les dinosaures - Argentinosaurus

Publié à 16:06 par acoeuretacris Tags : Dinosaures
les dinosaures - Argentinosaurus
 
Argentinosaurus a été découvert en Argentine en 1989. C'est à ce jour le plus lourd des dinosaures connus. 
 
 
L'Argentine a fourni au cours de ces dernières années plusieurs restes fossiles particulièrement interessants d'Argentinosaurus. Les vertèbres et membres découverts sont énormes: 1,5 m de hauteur pour une vertèbre. 
 
 
En extrapolant avec les fossiles mis au jour, les experts estiment qu'Argentinosaurus devait peser environ 80 tonnes. 
 
 
Sa longueur est estimée à 30 mètres. 
 

 
A ce jour, Argentinosaurus "Lézard d'Argentine" reste le plus grand des Titanosauridés. Pour l'instant, aucune trace de plaques cuirassées n'a été retrouvée. 
 

Devant des preuves fossiles aussi peu nombreuses, il est difficile de définir le mode de vie de cet immense dinosaure. 
 
 
 
 
. Nigel Marven semble minuscule à côté de cet énorme crâne 
 
 
Les différents fossiles ont été datés du Crétacé inférieur au Crétacé supérieur. Pour l'instant, les seuls fossiles découverts proviennent d'Argentine. 
 
 
Une seule espèce a été décrite: Argentinosaurus huinculensis 
 
 
Classification: Saurischia Sauropodomorpha Sauropoda Titanosauria Andesauridae 

Les dinosaures - Aragosaurus -

Publié à 15:59 par acoeuretacris Tags : Dinosaures
Les dinosaures - Aragosaurus -
 
Aragosaurus est l'un des très rares sauropodes du Crétacé inférieur. Seuls quelques os ont été exhumés. 
 
 
Pourtant, leur état de conservation permet aux paléontologues d'affirmer que ce sauropode a un lien étroit de parenté avec Camarasaurus. 
 
 
Aragosaurus signifie "Lézard Dragon" . Ce sauropode de la famille des Camarasauridés vivait au Crétacé inférieur. Sa taille est estimée à 18 m de long. 
 
 
Une seule espèce a été décrite, Aragosaurus ischiaticus, en 1987. 
 
 
Les restes d'Aragosaurus ont été retrouvés en Espagne (Région d'Aragon). Des parents proches ont été exhumés au Portugal, aux Etats-Unis et en Afrique orientale. Ces grands sauropodes ont pu se disperser à travers ces continents car ils étaient reliés au jurassique supérieur et au crétacé inférieur. 
 
 
 
 
 
 
 
 
Classification: Saurischia Sauropodomorpha Sauropoda Camarasauridae Camarasaurinae 

Les dinosaures - Apatosaurus -

Publié à 15:46 par acoeuretacris Tags : Dinosaures
Les dinosaures - Apatosaurus -
 
Souvent appelé Brontosaurus, Apatosaurus était l'un des plus grands sauropodes. En fait, l'appelation Brontosaurus provient d'une grossière erreur. En 1877, des fossiles furent attribués à un nouveau sauropode baptisé Apatosaurus. Puis, en 1879 le même paléontologue découvrit de nouveaux fossiles qu'il attribua cette fois à une nouvelle espèce, Brontosaurus. En réalité, ces differents squelettes appartenaient au même dinosaure. Le premier nom lui est resté. 
 
 
Apatosaurus signifie "Lézard trompeur". Ce sauropode dont la taille est estimée entre 22 m et 25 m de long vivait au Jurassique supérieur. 
 
 
Apatosaurus pondait des oeufs dans un nid et protégeait certainement ses petits. L'adulte pouvait se dresser sur ses pattes arrière et fouetter de sa queue les prédateurs. 
 
 
 
 
 
Sa tête ressemblait à celle d'un cheval et son cerveau était gros comme un poing.
Il possedait une main pourvue d'une griffe interne pointue qui lui servait pour se défendre.
 
 
 
 
 
 
Les épines neurales (partie supérieure des vertèbres) étaient fourchues à la base du cou et dans la partie antérieure du dos, mais pas au niveau du bassin. Petites, ces épines soutenaient un grand ligament qui aidait à maintenir le cou et la queue. 
 
 
Ce dinosaure pouvait peut-être se dresser sur ses pattes postérieures. Il se servait alors de sa queue comme d'une béquille pour se réhausser et atteindre la cime des arbres. 
 
 
Classification: Saurischia. Sauropodomorpha. Sauropoda. Diplodocidae. Diplodocinae 
 
 
Plusieurs espèces ont été décrites: 
 
 
Apatosaurus ajax (USA) 

Apatosaurus alenquerensis (Portugal) 

Apatosaurus excelsus (USA) 

Apatosaurus grandis (USA) 

Apatosaurus laticollis (USA) 

Apatosaurus louisae (USA) 

Apatosaurus montanus (USA) 

Apatosaurus yahnahpin (USA) 

La fabuleuse histoire..-Tradition calligraphique arabe

Publié à 14:54 par acoeuretacris Tags : ecriture calligraphie arabe
La fabuleuse histoire..-Tradition calligraphique arabe
Les origines nabatéennes de l’écriture arabe 
  
  
LE DEVELOPPEMENT DE L’ECRITURE est chez les Arabes tardif du fait de leur état nomade qui favorisait surtout une culture orale. D’ailleurs, à la naissance de l’Islam, au début du VIIe siècle, le Coran fut d’abord diffusé par la tradition orale. 
  
  
 
  
Inscription nabatéenne de Aslah de Pétra, Ier siècle avant .J-C 
  
  
L’arabe appartient au groupe des écritures sémitiques consonnantiques ainsi appelées parce que de fait, seules les consonnes sont représentées. La plupart des spécialistes s’accordent aujourd’hui à penser, que l’écriture arabe dérive de l’écriture nabatéenne elle même d’origine araméenne. Les Nabatéens, installés sur les terres bibliques du royaume d’Edom en Arabie du Nord (actuelle Jordanie) vers le IVe siècle avant Jésus-Christ et dont la capitale était Pétra, parlait une langue araméenne et écrivait en araméen. 
  
 
 
 
Inscription nabatéenne de la tombe du poète Imru’ al-Qays à Namarah (328) 
 
 
Progressivement s’est développé une écriture cursive formelle spécifiquement nabatéenne qui se distinguait de l’araméen par la présence de ligatures. Ce développement s’est doublé d’une évolution dans la langue parlée par les Nabatéens avec l’introduction progressive de termes et de constructions grammaticales arabes. C’est ainsi que vers le 2e siècle après Jésus-Christ, les Nabatéens parlaient majoritairement arabe comme l’atteste l’origine arabe de leurs noms et ne conservaient l’araméen, dans une version arabisée, que comme langue officielle. 
 
 
 
 
Agrandissement inscription précédente 
 
 
L’écriture arabe est donc née aux alentours du VIe siècle de l’écriture cursive nabatéenne. Elle s’est progressivement répandue à l’époque de Mahomet à La Mecque puis à Médine. S’est ainsi développée la première écriture spécifiquement arabe, le Jazm, dont la raideur, l’angulosité et la proportion égale de ses lettres rappelle la graphie coufique. L’écriture Jazm devint bientôt celle de tous les Arabes et « assuma le statut de l’écriture sacrée que Dieu avait spécialement choisie pour transmettre à l’humanité son message divin. » (Safadi). 
 
 
 
 
 
Ecriture cursive ancienne tirée d’une inscription datée de 677 
 
 

Les premiers développements calligraphiques

 
L FAUT SOULIGNER le rôle central que le Coran a joué dans la formation de l’écriture arabe. Le besoin de consigner le Coran par écrit obligea précisément les Arabes à réformer leur écriture et à l’embellir, pour la rendre digne de la révélation divine. Omar, ami du Prophète et futur calife, pressa le premier calife Abu Bakr de mettre le Coran par écrit; ce travail fut réalisé par le secrétaire du Prophète Zayd ibn Thabit. Cette rédaction, codifiée sous le troisième calife Othman, fut copiée en cinq exemplaires qui furent expédiés dans les principales contrées de l’empire. Les copies ultérieures du Coran sont dérivées de ces premiers exemplaires, réalisés à l’époque en Jazm. À cette époque apparurent des variantes médinoises et mecquoises du Jazm, le Mail (écriture couchée), le Mashq (écriture allongée) et le Naskh (inscriptionnel); seules les deux dernières perdurèrent 
 
 
Le successeur de Othman, le cousin de Mahomet et son beau-fils, Ali Ibn Ani Talib est considéré comme le premier maître de la calligraphie en développant un style particulier de coufique. 
 
 
 
 
Écriture Mashq d’un Coran
 
 
Les Écritures Coufiques 
 
 
L’écriture coufique est née à Kufah, dans la deuxième décennie de l’ère islamique. Grandement inspirée de l’écriture de la ville voisine de Hirah, al-Khatt al-Kufi (« écriture coufique » en arabe) est caractérisée par une graphie originale fondée sur son angulosité et ses formes carrées prononcées, faites de courts traits verticaux et de lignes horizontales prolongées. Contrastant avec ces verticales basses, les lignes horizontales sont allongées.
 
 
 
Parallèlement, l’écriture Mashq développa des caractéristiques individuelles et devint légèrement plus cursive, avec un profil vertical bas et des traits horizontaux allongés. 
 
 
 
 
Inscription coufique omeyyade aux lettres triangulaires, dédicace d’un bassin construit pour le Calife Hisham
(724-743)
 
 
 
L’écriture coufique atteignit sa perfection dans la seconde moitié du VIIIe siècle et acquit de facto une prééminence qui dura plus de trois siècles: elle devint l’unique écriture employée pour la copie du Coran. L’austérité des origines, fut alors dépassée avec le développement de l’écriture coufique ornementale. Son élégance simple en fit une écriture très prisée pour des usages épigraphiques. Son développement se poursuivit jusqu’au XIIe siècle, date à laquelle l’écriture devint essentiellement décorative. 
 
 
 
 
Coufique fleuri 
 
 
Le Coufique oriental est une variante développée par les Perses à la fin du Xe siècle qui se distingue du Coufique traditionnel par ses longs déliés qui restent verticaux, avec des barbelures au sommet, et ses traits courts inclinés ou penchés vers la gauche, donnant ainsi un mouvement dynamique vers l’avant. La plus fameuse de ces écritures est l’écriture Qarmate dans laquelle les caractères du Coufique oriental sont intégrés à un fond richement enluminé, fait de motifs floraux et d’arabesques. 
 
 
 
 
 
 
Ecriture qarmate 
 
 
Réformes et codification de l’écriture arabe 
 
 
OUR REPONDRE au besoin impérieux d’apprendre l’arabe aux nouvelles contrées conquises par les Musulmans, il s’avéra rapidement impérieux de conduire certaines réformes afin d’établir de manière définitive la pronociation correcte du Coran. 
 
 
 
La réforme de l’écriture arabe 
 
 
Abou al-Aswad al-Douali (?-688) fut le fondateur de la grammaire arabe et inventa le système de signes diacritiques qui consiste à placer de grands points colorés pour indiquer les éléments du discours arabe non représenté par des lettres. 
 
 
Ce travail fut complété par le vice-roi omeyyade al-Hajjaj Ibn Yousouf al-Thaqafi, qui pour régler le problème de la différenciation des consonnes qui partageaient une forme identique, demanda à Nasr Ibn Asim et Yahya Ibn Yamour d’imaginer un système fondé sur l’usage de petits points noirs placés au-dessus et au-dessous du contour de la lettre par groupes de deux ou trois. 
 
 
 Le développement des écritures cursives 
 
 
 
L’écriture arabe, depuis ses origines, s’est divisée en deux très larges catégories - le Moqawwar wa-Modawwar (incurvée et arrondie) et le Mabsot wa-Mostaqim (allongée et droite). Le Mashq et le Coufique appartiennent à la deuxième catégorie. 
 
 
La catégorie incurvée et arrondie remonte à la première décennie de l’ère musulmane et certainement, plus anciennement encore, à la période pré-islamique. Longtemps, elle n’a servi que pour des usages profanes. 
Sous les Omeyyades, les écritures Tomar, Jalili, Nisf et Tholoth furent ébauchées. Mais c’est le Jalil et le Tomar qui furent les écritures officielles des califes omeyyades. Les écritures Nisf et Tholoth dérivent directement du Jalil, écriture monumentale. Le degré de cursivité de ces dernières a la particularité d’augmenter à mesure que la taille des lettres diminue. 
 
 
 
 
Bismillah en Tholoth
 
 
Ce fut le génie d’Abou Ali Ibn Moqlah (846-940), vizir des trois califes abassides al-Moqtadir (908-932), al-Qahir (932-934), al-Radi (934-940), et sa connaissance de la science géométrique qui introduisirent l’étape la plus importante dans le développement de la calligraphie arabe. Ibn Moqlah se fixa comme tâche de dessiner une écriture cursive qui soit à la fois belle et parfaitement proportionnée. 
 
 
Il instaura un système global de règles calligraphiques de base, fondé sur le point en losange comme unité de mesure. Il redessina le contour géométrique des lettres et corrigea leur forme et leur taille au moyen du point, de l’Alef et du cercle. Il s’agit de faire un Alef qui est « calligraphié et mesuré avec la pensée », puis de dessiner un cercle dont le Alef est le diamètre. Chaque lettre a pour base ce cercle. 
 
 
 
 
Alef et cercle étalon
Alef tracé d’après l’échelle des sept points en losange
 
 
 
Ce faisant, Ibn Moqlah a doté l’art calligraphique arabe de règles scientifiques précises, d’après laquelle chaque lettre, pourvue d’une discipline rigoureuse, est rattachée aux trois unités standards que sont le point, le Alef et le cercle. Cette méthode d’écriture, baptisée al-Khatt al-Mansob, fut perfectionnée par ses élèves dont le plus célèbre est Ibn al-Bawbab (?-1022). Pour comprendre l’importance d’Ibn Moqlah dans l’histoire de l’écriture arabe, il est possible de citer Abdullah Ibn al-Zariji, qui au Xe siècle remarquait: « Ibn Moqlah est un prophète dans l’art de la calligraphie. Son cadeau est comparable à l’inspiration des abeilles lorsqu’elles construisent les alvéoles. » 
 
 
Progressivement, les écritures cursives, surtout le Tholoth, commencèrent à pouvoir rivaliser pour la copie du Coran avec les écritures coufiques. 
 
 
 
 
 
Lettre ‘Ayn dans le système
de proportion
 
 
 
Les six écritures principales de la tradition classique 
 
PARTIR DU NASKHI, le calligraphe Ibn Moqlah identifia six styles d’écriture : 
 
 
 
LeTholoth 
 
 
Le Tholoth, apparu au VIIe siècle, est une écriture statique et monumentale, essentiellement utilisée à des fins décoratives dans les manuscrits et les inscriptions. Elle a également été utilisée pour la copie des Corans, surtout pour les têtes de chapitre et les colophons. On la considère comme la plus importante des écritures ornementales. 
 
 
 
 
Ecriture Tholoth 
 
 
LeNaskhi 
 
 
Le Naskhi, dont les origines remontent au VIIIe siècle, est apparue dans sa forme systématisée au IXe siècle. Considérée comme peu élégante, elle était surtout utilisée pour la correspondance ordinaire. Avec l’arrivée du papier, qui remplaça le parchemin, et grâce à Ibn al-bawbab qui en fit une écriture élégante, ce style gagna ses lettres de noblesse et servit d’écriture principale de Corans. À ce jour d’ailleurs, il y a plus de Corans copiés en Naskhi que dans toutes les autres écritures arabes réunies. Elle est presque toujours formée de courts traits horizontaux et de verticales d’égale hauteur au-dessus et au-dessous de la ligne médiane. Les courbes sont pleines et profondes, les jambages droits et verticaux, les mots bien espacés en général. 
 
 
 
 
Ecriture Naskhi 
 
 
LeMohaqqaq 
 
 
 
Le Mohaqqaq était originellement une écriture dont les lettres étaient moins angulaires que le Coufique, avec des ligatures bien espacées; l’ensemble était « produit avec méticulosité » comme son nom l’indique. Avec la découverte du papier autour de 750, l’écriture acquit une certaine rondeur qui la rendit plus facile à tracer et devint l’écriture favorite des scribes. Modifiée par Ibn Moqlah, elle conserva ses déliés allongés sans presque de pleins ni d’enjolivures accusées sous les lignes. Cela en fit l’écriture favorite des Corans de grand format. 
 
 
LeRayhani 
 
 
 
Le Rayhani, né au IXe siècle a des liens de parenté certains avec le Naskhi et le Tholoth. Elle est caractérisée par la finesse de ses lettres, finesse accentuée parce que le traits et les fioritures des lettres se terminent en pointes aiguës, et que les signes diacritiques sont très fins et toujours appliqués à l’aide d’une plume différente, dotée d’une entaille beaucoup plus petite. Elle est également considérée comme la sœur du Mohaqqaq car, entre autre, le centre des boucles des lettres n’est jamais rempli. Néanmoins, à la différence du Mohaqqaq, il utilise pleinement les fioritures sublinéaires, comme le Tholoth. Le Rayhani fut surtout prisé pour les grands Corans par les Perses. 
 
 
LeTawaqi 
 
 
Le Tawaqi (signature) est issu de l’écriture Riyasi, que les califes abbassides utilisèrent pour signer leur nom et leur titre. Plus arrondie que le Tholoth, l’écriture Tawaqi est assez proche de l’écriture Riqa, mais s’en distingue par des lignes plus épaisses, des courbes plus arrondies, ce qui lui donne une apparence beaucoup plus lourde. Elle est également plus grande et plus élégante que le Riqa ce qui en fera une écriture utilisée pour les occasions importantes. 
 
 
LeRiqa 
 
 
 
L’écriture Riqa (petite feuille) provient à la fois du Naskhi et du Tholoth. La forme géométrique de ses lettres et particulièrement les fioritures des finales, ressemble beaucoup à celles du Tholoth, mais elle est bien plus petite et dotée de courbes plus arrondies et ses Alefs ne sont jamais écrits avec des barbelures. Le centre des boucles des lettres est invariablement rempli, les lignes horizontales sont très courtes et les ligatures structurées avec densité, les finales étant souvent attachées aux initiales. Son emploi fut réservé au courrier personnel et pour les livres profanes de moyen format. C’est aujourd’hui l’écriture manuscrite la plus employée dans le monde arabe. 
 
 
 
 
Ecriture Riqa 
 
 
LeTomar 
 
 
 
Il est possible d’ajouter à ces six écritures principales, l’écriture Tomar qui aurait été conçue sous le premier calife omeyyade Moawiya (661-680). Ce dernier en fit une écriture royale et est à ce titre une des plus ancienne écritures arabes. Bien qu’elle ait gardé des caractères grands et lourds, elle perdit vers le Xe siècle, son aspect statique et angulaire. 
 
 
 
 
 
Ecriture Tomar
« Allah est mon espérance »
 
 
 
Les écritures maghrébines et les développements tardifs 
 
 
Les écritures maghrébines 
 
 
Au Maghreb, l’Occident islamique, des formes spécifiques d’art furent développés; la calligraphie n’échappa pas à cette tendance. C’est ainsi, que le Coufique occidental se développa vers 670 à Kairouan. Ce Coufique est sensiblement plus arrondis que son homologue oriental et surtout fait preuve d’une plus grande cursivité grâce à ses courbes bien déterminées et ses demi-cercles presque parfaits. 
 
 
De ce Coufique, nacquit le Maghribi, une écriture cursive qui surpasse en délicatesse les autres cursives orientales par la finesse de ses lignes, la liberté coulante de ses courbes ouvertes, la clarté et la rondeur de ses boucles et par-dessus tout, par les fioritures accusées sous les lignes qui lui confèrent une qualité unique d’intégration. Un autre aspect du Maghribi est que ses déliés se terminent invariablement par une légère courbe vers la gauche, en une fin assez émoussée, tandis que ses pleins ont une ligne effilée dont les courbes, tournées aussi vers la gauche, peuvent se prolonger jusqu’à l’aire du mot situé au-dessus. 
 
 
 
 
Sourate IV, « Les femmes »
en Maghribi épais, Maroc, XIe siècle
 
 
 
On distingue quatre styles de Maghribi que sont le Qayrawani, l’Andalousi, le Fasi et le Soudani:
 
 
le Qayrawani dénote une légère ressemblance avec le Naskhi et a de très courts déliés. Une variante monumentale est utilisée dans les Corans. 
 

 

l’Andalousi est plus compact et plus délicat que les autres styles. Originaire de Cordoue, il fusionna avec le Fasi lorsque les Arabes durent quitter le sol espagnol. 
 

 

le Fasi (de Fez au Maroc) est de plus grande dimension que l’Andalousi et est moins décoré que ce dernier. 
 

 

l’écriture Soudani a d’abord été créée à Tombouctou vers 1210 avant de se développer en Afrique sub-saharienne. Écriture favorite des peuples musulmans de cette région, ses lignes sont plus épaisses et ses lettres plus denses que le Maghribi issu du Fasi et de l’Andalousi. 
 
 
 
 
Ecriture Andalousi 
 
 
Les développements calligraphiques tardifs 



L’effondrement de l’Islam arabe face aux invasions mongoles, la conversion des princes mongols à l’Islam, ont freiné le développement artistique mais ne l’ont pas stoppé. Certains princes mongols comme Timour et son fils ont été de grands mécènes. Tandis que plus à l’ouest, en Egypte, les Mamelouks se faisaient les champions de la continuité calligraphique. 

 
 
En Perse, au XVIe siècle, l’écriture Taliq fut créée à partir d’une écriture ancienne cursive sans prétention. Dérivée du Riqa et du Tawqi, cette écriture sera très prisée des Persans, des Indiens et des Turcs. 
 
 
 
 
Ecriture Taliq 
 

La fabuleuse histoire.... - L'alphabet du roi Sejong -

Publié à 14:21 par acoeuretacris Tags : ecriture alphabet sejong
La fabuleuse histoire.... - L'alphabet du roi Sejong -

 L’écriture chinoise en Corée

  

C’EST SOUS L’IMPULSION DE LA PROPAGANDE BOUDHISTE que l’écriture chinoise fut introduite en Corée vers le fin du IVème siècle. Au VIIIème siècle, son emploi était déjà très répandu chez les lettrés et sera utilisée pour transcrire aussi bien les langues chinoise et que coréenne. 
 
  
  
Toutefois l’usage de l’écriture idéographique chinoise pour transcrire le coréen, langue agglutinante à flexions, riche en désinences, n’était pas sans poser de nombreuses difficultés, car elle ne permettait pas de noter ces articulations du langage sans laquelle la phrase ne peut être comprise. 
  
  
  
En 697, le lettré Sel Tchong assigna à un certain nombre de signes chinois un rôle phonétique tout en en modifiant légèrement la prononciation pour tenir compte des spécificité de la langue coréenne. Ainsi le mot ‘hou qui signifie « porte » en chinois devint le signe syllabique transcrivant le son ro. Ce système, dit du complément syllabique, permettait ainsi de transcrire à côté de l’idéogramme chinois, la désinence du mot coréen. Il connut un vif succès et survécut jusqu’à l’invasion japonaise en 1894. 
 
 
  
  
 
  
Le roi Sejong 
 
  
  
Le Hangul, une écriture scientifique 
 
 
  
DEPUIS LA FIN DU XIIIE SIECLE, la Corée était un royaume vassal des empereurs mongols qui régnaient alors sur la Chine. Ces derniers au début du XIVe siècle, avaient été amenés à changer leur propre écriture au profit de l’alphabet galik, un compromis entre l’écriture tibétaine de type indien et l’écriture ouigour de type araméen. 
 
 
  
Les Coréens furent touchés par ces soubresauts culturels avec un léger décalage (entre temps, les Mongols avaient été renversés en Chine par Hong-Wou, fondateur de la dynastie des Ming). 
 
 
  
  
Un roi éclairé 
  
  
Dans la première moitié du XVe siècle, régnait sur le royaume de Corée, le roi Sejong (1419-1451). Ce dernier était un monarque éclairé et cultivé. En 1434, il promulgua un décret dans lequel il demandait à son administration de rechercher « les hommes de savoir et de sophistication, qu’ils soient ou non de noble naissance, afin de les encourager à apprendre à lire au peuple, même aux femmes et aux filles. ». 
 
  
  
  
Il envoya également des missions à Nankin et Pyolmun afin de chercher des conseils sur la possibilité d’introduire dans son royaume une écriture simplifiée. Ces missions ayant échoué, le roi avec l’assistance de lettrés de sa cour, inventa la nouvelle écriture (1443). En 1446, le roi Sejong promulgua un décret, Oje Hunmin Chongum, « La vraie prononciation enseignée au peuple » par lequel il introduisait la nouvelle écriture dite pân tchel. Elle suscita la dérision des lettrés de l’époque, attachés à l’écriture chinoise, et à travers elle au pouvoir que leur conférait sa maîtrise et qu’ils baptisèrent « écriture vernaculaire ». 
 
  
  
  
Dans la préface de l’Hunmin Chongum, le roi Sejong explique clairement ses motivations:
« La langue coréenne étant différente de la langue chinoise, les caractères chinois ne la rendent pas suffisamment. C’est pourquoi, les gens du peuple désirent une chose et n’arrivent pas à exposer leurs sentiments: cela est fréquent. Emu de pitié, j’ai inventé vingt-huit caractères qui seront facilement appris de tous et serviront aux usages quotidiens. » 
 
  
  
  
L’alphabet pân tchel 
  
  
Il s’agissait à l’origine, d’un véritable alphabet de 28 signes comprenant voyelles et consonnes. Le pân tchel, par son principe même, est d’une grande simplicité qui témoigne de son caractère artificiel et de l’esprit scientifique de son créateur. C’est ainsi que l’adjonction d’un simple trait permet de former ‘KH’ à partir de ‘K’, ‘TH’ à partir de ‘T’ ou encore ‘PH’ à partir de ‘P’. 
  
  
  
Originellement, le pân tchel devait servir à décomposer phonétiquement les idéogrammes chinois. Ce n’est qu’ultérieurement qu’il fut appliqué à la transcription de la langue coréenne elle-même. Pour ce faire, il fut légèrement modifié en créant des signes pour transcrire les sons qui n’existent pas dans la langue chinoise telle que ‘b’, ‘g’ ou encore ‘d’ en adjoignant un accent aux signes des sourdes correspondantes, ‘p’, ‘k’ et ‘t’. Par ailleurs, certains signes disparurent, les formes d’autres furent modifiés. C’est ainsi qu’on passa de 28 signes originels à 25 signes aujourd’hui, 14 consonnes et 11 voyelles. 
  
  
  
 
  
Bloc imprimé ancien reprenant les explications du Roi Sejong et décrivant le Hangul et son équivalent en caractères chinois 
  
  
  

Du Pân tchel au Hangul

 

 

 

LA SIMPLICITE QUI CARACTERISE LE PAN TCHELdes origines ne résista pas à l’usage qu’en firent les scribes coréens. Les conditions matérielles de la graphie y ont peut-être contribuées. Les Coréens écrivaient en effet de haut en bas, alignant les colonnes de droite à gauche. Pour gagner de la place et par souci de symétrie, ou peut-être par mimétisme avec les Chinois qui juxtaposent une clef phonétique à presque tous les idéogrammes, les scribes coréens firent figurer à côté de chaque consonne, la voyelle dont elle est pourvue. D’autre part, ils modifièrent la forme des deux caractères ainsi groupés de façon à faire approximativement rentrer le signe ainsi constitué dans un carré. Ils transformèrent ainsi de facto une écriture alphabétique en écriture syllabique. 
  
Ce n’est qu’au début de ce siècle que le terme de Hangul, , « la grande écriture » sera introduit par Chu Shi-Gyong pour désigner l’écriture coréenne. Il apparut pour la première fois dans le nom d’un institut d’enseignement de la langue coréenne, le Han-gulmo puis repris dans le titre d’un livre paru en 1913, Han-gulpuri.
  
  
  
 
  
Alphabet coréen de 1446 
  
  
Le Hangul au XXe siècle 
  
  
C’était une époque sombre pour la Corée alors occupé par le Japon (1894-1945). Les autorités d’occupation essayèrent de substituer l’usage de leur langue ou à défaut des écritures japonaises et chinoises à celles, respectivement, du Coréen et du Hangul. 
 
  
  
  
Par passion nationaliste et du fait de sa proximité avec la Chine, le régime dictatorial de Corée du Nord imposa sur son territoire l’usage systématique du Hangul, alors qu’en réaction, les Coréens du Sud continuèrent à faire cohabiter les deux systèmes. Aujourd’hui encore, les personnes cultivées en Corée du Sud, préfèrent écrire leur nom en idéogrammes chinois, même si l’usage du Hangul est maintenant généralisé dans les deux Corées. 
  
 
Paradoxalement pour un pays aussi fermé qu’a pu l’être la Corée, le Hangul doit beaucoup à l’usage qu’en firent les missionnaires chrétiens qui virent dans ce système simple à enseigner un outil puissant au service de la diffusion de leurs idées. C’est ainsi qu’ils firent imprimer en Hangul de nombreux ouvrages : Nouveau Testament, grammaires, dictionnaires, etc. 
 
 
 
Description de l’alphabet coréen 
 
 
SUR LES 14 CONSONNES, 8 lettres peuvent être considérées comme les consonnes pivots ; chacune d'elle a un nom propre. Il s'agit du 'k' (kiök), 'n' (iün ou niün), 't' (tjigüt), 'l/r' (iül ou riül ou niül), 'm' (miom), 'p' (piop), 's' (piop) et 'ng' (ihäng). Ce dernier son est d'ailleurs assez proche d'une voyelle puisqu'il s'agit d'une nasale finale. A ces 8 lettres, il faut ajouter les lettres 'ch', 'h' et quatre consonnes utilisées uniquement avant une voyelle : 'kh', 'th', 'ph' et 'ch'. 
 
Graphiquement, les cinq consonnes principales sont dérivés des formes des organes vocaux ( ), les 9 autres étant dessinés en adjoignant des traits ou en modifiant légèrement la forme des consonnes de base. 
 
 
Les onze voyelles prennent place sous le nom de i entre les lettres 's' et 'ng' dans l'alphabet coréen. Il s'agit du 'a', 'ya', 'ö', 'yö', o, 'yo', 'u', 'yu', 'i-ü' et le 'a' court auxquels il faut ajouter les lettres 'ya', 'yö', 'yo' et 'yu' qui sont des variantes des lettres 'a', 'ö', 'o' et 'u'. Ces voyelles ont deux formes, une forme complète quand elles sont en position initiale et une forme abrégée quand elles sont le complément d'une consonne. 
 
 
 
Graphiquement, trois des voyelles symbolisent les trois éléments de la philosophie orientale du Yin et du Yang : '.' symbolise les cieux, '' représente la terre et '' rappelle l'humanité. Les huit autres voyelles ne sont que des combinaisons des trois voyelles fondamentales: . 
 
 
Le Hangul combine ensuite consonnes et voyelles pour constituer des syllabes au dessin parfaitement rationnel et logique comme : . La méthode de composition des mots est donc assez similaire à celle des kana japonais. 
 
 
 
 
 
 
Alphabet coréen moderne 
 
 
 
Le Hangul : un alphabet parfait ? 
 
 
DE NOMBREUX SPECIALISTES CONSIDERENT LE HANGUL comme le plus parfait système d’écriture d’un point de vue scientifique. Ils justifient leur point de vue en notant la construction systématique du Hangul qui repose sur la forme des organes vocaux lorsqu’ils prononcent le son. Ainsi, le ‘T’ dans notre alphabet occidental représente un son qui n’a rien à voir avec la forme des organes vocaux. Son homologue coréen ‘’ représente la manière dont la langue touche le palais supérieur. 
 
 
Une autre des caractéristiques les plus intéressantes du Hangul est sa facilité d’apprentissage et ce aussi bien pour des Coréens que pour des étrangers. Il y a une dizaine d’année, l’UNESCO a reconnu cette spécificité remarquable en instituant le prix de littérature du Roi Sejong qui honore les personnes qui ont contribué à l’éradication de l’illétrisme dans le monde. Grâce au Hangul, la Corée a ainsi un des plus bas taux d’illétrisme dans le monde. 
 
  
Toutefois, ces points sont à nuancer. En effet, tous les sons de la langue coréenne ne sont pas retranscris dans le Hangul. Il n’existe ainsi pas de signes distincts pour exprimer les sons ‘g’, ‘b’, ‘d’ et ‘j’ qui existent pourtant en coréen et sont représentés par les lettres ‘k’, ‘p’, ‘t’ et ‘ch’. 
Il n’en reste pas moins que le Hangul répond parfaitement à la fonction d’une écriture à savoir de retranscrire aisément, lisiblement et le plus fidèlement possible une langue. Les Coréens en sont bien conscients eux qui fêtent tous les 9 octobre le Hangul Day. 
 
 
 
 
 
Ouvrage ancien
composé en Hangul

 

Cadeau de Judithe -

Publié à 11:08 par acoeuretacris
pour Toi mimi (Acoeuretacris)

 

Toi qui t'occupes si bien de moi

toi qui t'inquiètes à mon sujet

toi qui sais bien me lire et me comprendre

voilà un petit présent juste pour toi que j'offre avec l'immensité d'un plaisir sincère,

pour cette belle amitié, notre amitié

et réçois le plus gros, beau et tendre bisou

du Cameroun

 

 

je t'adore et surtout soit toujours là pour moi

autant que je le serais pour toi

 

 

 

Merci ma Judithe pour ce magnifique cadeau...

je suis touchée par tant de gentillesse et d'amitié...

sois sure que je serai toujours là pour toi

je te fais de gros bisous

encore merci, du fond du coeur....

Mimi

 

 

 

http://adorablecharity.centerblog.net/

 

un joli blog à visiter sans modération

 

Bon vendredi à tous...

Publié à 08:32 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bon vendredi à tous...

 

Sois serein

 

Sois serein au milieu du bruit et de l'agitation
et songe au calme paisible qui se dégage du silence.

Vis en bonne entente avec tout le monde sans pour cela te renier.
Expose calmement et clairement tes idées.

Ecoute les autres, même celui que tu considères moins intelligent que toi,
car lui aussi a quelque chose à t'apprendre.

Evite les personnes bruyantes et agressives,
elles sont un supplice pour l'esprit.

Si tu te compares aux autres, tu te sentiras parfois vaniteux et aigri,
car il y en en aura toujours de plus grands et de plus petits que toi.

Si modeste que soit ta profession,
elle est réellement une richesse dans un monde instable.

Soit prudent en affaires car le monde veut te tromper,
mais garde les yeux grands ouverts devant ses beaux côtés,
beaucoup recherchent un idéal élevé et font preuve de grand courage.

Reste toi-même, ne simule pas l'affection
mais ne parle pas non plus de l'amour cyniquement ;
car en présence de l'indifférence et du désenchantement,
il est aussi fragile que le brin d'herbe.

Accepte sans amertume la sagesse des années en échange de ta jeunesse.
Fortifie ton esprit, il te soutiendra en cas de malheur soudain.

Ne te laisse pas entraîner par ton imagination,
l'angoisse naît de la fatigue ou de la solitude.

Impose-toi une sainte discipline,
mais reste néanmoins indulgent envers toi-même.

Tu est un enfant de l'univers tout comme les arbres et les étoiles ;
tu as le droit d'exister.

Et même si cela échappe à ta compréhension,
l'univers poursuit son évolution.

Vis en paix avec une puissance supérieure,
quel que soit le nom que tu lui donnes ;
et quels que soient tes actes et tes aspirations,
vis en paix avec ta conscience dans ce monde bruyant.

Malgré toutes ses hypocrisies, ses tracas et ses rêves envolés,
la vie est quand même belle.

Reste vigilant et tends inlassablement vers le bonheur.

 

(auteur inconnu)

 

image

à demain...

Publié à 21:37 par acoeuretacris Tags : bonsoir
à demain...

je vous souhaite une belle et douce nuit...

 

Simple...

 

L'arbre ne peut grandir coupé de sa racine
Le fleuve ne peut couler divorcé de sa source
Il ne fait pas jour sans lumière
Et je ne sais marcher sans repos

 

Simple, simple. comme une marche d'escalier
Simple comme bonjour à l'ami croisé par hasard
Simple comme bonjour au premier rayon de l'aurore
entrevu par la paupière endormie
Simple comme bonsoir au vieillard

 

L'arbre ne vit pas sans nourriture
La source irrigue son entourage
Il n'y a pas d'âge pour être heureux
C'est qu'il m'arrive de pleurer

 

Simple, simple. comme un barreau d'échelle
Simple comme bonjour aux bras au loin tendus
Simple comme bonjour au chien qui se hisse
au dehors tout remué du retour
Simple comme bonsoir quand vient le soir

 

L'arbre mort fait de la flamme
Le torrent a creusé le rocher
La vie ne cesse de continuer
Et je cherche à gravir l'existence

 

Simple, simple. comme les bras d'une mère
Simple comme bonjour dès les lèvres du coeur
au cher de mes chers

 

Simple comme bonjour aux primevères nouvelles
Simple comme - je ne veux pas aller me coucher -
mais demain tôt, on part en voyage
Simple comme bonsoir

 

Odile ROUGÉ

 

 

 

 

Cadeau de Mumu - CADEAU POUR LES 9000...

Publié à 14:33 par acoeuretacris
CADEAU POUR LES 9000 VISITES DE MA PTITE MIMI
 
CADEAU POUR LES 9000 VISITES DE MA PTITE MIMI

Tu as 9000 visiteurs

Tu fais du bon

Tu es une encyclopédie

de nous faire découvrir plein de choses

ces quelques fleurs

et plein de gros

 

Merci ma Mumu...

tu sais que je reçois ce joli cadeau avec plein d'émotion...

merci pour ta gentillesse et ton amitié..

je te fais d'énormes bisous ...

 

http://mamatus.centerblog.net/

 

http://www.youtube.com/watch?v=t4LiSjm67DE

 

chanson frisson...

"l'Aigle Noir "

Barbara....

 

Merci ma Mumu...

 

 

Cadeau Commun de Chantal -

Publié à 14:22 par acoeuretacris
Cadeau Commun de Chantal -

Un grand merci Chantal...

pour toutes ces jolies créas que tu nous offres...

bisous...

 

http://chezmaminou.centerblog.net/

 

gros bisous à tous....