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Date de création : 27.11.2008
Dernière mise à jour :
08.02.2013
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Celle qui fut le premier amour de Louis XIV naquit à Rome le 28 août 1639 et reçu le prénom de Marie. Son père Lorenzo Mancini lui prédit dés sa naissance un avenir malheureux. Sa mère Girolama Mazarini, sœur de Mazarin déjà trois enfants dont deux filles lorsque Marie vient au monde et remarque bien vite que de toutes ses filles, elle est celle qui a le moins de charme, qui est la moins belle. Après Marie, Mme Mancini aura encore plusieurs enfants qui porteront la famille à huit héritiers. Dés 1647, le cardinal de Mazarin fait venir sa famille à la cour. Mme Mancini part avec ses aînés - Laure-Victoire, Paul et Olympe- et met Marie dans un couvent français. La jeune fille rejoint la France en 1655 après la mort de son père survenu en 1650. L’accompagne le reste de la famille Mancini, Philippe, Alphonse, Hortense et Marie-Anne. Sa sœur Olympe est déjà courtisée par Louis XIV depuis quelques temps, ce qui n’est pas pour déplaire à Mazarin. L’année suivante, Marie perd sa mère qui est emportée par la maladie à 42 ans. Marie se retrouve enfin libérée de l’emprise de sa mère mais un autre incident va venir chambouler sa vie : en 1658, le roi, parti faire la guerre à Calais, est prit de fortes fièvres à Compiègne et l’on craint pour sa vie. Marie, déjà amoureuse en secret de Louis, laisse libre cours à son chagrin. Louis XIV se remet et en apprenant le chagrin de la jeune femme, est prit d’une passion pour elle.
Depuis, Olympe voue une haine à sa sœur qui sans être d’une grande beauté, a conquit le cœur du roi. Lorsqu’ils sont séparés, les deux amants ne cessent de s’envoyer des lettres qui prouvent la passion amoureuse qui les lit. Ni le projet d’union avec la Savoie, ni la proposition de mariage avec l’infante d’Espagne ne font changer d’avis Louis XIV sur ses sentiments. Dans un premier temps, l’idylle entre le roi et sa nièce a ravi le cardinal de Mazarin car la douce et naïve Marie éloignait Louis des petites intrigantes. Mazarin aurait même été favorable à leur mariage car ni Marguerite de Savoie ni la princesse du Portugal n’apportaient beaucoup à la France. Néanmoins, cela fait des années qu’Anne d’Autriche et Mazarin travaillent pour la paix entre la France et l’Espagne et le roi Philippe IV est prêt à donner sa fille au terme d’une paix entre les deux pays. Le seul problème c’est Louis XIV n’a que faire des arrangements de son ministre et de sa mère, il aime Marie Mancini et en vient même à lui promettre le mariage. Anne d’Autriche menace alors le roi de mettre le pays en révolte et d’y entraîner son frère le duc d’Anjou si Louis s’obstine. Pour l’Etat, Louis doit renoncer à Marie Mancini. Avant de quitter la cour, voyant le roi pleurer, Marie ne pourra s’empêcher de dire « Vous pleurez Sire, vous êtes le maître et moi je pars ». Marie Mancini rejoint Brouage avec ses sœurs cadettes. En 1659, alors qu’il partait pour l’Espagne, le roi se vit accorder la permission d’aller rendre visite à Marie à Cognac. Ce fut la dernière fois que Louis et Marie purent se voir, durant une période de trois jours. Après une aventure amoureuse avec Charles de Lorraine, Marie épousa en 1661 Lorenzo Colonna, un homme beau et riche que son oncle Mazarin lui avait trouvé avant de mourir. Dés lors, Marie mena une vie luxueuse et capricieuse. Son époux, très amoureux d’elle eut la satisfaction qu’elle lui donne trois fils bien que Marie espéra toujours avoir une fille :
- Philippe (1663 - 1714)
- Marc (1664 -1715)
- Charles (1665-1739)
Mais après huit années de mariage, Marie Mancini-Colonna apprend les infidélités de son mari. Elle lui refuse alors le lit conjugal puis s’enfuit. En 1672, Marie se réfugie chez sa sœur Hortense puis parcours l’Europe pour échapper à Lorenzo Colonna qui, blessé dans son orgueil, poursuit son épouse. Celui ci meurt en 1689. Bien que son amour de jeunesse se retrouve en France à diverses reprises, Louis XIV ne tiendra pas à revoir celle qu’il a aimée autrefois. Marie Mancini finira par regagner l’Italie où elle décède en mai 1715 à Pise, quelques mois avant le roi de France.
Fille de Laurent de La Baume Le Blanc seigneur de la Vallière et de Françoise le Provost, Françoise-Louise née le 6 aout 1644 à Tours. On prendra l’habitude de l’appeler par son second prénom : Louise. En 1651, la petite fille perd son père. La veuve se remarie avec le marquis de Saint-Remy. Ce dernier connaît bien le duc d’Orléans, frère du défunt Louis XIII. Très vite, Louise devient demoiselle de compagnie des filles de Gaston de Bourbon-Orléans. Ce dernier en a eu trois de son second mariage avec Marguerite de Lorraine : Marguerite-Louise née en 1645, Elisabeth-Marguerite née en 1646 et Françoise-Madeleine née en 1648. C’est avec l’aînée que Louise tissera de solides liens d’amitiés. A l’âge de 17 ans, Mademoiselle de la Vallière entre à la cour comme fille d’honneur de la nouvelle duchesse d’Orléans (Gaston d’Orléans étant mort en 1660 son titre passait au frère de Louis XIV), Henriette d’Angleterre. Très vite, Louise sert de paravent aux amours du roi et de sa jolie belle-sœur. En effet, la reine et le duc d’Orléans se plaignent du comportement de leurs conjoints à la reine-mère Anne d’ Autriche. Louis XIV, pour calmer les choses, fait mine de s’intéresser à la jeune Mademoiselle de la Vallière pour pouvoir se rendre chez la duchesse d’Orléans. Mais il se trouve que Louise est amoureuse secrètement du roi et que ce dernier fini lui aussi par tomber sous le charme de la timide et charmante jeune femme. Dés 1661, Louis XIV devient l’amant de Louise. Celle-ci semble être honteuse d’être la maîtresse du roi et serait sans doute soulagée si Louis était un simple gentilhomme plutôt que le monarque de la France. Mademoiselle de la Vallière éprouva pour lui un amour pur et désintéressé.
Dés le mois de décembre 1663, Louise met au monde très secrètement le premier des quatre enfants qui allaient naître de ses amours avec le roi. C’est un fils qui naît au palais de Brion que le roi a acheté pour sa maîtresse. L’enfant prénommé Charles est confié à Mme Colbert, Louis XIV ayant mis son ministre au courant de la situation. Personne d’autre et surtout pas la famille royale ne doit être dans la confidence. C’est à cette date que Louise cesse son service auprès de la duchesse d’Orléans qui de plus ne supportait pas que le roi ait pu la délaisser pour l’une de ses demoiselles d’honneur. D’ailleurs, Henriette d’Angleterre cherche à se venger de Louise en mettant sous le nez de Louis la jeune Anne-Lucie de La Mothe-Houdancourt et la princesse de Monaco. Pourtant, le roi revient toujours vers Louise. Celle-ci donnera encore trois enfants au roi :
- Philippe (1665-1666)
- Marie-Anne (1666-1739) Mademoiselle de Blois puis princesse de Conti
- Louis (1667-1683) comte de Vermandois
La mère du roi, Anne d’Autriche, désapprouve cette liaison. C’est pourquoi Louis et Louise se voient le plus souvent des endroits secrets (tel que la grotte de Thélys). Les enfants de Louise sont également éloignés et élevés loin de la cour. Louise ne verra jamais ses deux premiers fils morts en bas âge. Elle aime le roi et refuse de perdre son amour. Après la mort d’Anne d’Autriche en janvier 1666, Louis XIV affiche sa favorite : ou qu’il aille, Louise le suit, précédant parfois même le carrosse de la reine Marie-Thérèse !!! Sachant qu’elle est timide et peu cultivée, Louise fait venir de plus en plus souvent des ses appartements la marquise de Montespan qui a le don d’amuser le roi. Louis XIV, subjugué par la beauté et l’esprit de la marquise, ne va bientôt plus chez sa maîtresse que pour voir Mme de Montespan. En 1667, Louise est faite duchesse de la Vallière et de Vaujours et sa fille est légitimée. Certains y voient un cadeau d’adieu car le roi semble de plus en plus proche de Françoise-Athénaïs de Montespan. Celle-ci devient probablement la maîtresse de Louis dés cette année. Néanmoins, le roi garde la duchesse de la Vallière à ses côtés pour faire paravent à l’adultère qu’il commet (la marquise de Montespan est mariée).
Louise, fatiguée par ses grossesses et par la vie à la cour où tout n’est qu’intrigues, s’efface, espérant toujours récupérer le cœur de son amant. En 1669, son dernier fils est légitimé. C’est l’époque des « trois reines » : Marie-Thérèse d’Autriche épouse de Louis XIV, Louise et Athénaïs, maîtresses du roi. La duchesse de la Vallière qui cohabite sans cesse avec la marquise de Montespan en vient à exiger du roi que les faveurs soient égales entre elles : ainsi en 1670, Louise est de nouveau enceinte. Brusquement, elle tombe malade, perd l’enfant et on la croit elle-même condamnée. La duchesse survit mais cette épreuve l'a rapproché de dieu. Louise estime qu’elle a pêché en ayant une liaison avec un homme marié et qu’elle mérite une punition : elle porte des bracelets de fer sous ses jolies robes, ne mange plus et dort à même le sol. Finalement, elle s’enfuit dans un couvent. En 1662 déjà, Louise avait quitté de nuit la cour après une dispute avec le roi. Ce dernier avait dû aller la chercher. Cette fois, le jeune amoureux n’est plus et c’est Colbert qui doit ramener la duchesse. A force de persuasion, Louise regagne la cour mais demande au roi l’autorisation de s’enfermer au Carmel. A cette date, plus personne n’ignore la relation de Louis XIV et d’Athénaïs qui lui a déjà donné plusieurs enfants. En avril 1674, après avoir fait des excuses publiques à la reine, Françoise-Louise de la Vallière entre au Carmel sous le nom de sœur Louise de la Miséricorde à l’âge de 30 ans. Elle y fait pénitence, se lève tôt, fait les corvées, jeûne souvent et reçoit rarement la visite de certains courtisans dont la marquise de Montespan. Oubliée du roi, Louise meurt le 6 juin 1710 à l’âge de presque 66 ans. En apprenant son décès, le roi dire seulement « elle est morte pour moi le jour où elle est entrée au couvent ».
A l'image de son grand-père Henri IV dit le vert-galant, Louis XIV eut un nombre impressionnant de maîtresses des plus officielles aux plus secrètes.
1. Catherine Bellier, baronne de Beauvais, dame de chambre d’Anne d’Autriche en 1653
2. Olympe Mancini de 1654 à 1657 et de 1660 à 1661
3. Lucie de la Motte-Argencourt en 1657
4. Mlle de Marivault en 1657
5. Marie Mancini de 1658 à 1660
6. la fille d’un jardinier en 1658 dont il eut une fille née en 1659
7. Hortense Mancini en 1661
8. Henriette-Anne d’Angleterre, duchesse d’Orléans en 1661
9. Bonne de Pons, future Mme d’Heudicourt en 1661
10. Françoise-Louise de La Baume Le Blanc duchesse de la Vallière et de Vaujours de 1661 à 1667 dont il eut quatre enfants
11. Anne-Lucie de la Mothe-Houdancourt en 1662
12. Charlotte-Catherine de Gramont, princesse de Monaco en 1665
13. Françoise-Athénaïs de Rochechour de Mortemart, marquise de Montespan de 1667 à 1681 dont il eut sept enfants
14. Anne-Julie de Rohan-Chabot, princesse de Soubise en 1669 et de 1674 à 1676
15. Lydie de Rochefort-Théobon en 1673 et en 1677
16. Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon de 1674 à 1715
17. Claude de Vin des Œillets, première dame de chambre de la marquise de Montespan vers 1675-1676 dont Louise de Maison Blanche (1676-1718) et dont il eut peut être deux autre enfants
18. Marie-Elisabeth de Ludres de 1675 à 1677
19. Mme de Louvigny vers 1676-1677
20. Mlle de Montmorency-Laval vers 1676-1677
21. Mme de Grammont vers 1677-1678
22. Marie-Angélique de Scorailles, duchesse de Fontanges de 1678 à 1681 dont il eut deux enfants
23. Mlle de Grancey en 1681
24. Mlle de Rouvroy en 1681
25. Charlotte-Eléonore de la Mothe-Houdancourt en 1681
26. Marie-Anne de Wurtemberg en 1681
27. Mlle d’Oré en 1681
28. Mlle de Piennes en 1682
29. Diane-Gabrielle Damas de Thianges vers 1682-1683
30. Mme de Saint-Martin vers 1682
31. Mme de Roquelaure en 1683
32. Julie de Guenami fille du duc d’Enghien et de Mme de Marant vers 1683
Hercule ou heracles est un demi-dieu et héros célèbre par sa force, son courage et ses nombreux exploits légendaires. Hercule est le nom latinisé du héros grec Héraclès ("!la gloire d'Héra!"). D'abord prénommé Alcide, il était le fils du dieu Zeus et d'Alcmène, épouse du général thébain Amphitryon. Héra, l'épouse de Zeus, ivre de jalousie, était déterminée à tuer les rejetons de son époux infidèle.
C'est pourquoi, peu de temps après la naissance d'Hercule, elle envoya deux grands serpents pour le supprimer. Elle échoua, car Hercule, bien qu'il ne fût qu'un bébé, étrangla les serpents. Devenu un jeune homme, il tua le lion de Cithéron à mains nues!; en guise de trophée, il décida de porter désormais la peau du lion sur ses épaules, et sa tête comme casque.
Par la suite, le jeune héros multiplia les exploits dans les domaines les plus variés!; il remporta notamment une écrasante victoire contre le roi voisin Orchomène, qui exigeait de Thèbes un tribut contraignant. En récompense de cet exploit guerrier, on lui accorda la main de la princesse de Thèbes, Mégara, dont il eut trois (ou huit) fils. Mais Héra, toujours impitoyable, tant était grande sa haine à l'égard d'Hercule, lui infligea une soudaine crise de folie, au cours de laquelle il tua sa femme et ses enfants. Saisi d'horreur et de remords lorsqu'il eut réalisé son acte, Hercule fut tenté de se donner la mort, mais l'oracle de Delphes lui révéla qu'il pouvait et devait se purifier de son crime en se mettant au service et à la merci de son cousin Eurysthée, roi de Mycènes.
C'est Eurysthée qui, sur les instances d'Héra, imagina en guise de châtiment de confier à Hercule douze tâches particulièrement difficiles, les célèbres "!travaux d'Hercule!".
La première tâche dont Hercule fut chargé consistait à tuer le lion de Némée, une bête féroce que nulle arme ne pouvait blesser. Hercule assomma tout d'abord le lion avec sa massue, puis il l'étrangla.
Il dut ensuite tuer l'Hydre qui vivait dans un marécage près de Lerne. Ce monstre possédait neuf têtes, dont l'une était immortelle et, lorsque l'une des autres têtes était coupée, une nouvelle tête poussait à sa place. Hercule choisit de brûler à l'aide d'une torche les huit têtes mortelles, de façon à les empêcher de repousser. Quant à la tête immortelle, il l'écrasa sous un rocher. La bête morte, il trempa ses flèches dans son sang afin de les empoisonner. Pour surmonter la quatrième épreuve, Hercule devait capturer un grand sanglier dont la tanière se trouvait sur le mont Érymanthe. La tâche suivante consistait à capturer vivante la biche de Cérynie, aux cornes d'or et aux sabots de bronze, animal sacré d'Artémis, la déesse de la Chasse. Aidé par Athéna, Hercule dut par la suite chasser une immense nuée d'oiseaux mangeurs d'hommes, pourvus de becs, de serres et d'ailes de bronze, qui vivaient près du lac Stymphale, puis il nettoya en un seul jour les ordures qu'avaient accumulées pendant trente ans les milliers de têtes de bétail que contenaient les écuries d'Augias. Pour ce faire, il détourna le cours de deux rivières, et leur fit traverser les écuries. Pour s'acquitter de sa septième tâche, Hercule dut ramener à Eurysthée un taureau furieux que Poséidon, dieu de la Mer, avait envoyé pour terroriser la Crète. Il ramena ensuite à Mycènes les juments mangeuses d'hommes de Diomède, roi de Thrace. Hippolyte, reine des Amazones, était toute disposée à aider Hercule dans sa neuvième mission : rapporter à la fille d'Eurysthée la ceinture qu'elle portait autour de la taille. Mais, comme Hippolyte allait donner sa ceinture à Hercule, Héra parvint à faire croire aux Amazones que le héros essayait d'enlever leur reine. Hercule tua Hippolyte en pensant qu'elle était responsable de l'attaque qu'il subissait, et réussit à leur échapper en emportant la ceinture. Plus tard, comme il faisait route vers l'île d'Érythie pour s'emparer des bœufs du monstre à trois têtes Géryon, Hercule planta deux grands rochers dressés (les rochers de Gibraltar et de Ceuta, de part et d'autre du détroit de Gibraltar) en guise de commémoration de son voyage. À peine avait-il rapporté les bœufs, qu'on l'envoya chercher les pommes d'or des Hespérides. Hercule, ignorant où se trouvaient les pommes, demanda peut-être l'aide d'Atlas, le père des Hespérides. Atlas consentit à l'aider, à la condition qu'Hercule soutînt à sa place le monde sur ses épaules, pendant que lui, Atlas, irait chercher les pommes. Le vieillard n'avait ensuite guère envie de reprendre son fardeau, mais Hercule l'amena par ruse à le reprendre. Le douzième travail d'Hercule, et le plus difficile, fut de ramener du monde souterrain Cerbère, le chien à trois têtes. Hadès, dieu des Morts, donna à Hercule la permission d'emmener la bête, s'il y parvenait sans utiliser aucune arme. Hercule captura Cerbère, l'amena à Mycènes, puis le rendit à Hadès.
Les 12 travaux d'hercule
1.Le lion de Némée
2. L'hydre de Lerne
3. La Biche de Cérynie
4. Le sanglier d'Érymanthe
5. Les écuries d'Augias
6. Les oiseaux du lac Stymphale
7. Le taureau de Crète
8. Les juments de Diomède
9. La ceinture de la reine Hyppolyté
10. Les boeufs de Géryon
11. Les pommes d'or du jardin des Hespérides
12. Cerbère, le gardien des Enfers
Après ces douze travaux, Hercule continua ses exploits, dont certains sont très célèbres. La légende dit qu'il épousa Déjanire, gagnée à son rival Antée, fils de Poséidon. Un jour, le centaure Nessos attaqua Déjanire pour la violer : Hercule le blessa avec une des flèches empoisonnées par le sang de l'Hydre. Malheureusement, le centaure mourant conseilla à Déjanire de prendre un peu de ce sang : c'était, lui dit-il, un puissant philtre d'amour. En réalité, il s'agissait d'un poison. Déjanire le conserva précieusement et, lorsqu'elle crut qu'Hercule était tombé amoureux de la princesse Iole, elle fit porter à son époux une tunique qu'elle avait trempée dans ce sang. À peine l'eut-il revêtue, qu'Hercule ressentit la brûlure du poison, si intense qu'il préféra mettre fin à la douleur en se jetant dans les flammes d'un bûcher funéraire. Après sa mort, les dieux l'emportèrent sur l'Olympe et lui donnèrent comme épouse Hébé, déesse de la Jeunesse.
Les Grecs rendaient un culte à Hercule à la fois en tant que dieu et en tant que héros mortel. On le représente habituellement sous les traits d'un homme musclé, à la carrure puissante, revêtu d'une peau de lion et portant une massue.
Architecte, sculpteur et inventeur athénien légendaire, qui réalisa pour le roi Minos de Crète le labyrinthe dans lequel fut enfermé le Minotaure, un monstre mangeur d'hommes, moitié homme, moitié taureau. Le labyrinthe était construit de telle manière que personne ne pouvait s'en échapper ou échapper au Minotaure.
Dédale ne révéla le secret du labyrinthe qu'à Ariane, fille de Minos, qui aida ensuite son amant, le héros athénien Thésée, à tuer le monstre et à s'échapper. Mis en rage par cette fuite, Minos enferma Dédale et son fils Icare dans le labyrinthe. Les prisonniers ne trouvèrent pas la sortie, mais Dédale fabriqua des ailes de cire pour qu'ils quittent le labyrinthe en s'envolant. S'approchant trop du soleil, les ailes d'Icare fondirent et il se noya dans la mer.
Dédale vola jusqu'en Sicile, où il fut accueilli par le roi Cocalos. Minos poursuivit Dédale mais fut tué par les filles de Cocalos.
Fils de Poséidon ou de Glaucos, roi de Corinthe, et petit-fils de Sysiphe, qui parvint à apprivoiser Pégase à l'aide d'une bride que lui avait donnée la déesse Athéna.
La légende dit que Bellérophon suscita la jalousie du roi d'Argos, Proetos, en tombant amoureux de son épouse. Le roi décida de se débarrasser de lui en l'envoyant à son beau-père Iobate, roi de Lycie, muni d'un message qui demandait la mise à mort du messager. Cependant Iobate, en lisant ce message, craignit d'encourir la colère de Zeus s'il accédait à une requête qui rompait le lien traditionnel et sacré qui unissait un hôte et son invité. Au lieu de tuer Bellérophon, il se contenta donc d'exposer sa vie en lui demandant de tuer la Chimère, un monstre crachant le feu. Le héros accomplit cette mission avec l'aide de Pégase et triompha également des Amazones, une tribu de femmes guerrières.
Iobate, impressionné par le courage surhumain de Bellérophon et persuadé de ses origines divines, lui donna sa fille en mariage et lui légua son trône. Plus tard, Bellérophon, ivre d'orgueil, défia les dieux en essayant de chevaucher jusqu'au sommet du mont Olympe : jeté à terre par Pégase, il se tua.
Dans l'Iliade, il est le plus puissant et le plus brave des héros grecs, qui périt lors de la guerre de Troie. Achille était le fils de Thétis, nymphe de la mer, et de Pélée, roi des Myrmidons de Thessalie, et il fut élevé par le centaure Chiron. Lorsqu'il était enfant, sa mère le plongea dans le Styx pour le rendre immortel, en le tenant par le talon, qui, non immergé dans les eaux du fleuve, resta la seule partie vulnérable de son corps.
Achille prit part à de nombreux combats, pendant les dix années que dura le siège de Troie. Lorsque le roi de Mycènes, Agamemnon, s'empara de sa jeune captive Briséis en la revendiquant pour lui-même, Achille se retira du combat. Profitant de cette péripétie, devenue célèbre sous le nom de «!colère d'Achille!», les Troyens, enhardis par l'absence du héros, attaquèrent les Grecs et les forcèrent à reculer. Devant cette débâcle, Patrocle, ami et compagnon d'Achille, supplia celui-ci de lui prêter son armure et de le laisser conduire ses Myrmidons au combat.
Achille y consentit, et Patrocle trouva la mort dans cette bataille sous les coups du prince troyen Hector. Achille, rempli de douleur, retourna au combat pour tuer Hector et venger Patrocle. Il traîna triomphalement le cadavre derrière son char autour des remparts de Troie, puis rendit à Priam, roi de Troie, la dépouille de son fils contre une rançon. Mais, alors qu'il conduisait les Grecs jusque sous les murs de Troie, Achille fut à son tour mortellement blessé au talon par une flèche que lui décocha Pâris, frère d'Hector.
La querelle entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle, celle d'Hector et toutes les péripéties de la guerre de Troie auxquelles Achille prit part sont racontées dans l'Iliade.
les titans
Les premiers Dieux
Au début de tout conte ou de toute histoire vraie concernant la formation de l'univers, se trouvait toujours le Chaos, c'est ainsi qu'à la naissance du monde grec antique, le Chaos fut déifié. Le Chaos engendra donc l'Erèbe et la Nuit (ou Nyx) qui mirent au monde l'Éther et l'Hémera (le Jour). La Nuit sombre était également la mère de la Mort, du Sommeil, des Moires ainsi que des Hespérides et d'Eris. Ensuite, Gaia (la Terre), large et solide, devint la base, le siège où chaque vie trouve sa source. Ouranos, qui l'entourait, était par son immensité le plus grand des Dieux à l'origine du monde.
Atlas
Les conséquences du nouvel ordre des choses qui régnait furent douloureuses pour certains. Atlas, par exemple, le fils du Titan Japet fut sévèrement puni pour avoir participé à la Titanomachie contre Zeus. Ce dernier l'envoya au bout du monde, aux frontières de la Nuit et du Chaos, là ou les Hespérides gardent les pommes d'or que nous mentionnerons plus bas. C'est à cet endroit qu'il le condamna à porter éternellement le ciel au dessus de la terre ou le ciel en même temps que la terre, ou encore selon une autre version, l'axe du monde. Un autre mythe prétend qu'Atlas était antérieurement devenu le roi d'une île fabuleuse, située au-delà de l'Océan, appelée Atlantide. De son union avec Pléioné Atlas eut sept filles, les Pléiades: Taygète, Electre, Alcyoné, Astéropé, Celaeno, Maia et Méropé. A leur mort, les Pléiades formèrent dans le ciel la constellation des Pléiades, connut sous le nom de Poulia
Cronos et RhéaCronos, qui appartient à la première génération de Dieux, fut le seul fils de Gaia qui l'aida à se venger de son propre père, Ouranos. Après l'avoir mutilé en lui sectionnant les organes génitaux, il prit sa place et précipita dans le Tartare ses frères et soeurs, les Hécatonchires et les Cyclopes qui étaient autrefois prisonniers de leur père. Il épousa ensuite sa soeur Rhéa mais il ne voulait laisser vivre aucun des enfants qu'elle mettait au monde, car ses parents l'avaient prévenu que l'un de ceux-là le détrônerait. Dès que les enfants naissaient, il les dévorait immédiatement. Il avait engloutit dans l'ordre Hestia, Déméter, Héra, Hadès (Pluton) et Poséidon. Alors lorsqu'elle fut sur le point d'accoucher de Zeus, Rhéa se réfugia en Crète et le mit au monde de manière dissimulée. Elle confia l'éducation de l'enfant à l'Océanide Métèdes et présenta à Cronos une pierre enfouie dans les langes, que ce dernier engloutit d'un seul coup, pensant qu'il s'agissait du nouveau né. C'est ainsi que Zeus survécut.La TitanomachieDes que Zeus attint l'âge adulte, il obligea Cronos à restituer tous les enfants qu'il avait avalés en lui faisant boire une potion. Alors, après avoir libéré les Hécatonchires et les Cyclopes, ils déclarèrent tous ensemble la guerre à Cronos qui était allié à ses frères, les Titans. Tous les dieux, jeunes et anciens, prirent part à cette lutte, la terrible Titanomachie. Durant cette célèbre bataille, les Titans avaient établi leur campement sur le mont Orthrys, tandis que Zeus et ses alliés avaient pour base stratégique l'Olympe. Les Cyclopes donnèrent à Zeus, le tonnerre, l'éclair et la foudre, à Poséidon le trident et à Hadès le bonnet le rendant invisible. Les trois Hécatonchires, soulevèrent avec leurs trois cents mains de gigantesques rochers qu'ils jetèrent aux Titans. Les Olympiens ne tardèrent pas à s'assurer la victoire. Zeus succède ainsi à une génération de dieux plus anciens et primaires. Il est plus sage, possède des valeurs supérieures et représente des forces naturelles. Cependant, parmi la génération des Titans, tous n'étaient pas du côté de Cronos. Océan par exemple, ne se battit pas à ses côtés, tandis que Prométhée, fils de Japet, aurait apporté une aide considérable à Zeus. A l'issue de la Titanomachie, Cronos et ses frères s'enchaînèrent les uns aux autres et se jetèrent dans le Tartare où les Hécatonchires veillèrent sur eux.
Le genre humainDurant les temps très reculés, où il n'existait que des dieux immortels et aucun être mortel sur terre, les immortels songèrent à créer les créatures qui devaient l'habiter. Zeus confia alors à Prométhée et à Epiméthée, les deux fils du Titan Japet, la tâche de doter les créatures terrestres de grâces et de talents. Epiméthée demanda à son frère de le laisser faire le partage. Il dota ainsi certains animaux de la beauté, d'autres de la force, d'autres étaient petits mais rapides, d'autres grands et d'autres rusés. Epiméthée répartissait donc sans cesse les dons et les grâces. Toutefois, ne possédant pas la sagesse de son frère, il fit don de toutes les grâces et de toutes les armes aux animaux et délaissa l'homme, le laissant sans arme et sans défense.
ProméthéeC'est alors que Prométhée, l'ami de l'homme, afin de corriger cette erreur, déroba la sagesse à Athéna et dota ainsi l'homme de la logique. Puis il s'empara du feu dans l'atelier d'Héphaïstos et en fit cadeau à l'homme. Ce dernier commença à se réchauffer, à vivre et à créer grâce au feu. Prométhée prit le genre humain sous sa protection et lui inculqua tout son savoir. Mais l'aide qu'il apporta à l'homme en le faisant ainsi ressembler aux Dieux provoqua la colère de Zeus. Ce dernier, quand il apprit que Prométhée avait fait don du feu, répandit la foudre et le tonnerre, sous l'emprise de la rage. Le feu avait jusque là été un cadeau réservé uniquement aux dieux. Zeus punit donc sévèrement Prométhée. Il l'enchaîna au sommet du Caucase et chaque jour un aigle venait lui ronger le foie. Le foie de Prométhée se reformait durant la nuit et le lendemain lorsque l'aigle revenait il le rongeait de nouveau. Au bout de trente ans, Héraclès le délivra de son martyre. Dans une autre version du mythe, on donne une explication différente à la colère de Zeus envers Prométhée. Au cours d'un sacrifice officiel, Prométhée partageait le boeuf qui devait être l'objet du sacrifice, de manière détournée: il disposait d'un coté toute la viande maigre et les boyaux recouverts de la peau de l'animal et de l'autre tous les os recouverts de la graisse. Lorsqu'il demanda à Zeus de procéder à son choix, ce dernier choisit la part recouverte de graisse. Mais lorsqu'il s'aperçut de la supercherie et découvrit que la part réservée aux hommes comprenait la viande, il fut envahi par la colère et c'est alors qu'il confisqua aux hommes le feu, que Prométhée déroba par la suite.PandoreHéphaïstos, le forgeron, le dieu du feu, créa dans son atelier la première femme. Il s'agissait au départ d'une statue en fer. Mais elle était si belle que Zeus décida de lui donner vie. Chacun des dieux lui fit alors don d'un cadeau. Beauté, grâce, intelligence, dextérité, persuasion. Hermès lui insuffla toutefois la malice et le mensonge, tandis qu'Héra lui fit don de la curiosité qui ne lui laissa pas un instant de répit. Zeus offrit Pandore à Epiméthée, qui charmé par sa beauté en fit son épouse. Comme cadeau de noces ils reçurent un joli coffret orné de pierres précieuses et de décorations en or. Ce coffret était fermé à clé mais Zeus leur en avait remis la clé, tout en indiquant à Pandore que si ils souhaitaient vivre heureux ils ne devaient jamais l'ouvrir. Pendant quelques temps, Epiméthée et Pandore vécurent dans le bohneur et la tranquillité, jusqu'au jour où la curiosité introduite dans l'esprit de Pandore par Héra commença à la tourmenter et la poussa à ouvrir le coffret. Soudain tous les désastres et les malheurs des hommes s'en échappèrent. Les maladies, les peines et les souffrances et tous les autres maux. Toutefois, l'espoir qui sortit en dernier, tel un petit oiseau, était le message de consolation dédié à l'humanité.Deucalion et PyrrhaUne époque arriva où les hommes devinrent mauvais et où aucun de leurs actes n'étaient nobles ou justes. Zeus décida alors de les submerger par un cataclysme. Toutefois, pour assurer la survie du genre humain, il choisit Deucalion et Pyrrha qui étaient les seuls humains dotés de qualités. Pyrrha était la fille d'Epiméthée et de Pandore. Le cataclysme déversa de telles quantités d' eau durant neuf jours et neuf nuits, que toutes les cités disparurent. Lorsqu'il prit fin, Deucalion et Pyrrha qui rescapèrent sur une arche, procédèrent à des sacrifices afin de satisfaire le dieu. Puis, ils suivirent les conseils de Zeus pour créer une humanité nouvelle. Après avoir recouvert leurs visages, ils lancèrent des pierres derrière eux sans se retourner pour regarder. Les pierres lancées par Deucalion se transformèrent en hommes et celles lancées par Pyrrha, en femmes. Le couple engendra également ses propres enfants qui sont considérés comme ceux de Zeus: Hellèn, Amphictyon, Protogénia, Mélantho et Pandore. Hellèn, le fils aîné est considéré comme l'ancêtre des Grecs.
Les Titans
Gaia fut la grande protagoniste de la cosmogénie. Elle s'unit avec Ouranos (=Ciel) et ils formèrent ainsi le premier couple divin. De cette union naquirent les Titans:
Océan (l'aîné) etThétis qui engendrèrent les Fleuves et les Océanides.
Hypérion etThya, union dont naquirent Hélios, Séléné et Eos (Aurore). Coeos et Phoibê, qui mirent au monde Léto et Astéria.
Crios, qui prit pour épouse Eurybié (fille de Gaia et de Pontos), qui mit au monde Astraeos, Pallas et Perses.
Japet, qui s'unit avec l'Océanide Clyméné (fille de l'Océan et de Téthys) et engendra Atlas, Ménoetios, Prométhée, Epiméthée.
Et' enfin, Cronos et Rhéa, le Titan et la Titanide, dont l'union devait amener au monde ses futurs souverains. Ils engendrèrent Déméter, Hestia, Héra, Hadès, Poséidon et Zeus qui se partagèrent par la suite le pouvoir et dirigèrent le monde:
Zeus, le Ciel et la Mer, Poséidon, la mer et Hadès (Pluton), le monde inférieur (Enfers).
Au départ, Ouranos et Gaia étaient unis, mais ils se séparèrent par la suite. Après l'amputation d'Ouranos par son terrible enfant Cronos, Caia s'unit avec Pontos et de cette union naquirent Thaumas, Phorcys, Céto, Eurybié et Nérée. Thaumas épousa l'Océanide Electre qui mit au monde Iris et les terribles Harpyes (Aèllo, Ocypété, Célaeno). De l'union de Phorcys et Céto, naquirent les deux Grées qui étaient vieilles de naissance et les terribles Gorgones, Sthéno, Euryalè et Méduse. Nérée prit pour épouse l'Océanide Doris et engendra 50 filles, les Néréides.
HISTOIRE |
LA COURGETTE VERTE :
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Mieux connaître le chou de bruxellesComment choisir le chou de bruxelles ?
Pour bien sélectioinner vos choux de Bruxelles, veillez à ce qu’ils soient entiers, bien pommés, bien verts et sans feuille jaunie.
Le chou de Bruxelles est une plante herbacée bisannuelle qui émet une tige florale d'un mètre de haut environ la deuxième année. Les feuilles à long pétiole sont entières, de forme arrondie et légèrement dentelées, les fleurs, quant à elles, sont jaunes.
Les bourgeons à l'aisselle des feuilles forment de petites pommes qui sont récoltés en hiver.
Il en existe différentes variétés, parmi lesquelles on trouve le demi-nain, le précoce de Fontenay, le Lancelot, le nain de Lyon, etc.
Le chou de bruxelles en question
Histoire Suggestions d'utilisation
Après la construction de la seconde enceinte de Bruxelles au XIVe siècle, la culture maraîchère se développa dans l'actuelle commune de Saint-Gilles, extérieure à l'enceinte. Face à la démographie galopante de Bruxelles, les maraîchers ont dû chercher un moyen d'augmenter leur production.
Vers le milieu du XVIIe siècle les Saint-Gillois créèrent un nouvel hybride de chou qui se cultivait verticalement et occupait donc moins d'espace. Cette culture intensive et très rentable occupa rapidement de grands espaces, et valut aux Saint-Gillois le surnom de « Kuulkappers » (coupeurs de choux).
Le chou de bruxelles au quotidien
Les choux de Bruxelles se préparent ensuite de multiples façons :
- Vous pouvez les préparer au beurre, à la crème ou à la sauce blanche.
- Ils se cuisinent également en gratin ou en purée et s'accompagnement de viande et de gibier
- Braisés, ils se marient alors très bien avec des châtaignes et des lardons.
- Ils peuvent enfin être servis en salade.