Boissons, cocktails, etc... L'histoire de la vigne et du vin -

Publié à 15:00 par acoeuretacris
Boissons, cocktails, etc... L'histoire de la vigne et du vin -


La vigne est un intarissable réservoir d'imaginaire et de symboles. Elle exprime "sa participation au monde terrestre et son aspiration à l'univers céleste. Sa double appartenance" (1), explique que des hommes avaient choisi la vigne et son fruit pour représenter leur civilisation.

La transformation graduelle de la vigne sauvage en vigne cultivée s'est probablement réalisée à partir du septième millénaire avant l'ère chrétienne. Domestiquée par les peuples d'Asie occidentale (les Sumériens, les Babyloniens, les Assyriens, les Égyptiens, les Hébreux, les Phéniciens…) la culture de la vigne s'épanouit pleinement sur les rives de la mer Méditerranée, mère fondatrice de la civilisation du vin. Les Grecs, initiateurs de la viticulture en Europe méditerranéenne, sont relayés dans leur œuvre civilisatrice par les Romains : la Sicile et l'Italie du Sud d'abord, les régions méditerranéennes de la France et de l'Espagne ensuite, jusqu'aux rivages de l'Atlantique et l'intérieur du continent enfin.

Notre premier vignoble s'implanta à Massalia (aujourd'hui Marseille), apporté par ses fondateurs phocéens près de 600 ans avant JC. Mais c'est avec l'arrivée des Romains que la culture de la vigne connut une extension systématique à travers la Gaule. La Gaule romaine allait se couvrir de vignobles du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, faisant de la carte des vins, notre carte nationale d'identité. Ce développement viticole tous azimuts s'explique, d'une part, par la richesse que procure le vin ; d'autre part, par les difficultés du transport du vin (surtout terrestre), qui en freinent la circulation marchande.

La vigne se répand au Ier siècle dans la vallée du Rhône, apparaît au IIe siècle en Bourgogne et dans le Bordelais, pour atteindre la Vallée de la Loire au IIIe siècle, la Champagne et la vallée de la Moselle au IVe siècle, puis, Rome se christianisant, la vigne s'implantera jusqu'aux frontières septentrionales de l'empire (les limes).

Le christianisme a été le propagateur de la vigne et le propagandiste du vin en France. En 816 le Concile d'Aix-la-Chapelle encourage les viticultures épiscopales et monastiques. Le vin, indispensable au sacrement de l'Eucharistie, doit également être une monnaie d'échange, un élément de force économique et un moyen d'honorer les hôtes de marque (rois et grands féodaux). Jusqu'à la fin du Moyen Age, la viticulture ecclésiastique nourrira la puissance et la gloire de l'Église romaine. L'ancienne France monarchique a définitivement fixé l'entretien des vignobles comme culture traditionnelle.

Après la découverte officielle de l'Amérique le 12 octobre 1492 par le célèbre navigateur d'origine italienne Christophe Colomb, la civilisation européenne du vin part à la conquête d'un monde nouveau. Produits et appréciés en Amérique du Nord et du Sud, la vigne et le vin gagnent progressivement de nouveaux territoires : Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande, bordure nord-ouest du Pacifique...

La vigne couvre désormais près de huit millions d'hectares dans le monde. Actuellement, la superficie du vignoble français est en 2ème position (à égalité avec l'Italie) derrière l'Espagne. La France est le 1er producteur mondial de vin.

Depuis l'origine, la vigne et le vin ont marqué de leur empreinte la géographie et l'économie, l'archéologie et l'histoire, les mythologies et les religions, les arts et les traditions, le droit et la médecine, les paysages et les architectures, mais aussi les habitudes alimentaires et le commerce, la sociologie et la psychologie, contribuant, au fil du temps, à élaborer un type de société et un art de vivre.

Faut-il rappeler, en ce sens, le dieu Bacchus – ou son "frère aîné" Dionysos - représenté et chanté par d'innombrables artistes, dont Michel-Ange, ou bien les bas reliefs dans les mastabas égyptiens, ou encore les fresques pompéiennes reprenant le thème du vin civilisateur. De même en est-il des entrepôts de vin d'Ostie, des mentions bibliques du "sang du raisin" (La Genèse 49, 11) ou du "sang de la grappe" (Le Deutéronome 32, 14) et du rôle du vin dans la symbolique chrétienne, de l'œuvre des ordres monastiques au Moyen Age (Bénédictins et Cisterciens principalement), des auteurs gréco-latins (des vers d'Homère aux récits de Tacite en passant par la poésie bachique d'Horace) ; sans parler des grands peintres pour qui le vin a été une source d'inspiration (du Triomphe de Bacchus de Vélasquez aux Buveurs de Cézanne en passant par Le roi boit de Jordaens et Les noces de cana du Tintoret ou de Véronèse)... Tous ces exemples culturels ou artistiques sont autant de témoignages de l'importance du vin au cours de l'histoire des hommes.

Tout au long des siècles, le vin reste donc un élément de fête et de culture. Boire du vin, toujours avec modération, c'est aussi rafraîchir sa mémoire culturelle. Il est, selon Colette "l'honneur des mets" ou, selon Alexander Fleming "ce qui rend les hommes heureux" (la pénicilline ne faisant que "guérir les humains"). Un pays moderne se doit de lui conserver son prestige et d'encourager tous les efforts qui tendent à en améliorer la qualité. Le vin est et doit demeurer un produit de "distinction" (cf. Pierre Bourdieu) dans un pays comme la France qui lui a toujours reconnu une place de choix.

Car la France est le pays de référence de la civilisation du vin en même temps que la patrie de la gastronomie, laquelle culmine dans ses vins. Accompagnant le plaisir du gastronome, le vin de qualité ajoute à l'impression de fête. Boire du bon vin est un geste festif, convivial et raffiné, un acte civilisateur.

L'usage du vin par les Gaulois a permis à nos ancêtres de s'intégrer dans la civilisation du vin et par là-même de se distinguer culturellement des peuples de l'Europe du Nord buveurs de bière. Mais nulle part ailleurs, autant qu'en France, la liqueur de Bacchus n'a été élevée au rang de "boisson totem". Dans un essai intitulé Mythologies, Roland Barthes écrit en 1957 que : "le vin est senti par la nation française comme un bien qui lui est propre, au même titre que ses 360 espèces de fromages et sa culture".

Trente ans plus tard à la question : "Être Français, c'est selon vous d'abord... ?" , la réponse : "Aimer le bon vin" vient à la suite d'évidences comme "Être né en France" ou "Parler français". Autrement dit, le vin apparaît à nos compatriotes comme un élément constitutif de la "francitude" voire comme un mythe fondateur de la nation française. Le flacon de vin est aussi un "lieu de mémoire".


Grand merci à tous.... 4 000 visites

Publié à 11:25 par acoeuretacris
Grand merci à tous.... 4 000 visites
de votre présence...

4 000 bisous ...
4 000 merci....
pour 4000 visiteurs....

qui etes à ce jour
passés par ici....

et merci aussi à tous ceux qui viendront...

je vous souhaite à tous une excellente journée...

bisous à tous...





C'est arrivé un jour - Le 23 Juin --

Publié à 09:31 par acoeuretacris
C'est arrivé un jour - Le 23 Juin --
C'est le 23 Juin : Fête nationale du Luxembourg.

79 : Mort de l'empereur Vespasien
Petit-fils d'un centurion et fils d'un publicain, Titus Flavius Vespasianus, né en l'an 9 de notre ère, n'était pas destiné à devenir empereur. Il fit une carrière militaire et ce sont les légions d'Orient qui le proclamèrent alors qu'il dirigeait la guerre de Judée, en juillet 69. Il laissa alors le commandement militaire à son fils Titus et revint en Italie où il gagna vite l'admiration et la reconnaissance du peuple qui vit en lui les marques de la faveur divine. Restaurateur d'un ordre bienfaisant, Vespasien entreprit à Rome de grands travaux, reconstruisant le temple du Capitole et commençant l'édification du Colisée. Il affaiblit l'opposition de l'aristocratie en faisant entrer des provinciaux au Sénat et restaura les finances publiques. Son avarice est restée légendaire : l'empereur multiplia les taxes nouvelles dont la plus inattendue fut l'impôt sur l'urine (c'est-à-dire sur l'usage des latrines publiques). A l'extérieur, Vespasien, par l'intermédiaire de Titus, acheva le siège de Jérusalem (70), détruisit définitivement le Temple et ravala les Juifs au rang de dediticii ("ceux qui se sont rendus à merci") en réunissant leurs terres aux biens impériaux. Monarque absolutiste, Vespasien instaura le système de la succession hiérarchique en choisissant l'aîné de ses fils, Titus, pour successeur. Le 23 juin 79, sentant la mort approcher, il se leva, se fit habiller et déclara: "Un empereur de Rome doit mourir debout". Ce qui arriva

1173 : Révoltés contre leur père, Henri II d'Angleterre, Henri le Jeune, Richard et Geoffroy , aidés moralement par leur mère Eléonore d'Aquitaine, et aussi soutenus par Louis VII, roi de France, mettent le siège devant Verne

1532 : François 1er et Henri VIII d'Angleterre concluent une alliance secrète contre Charles-Quint.

1672 : Alliance entre le Saint-Empire romain germanique et le Brandebourg contre la France.

1722 : La reine Anne d'Angleterre met en demeure les Français de Nouvelle-Ecosse se prêter serment d'allégeance à son gouvernement dans un délai d'un an ou de partir.

1743 : Bataille de Bettingen
C'est la guerre de Succession d'Autriche. Les Anglais débarquent à Hanovre. George III, roi d'Angleterre, défait Adrien Maurice, comte d'Ayen, et troisième duc de Noailles.

1763 : Naissance de Joséphine Tascher de la Pagerie (morte en 1814), épouse en premières noces du général de Beauharnais, mort sur l'échafaud, et première femme de Napoléon
C'est aux Trois-Ilets, en Martinique, que naît Marie-Josèphe-Rose Tascher de la Pagerie. En 1789 -elle a vingt-six ans-, elle devient l'épouse du vicomte Alexandre de Beauharnais dont elle aura deux enfants: Eugène et Hortense. Alexandre meurt sur l'échafaud en 1794 et Marie-Josèphe, qui se fait appeler Joséphine, fréquente assidûment les milieux politiques de la capitale où elle se fait remarquer par son étrange beauté et son esprit. Par l'intermédiaire de Barras, elle rencontre un certain Bonaparte qui tombe amoureux fou et l'épouse, le 9 mars 1796. Joséphine aura une très grande influence sur Bonaparte et réussira à se faire couronner impératrice à ses côtés. Mais, ne réussissant pas à lui donner d'héritier, elle sera répudiée en 1809. "Exilée" à La Malmaison, Joséphine entretiendra une correspondance suivie avec Napoléon jusqu'à sa mort, en 1814.

1785 : Frédéric le Grand forme la Ligue des princes allemands.

1789 : Louis XVI proteste contre les décisions de l'Assemblée nationale.
C’est au cours d’une des sessions des Etats Généraux, que Mirabeau (Gabriel Honoré Riquetti, comte de Mirabeau) lancera au " Maître de Cérémonies du Roi " venu pour faire évacuer la salle cette superbe réplique : " Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n’en sortirons que par la force des baïonnettes " !

1848 : Emeutes à Paris après la suppression des ateliers nationaux: le général Cavaignac recoit les pleins pouvoirs.
Parce que les ateliers nationaux viennent d'être fermés définitivement, une insurrection ouvrière éclate. Le général Cavaignac la mate. 1 500 hommes sont fusillés sans jugement. 25 000 sont arrêtés. Ce que l'on appelle " la peur sociale " vient de commencer.

1853 : Le Baron Haussmann est nommé préfet de la Seine. Il transformera Paris.

1894 : Naissance du Duc de Windsor, ex-Edouard VIII d'Angleterre (mort en 1972).

1886 : Les familles Bonaparte et d'Orléans sont bannies du territoire français.

1894 : Clôture du premier Congrès Olympique International de l’ère Contemporaine.
Le but de celui-ci est bien sûr la remise sur pied des Jeux Olympiques Antiques. Pierre de Coubertin, le promoteur héroïque de ce Congrès l’a marqué de son empreinte. En 1896, le roi Georges de Grèce consacre la Renaissance des Jeux Olympiques en prononçant, à Athènes, dans le stade de marbre de Pentélique la formule appelée à devenir rituelle, " Je proclame l’ouverture des Jeux de la première olympiade des Temps Modernes ".

1910 : Naissance de l'écrivain Jean Anouilh.

1916 : Echec d'un assaut général allemand contre Verdun.

1935 : Mussolini rejette les concessions britanniques sur l'Abyssinie (Ethiopie).

1940 : L'armée allemande entre dans Paris.
Le 13 mai 1940, les chars allemands traversent la Meuse près de Sedan. L'avancée de l'ennemi provoque un exode massif des populations françaises sur les routes. Le 17 juin, depuis Bordeaux, le maréchal Pétain annonce la capitulation de l'armée française. Le 22 juin, à Rethondes est signée la convention d'armistice (à l'endroit exact où a été signée l'armistice de 1918). Le 23 juin, l'armée allemande victorieuse défile dans Paris. Deux millions de soldats français sont prisonniers en Allemagne

1940 : Retour au pouvoir de Pierre Laval, en tant que premier ministre du Maréchal Pétain, dans le nouvel ordre français.
Ce fils d’un petit cafetier d’Auvergne dut travailler pour payer ses études qui lui permirent, en 1907, de s’inscrire au barreau de Paris. Venu de l’extrême gauche, mais dépourvu d’idéalisme, il s’affranchit de tous les partis pour faire carrière grâce à des amitiés personnelles. Avocat, conseiller de nombreux syndicalistes, il est élu député en 1914 puis maire d’Aubervilliers en 1923, fonction qu’il conservera jusqu’à sa mort. Battu aux élections en 1919, il est réélu socialiste indépendant en 1924, puis on le retrouve ministre des Travaux publics sous Painlevé, de la Justice avec Briand, du Travail dans le second cabinet Tardieu (1930). Il est président du Conseil de janvier 1931 à février 1932. La crise économique gagne la France. De nouveau ministre du Travail avec Tardieu et des Colonies sous Doumergue, il succède à Barthou au ministère des Affaires étrangères et redevient président du Conseil en 1935. Face à Hitler, il veut assurer à la France l’alliance de l’Italie (janv. 1935) et celle de l’U.R.S.S. (mai 1935). Staline décrète alors le ralliement des communistes français à la politique de défense nationale. Laval a peut-être donné à Mussolini l’assurance de ne pas l’inquiéter dans l’affaire d’Éthiopie. Mais celle-ci fera tomber Laval en janvier 1936, alors qu’il s’était maintenu au pouvoir en dépit de sa politique monétaire de déflation et d’économies budgétaires, facteur de mécontentement dans l’opinion et surtout chez les fonctionnaires. Se prononçant contre la déclaration de guerre à l’Allemagne, il revient au premier plan après l’armistice. Le 23 juin 1940, ministre d’État, il fait intervenir le vote des pleins pouvoirs au maréchal Pétain, vote qui a lieu le 10 juillet à Vichy. Celui-ci le remerciera en le nommant à la Vice-Présidence du Conseil. L’année suivante il sera même premier ministre. En 1942, il cumule tous les ministères importants et devient le véroitable chef de l’état, au-dela même du Maréchal Pétain qu’il étouffe. Persuadé de la victoire de l’Allemagne, il provoque la rencontre de Montoire entre Pétain et Hitler, d’où sortira la politique de collaboration (24 oct. 1940). Le 13 décembre, renvoyé par le maréchal, il reviendra au pouvoir le 17 avril 1942. appelant qu’il n’a pas eu de responsabilité dans l’armistice, il obtient du maréchal la mission de changer les institutions et de gérer les relations avec l’occupant. Mais le maréchal et Laval s’entendent mal. Laval, en cumulant la direction du gouvernement, les Affaires étrangères, l’Information et l’Intérieur, est cette fois le véritable chef de l’État. Persuadé des difficultés de la collaboration, Laval s’engage dans une longue série de marchandages pour limiter les exigences de l’occupant. C’est la "relève" puis le Service du travail obligatoire. Mais, en même temps, son gouvernement prend des mesures de répression contre les juifs et contre les résistants. Les extrémistes de la collaboration attaquent aussi Laval. À Vichy même, son passé de "politicien", son style, ses intrigues lui attirent peu de sympathies Il est impopulaire auprès des Français. Laval n’est pas l’inventeur de la révolution nationale, mais il s’en sert à l’occasion. Dans l’histoire, le nom de Laval est lié à la politique de collaboration et à ses plus tragiques modalités. Les Alliés étant parvenus aux portes de Paris, Laval tente une ultime manœuvre politique en essayant d’obtenir d’Herriot, jusque-là en résidence surveillée, la réunion du Parlement. Les Allemands l’entraînent vers Belfort et Sigmaringen. Il s’y considère comme prisonnier. En mai 1945, il gagne l’Espagne par avion, mais est remis aux autorités françaises le 1er août. Son procès porte à leur comble les passions politiques et partisanes. La retenue qui s’était manifestée à l’égard de Pétain est balayée par la haine venue de toutes les tendances de l’opinion. Sa personnalité vénale, sa collaboration claire et nette, plus que zélée avec l’autorité allemande, son action vigoureuse contre les Juifs et surtout les Résistants français, en ont fait l’homme à haïr. Condamné à mort le 9 octobre, Laval s’empoisonne dans sa cellule ; il est découvert agonisant, soigné et porté en civière devant le peloton d’exécution.

1944 : Déclenchement de l'offensive d'été soviétique en Biélorussie.

1946 : Georges Bidault devient chef du gouvernement provisoire.

1952 : L'aviation américaine bombarde des centrales hydro-électriques en Corée du Nord.

1955 : Naissance du footballeur français Jean Tigana.

1956 : Vote de la loi-cadre Defferre sur l'outre-mer.

1956 : Le colonel Nasser est élu président de la République égyptienne.
Election à la présidence de la République Egyptienne du Colonel Gamal Abdel Nasser. Son ascension fulgurante l’a poussé aux plus hauts postes de l’état. Lors de la Révolution qui destitua l’ancien roi Farouk, les militaires que commandait ce jeune Colonel remirent le pouvoir aux mains du génaral Naguib. Celui-ci confia bien sûr des tâches importantes au héros de la Révolution. Il fut président du Conseil et ministre de l’Intérieur. Ce qu’il mit à profit pour asseoir son autorité et " ficher " tous ses adversaires. On retiendra de lui, en plus de la défaite dans la Guerre des 6 Jours, contre Israël, la construction du barrage d’Assouan, avec l’appui des Russes, après le refus américain, et la nationalisation du Canal de Suez qui détermine l’intervention des troupes franco-anglaises. Sa popularité en fera le leader charismatique incontesté du monde arabe.

1959 : Mort de Boris Vian à l'âge de 39 ans.

1968 : Début des élections législatives.

1969 : Début du gouvernement de Jacques Chaban-Delmas.

1969 : Un fût de 500 litres d’insecticide concentré, l’Endosulfan, tombe accidentellement dans le Rhin, près de Bingen, et pollue le fleuve sur plus de 600 Kms.
Plus de 20 millions de poissons périront dans cette catastrophe écologique. Si, depuis lors, des mesures ont été prises au niveau international (Suisse, Allemagne, Hollande), les moyens mis en œuvre pour les faire respecter sont tellement faibles que cette grande voie navigable n’est guère recommandable, ni pour les bains, ni pour les activités nautiques ! ! !

1970 : Heurts entre la police et des étudiants à Tokyo, au cours de manifestations contre le pacte américano-japonais de sécurité.

1971 : Accord sur l'entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché commun.

1972 : Naissance du footballeur français Zinedine Zidane.

1981 : Formation, en France, d'un gouvernement socialiste dirigé par Pierre Mauroy, qui compte quatre ministres communistes.

1983 : Première course de tractosaures en france à Amboise.

1983 : Fin du premier voyage du Pape Polonais Jean-Paul II en Pologne.
En 1982, coexistent en Pologne quatre forces inhabituelles dans un système socialiste : le parti, l’armée, l’Église catholique et les travailleurs attachés à l’idéal et souvent aux structures de Solidarité. Les nouveaux syndicats officiels, créés à la fin de 1.982 après la liquidation formelle de Solidarité (le 8 oct.), n’ont réussi à regrouper jusqu’en juillet 1.983 que 2.500 adhérents. D’ailleurs, le parti a été abandonné par presque un million de ses adhérents. L’état de guerre a abouti au départ de 244 juges (dont 28 ont été renvoyés par le Conseil d’État) sur 3.400 magistrats. En 1982, la procédure sommaire propre à l’état de guerre a été appliquée dans 3.700 cas.L’année 1.983 est marquée par la suspension de l’état de guerre et par quelques progrès dans la normalisation du pays qui, cependant, reste bouleversé, déprimé, sympathisant avec les structures clandestines de Solidarité et refusant dans son immense majorité son soutien au régime militaire. Au lieu de servir à stabiliser le pays, le prestige de l’armée est sorti réduit de cette épreuve, selon des sondages officiels gardés toutefois secrets. La visite de Jean-Paul II en Pologne du 16 au 23 juin 1.983 confirme le soutien moral et spirituel du Saint Père aux justes revendications humaines et sociales des Polonais. Le pape redonne courage à la population, et en même temps il met en garde le pouvoir en place qui se trouve, pour la troisième année consécutive, soumis à la pression des dirigeants soviétiques, est-allemands et tchécoslovaques, d’une part, et à une pression populaire, d’autre part. Ainsi, la force du verbe se révèle aussi puissante que celle de l’énorme appareil policier et militaire d’une puissance mondiale exigeant du gouvernement polonais qu’il fasse " revenir en arrière le cours des événements ". Après l’indescriptible succès du voyage papal en Pologne, l’état de guerre est levé par la Diète, sur proposition du général Jaruzelski, chef de l’état, le 22 juillet 1.983. Encore une période qui est close par une conclusion évidente pour beaucoup : on ne peut pas gouverner le pays réel contre la société, tant le pouvoir que la nation en sont conscients.

1985 : Un avion d'Air India explose au-dessus de l'Atlantique nord, au large de l'Irlande: les 329 personnes qui étaient à bord sont tuées et l'on soupçonne un sabotage.

1986 : Mme Barzach, ministre de la santé et de la famille, annonce que la publicité pour les préservatifs va être autorisée.

1987 : Deux pétroliers entrent en collision sur la Seine : huit morts.

1987 : Mme Corazon Aquino, présidente philippine, lance un appel à une "guerre populaire" contre les extrêmistes de droite et de gauche.

1988 : Laurent Fabius est élu président de l'Assemblée nationale.

1990 : L'hoverspeed "Great Britain", le plus grand catamaran du monde (74m), bat le record de traversée de l'Atlantique en trois jours, sept heures et 45 minutes.

1991 : Le prince Sihanouk annonce un cessez-le-feu au Cambodge.

1993 : Au Québec la loi autorise l'anglais dans l'affichage commercial.

1995 : Décès du Dr Jonas Salk, 80 ans, découvreur du premier vaccin contre la polio en 1955, biologiste américain, né .

1996 : Décès d'Andréas Papandréou, 77 ans, ancien Premier ministre grec et Fondateur et président du Parti socialiste grec PASOK.

1997 : Décès de Betty Shabazz, 61 ans, veuve de Malcom X.

1998 : Lors d'une inspection de routine, des inspecteurs de la Commission spéciale de l'ONU en Irak (UNSCOM) découvrent des traces du gaz neurotoxique meurtrier VX sur des têtes de missiles irakiens.

1998 : Décès d'Erik Mortensen, 72 ans, couturier danois qui travailla pour les maisons Pierre Balmain et Jean-Louis Scherrer (23 juin)

1999 : L'Office fédéral suisse de la police (OFP) ordonne le gel des avoirs du président yougoslave Slobodan Milosevic, inculpé par le Tribunal pénal international (TPI) de La Haye.
1999 : La Cour de cassation rejete le pourvoi formé par le terroriste Illitch Ramirez Sanchez, dit Carlos, contre sa condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre de deux policiers et d'un informateurs libanais, rue Toullier à Paris, en 1975.

1999 : Sortie en France du film "Matrix".


bonjour, bon mardi !!!!

Publié à 09:04 par acoeuretacris

bonne journée....

Publié à 09:04 par acoeuretacris

bisous à vous tous...

Publié à 09:03 par acoeuretacris

bonne fin d'après midi à tous....

Publié à 18:19 par acoeuretacris

à demain....

Publié à 18:19 par acoeuretacris

Mythologie - Les Monstres - Typhon -

Publié à 10:21 par acoeuretacris
Mythologie - Les Monstres - Typhon -
Il était mi homme mi fauve. Il était ailé et ses yeux lançaient des flammes. Sa tête touchait aux étoiles, ses bras étendus touchaient l'Orient et l'Occident, et au bout de ces bras il avait cent têtes de dragons.

Le bas de son corps était entouré de vipères. Typhon fut élevé à Delphes par le serpent Python. Il attaqua les Olympiens qui s'enfuirent tous sauf Athéna et Zeus. Un combat eut lieu : Typhon réussit à couper les muscles et les tendons de Zeus qu'il enferma dans une peau d'ours et le réduit ainsi à l'impuissance. Hermès et Pan les récupérèrent cependant, et Zeus emprisonna Typhon sous une montagne.

On attribue à Typhon et à Echidna une descendance de plusieurs monstres comme le chien Orthros, L'Hydre de Lerne et Chimère.


Mythologie - Les Monstres - Le Sphinx -

Publié à 10:15 par acoeuretacris
Mythologie - Les Monstres - Le Sphinx -
Le shinx est un monstre au visage et buste de femme, au corps de lion et aux ailes d'oiseau. Accroupi sur un rocher, il accostait les voyageurs qui voulaient entrer dans Thèbes en leur posant une énigme, «!Qui a quatre pattes le matin, deux à midi et trois le soir!?!». S'ils ne trouvaient pas la réponse, il les dévorait. Quand le héros Odipe eut répondu : «!C'est l'homme qui marche à quatre pattes quand il est enfant, marche debout quand il est adulte et a besoin d'une canne dans sa vieillesse!», le Sphinx se suicida. Pour l'avoir débarrassé du monstre, les Thébains firent d'Odipe leur roi.

Dans l'ancienne Égypte, les sphinx étaient des statues représentant le roi ou le dieu Soleil, sous l'aspect d'un lion à tête de pharaon. La plus fameuse de ces figures est le grand Sphinx de Gizeh, près de la pyramide de Khéphren. Datant d'avant 2500 av. J.-C., celui-ci mesure environ 20 mètres de haut et 53 mètres de long.


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