à laisser sur TF1 lors du moment crucial où l'on va savoir si le candidat a gagné ou perdu la partie.
Une version réenregistrée est commercialisée en 2000 par Varèse Sarabande. Les pistes sont présentées dans l'ordre chronologique du film et la chanson I Will Find You du groupe Clannad est absente.
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|
États-Unis ~ 75 505 856 $ US
Royaume-Uni ~ 5 337 079 £
France ~ 1 240 746 entrées en salle
Distinctions
BAFTA Awards 1993
Meilleure photographie pour Dante Spinotti
Meilleurs maquillages et coiffures pour Peter Robb-King
Oscars 1993
Meilleur son
BAFTA Awards 1993
Meilleur acteur dans un rôle principal pour Daniel Day-Lewis
Meilleurs costumes pour Elsa Zamparelli
Meilleure direction artistique pour Wolf Kroeger
Meilleur son pour Simon Kaye, Lon Bender, Larry Kemp, Paul Massey, Doug Hemphill, Mark Smith et Chris Jenkins
Meilleure musique de film pour Trevor Jones et Randy Edelman
Golden Globes 1993
Meilleure musique
|
Paroles
When lights go down, I see no reason
For you to cry, we've been through this before
In every time, in every season
God knows I've tried
So please don't ask for more
Can't you see it in my eyes?
Though this might be our last goodbye
Carrie
Carrie
Things they change my friend
Whoa oh
Carrie
Carrie
Maybe we'll meet again
Somewhere, again
I read your mind with no intentions
Of being unkind, I wish I could explain
It all takes time
A whole lot of patience
If it's a crime, how come I feel no pain?
Can't you see it in my eyes?
Though this might be our last goodbye
Oh ho ho
Carrie
Carrie
Oh, things they change my friend
Whoa oh
Carrie
Carrie
Maybe we'll meet again
Oh
Can't you see it in my eyes?
Though this might be our last goodbye
(Oh ho ho)
Oh
Carrie
Carrie
Oh, things they change
Carrie, Carrie, Carrie
(Oh ho ho)
Carrie
Carrie
Maybe we'll meet again
Oh, somewhere again
When lights go down
Source : LyricFind
Paroliers : Joey Tempest / Gunnar Michaeli
Paroles de Carrie © Sony/ATV Music Publishing LLC
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