les sauces - la sauce pour fondue au chocolat -

Publié à 14:31 par acoeuretacris
les sauces - la sauce pour fondue au chocolat -
Ingrédients de la recette de la sauce pour fondue au chocolat

500 gr de chocolat noir
50 cl de crème fraîche
1 petit verre à liqueur de Grand-Marnier ou de cointreau (facultatif)

Préparation de la recette de la sauce pour fondue au chocolat

Dans un caquelon à fondue, faites fondre le chocolat avec la crème fraîche lentement et mélanger.
Ajoutez le verre de liqueur (facultatif).
Surveillez bien la température pour ne pas cuire le chocolat.

Les sauces - la sauce au chocolat amer -

Publié à 14:27 par acoeuretacris
Les sauces - la sauce au chocolat amer -
Ingrédients de la recette de la sauce au chocolat amer

200 gr de chocolat noir amer
100 gr de sucre
50 gr de beurre demi-sel
1 paquet de sucre vanillé
1 c. à s. de crème fraîche

Préparation de la recette de la sauce au chocolat amer

Coupez le chocolat en petit morceau.
Faites-le dans une casserole au bain-marie lentement en mélangeant
Lorsque le chocolat est entièrement fondu, ajoutez, le sucre, la crème, le sucre vanillé et mélangez le tout énergiquement.

Les sauces - la sauce au chocolat au lait -

Publié à 14:25 par acoeuretacris
Les sauces - la sauce au chocolat au lait -
Ingrédients de la recette de la sauce au chocolat au lait

250 gr de chocolat au lait
2 dl de lait
50 gr de beurre demi-sel
30 gr de sucre
2c. à c. de cacao amer

Préparation de la recette de la sauce au chocolat au lait

Cassez le chocolat en petits morceaux.
Faites fondre lentement le chocolat dans le lait au bain-marie avec le sucre en tournant avec une cuillère en bois.
Dés que le chocolat est fondu, ajoutez le cacao amer dilué dans un peu d’eau et amenez à ébullition en mélangeant.

Enlevez la casserole du feu et ajoutez le beurre en remuant jusqu’à ce qu’il soit fondu.

C'est arrivé un jour - le 18 juin -

Publié à 11:16 par acoeuretacris
C'est arrivé un jour - le 18 juin -
C'est le 18 Juin : Fête nationale des Seychelles.

1155 : Couronnement par le Pape Adrien IV de l’Empereur Frédéric Ier Barberousse, empereur Romain de la Germanie.
Il le restera jusqu’à sa mort tragique en 1190. Il périt noyé dans le Cydnos, petit cours d’eau de Cilicie (Province du Sud-est de l’Asie-Mineure, près des monts Taurus), lors de la 3° Croisade.

1294 : Les juifs de Paris parqués
Un arrêt du Roi de France, Philippe le Bel, enjoint de " réunir " tous les Juifs de Paris dans un seul quartier bien séparé de la Ville et ceci " ad scandala evitanda " (afin d’éviter tout scandale !). Et afin que les Chrétiens évitent les rapports (y compris les rapports sexuels interdits), même involontaires avec les " infidèles ", l’on reprend un article du Concile de Latran (1215) : Sarrasins (Musulmans) et Juifs revêtiront un habit particuliers qui les désignent clairement à leurs contemporains ! L’histoire est un éternel recommencement et les nazis n’ont rien inventé. Ils ont simplement systématisé.

1537 : Paix de Nice
Ce jour celle-ci est signée entre Charles Quint et François Ier. Elle conclut une trêve de dix ans et sera suivie par le traité d'Aigues-Mortes qui garde la Savoie au roi de France et donne le Milanais à l'empereur.

1547 : Naissance de l'écrivain espagnol Cervantès (mort en 1616)

1757 : Les forces du Saint-Empire battent à Kolin (Bohême) le roi de Prusse Frédérick, qui perd 13 000 de ses 33 000 hommes.

1779 : L'île de Saint-Vincent, aux Antilles, est occupée par la France.

1583 : Premier contrat d'assurance-vie
Dès la première moitié du XVème siècle étaient conclus des contrats d’assurance sur la vie de l’épouse ou des parents, ou même de tiers, garantissant le " contractant " à l’égard des pertes éventuelles que le décès de l’un ou des autres aurait pu entraîner. L’on a conservé une police délivrée le 18 juin 1583 à la Bourse de Londres par seize marchands qui appartenaient à la Chambre des assurances, créée quelques années auparavant ; il s’agissait d’une assurance " temporaire ", souscrite pour une durée d’une année au taux de 8 % par un Londonien. Ces premières formes d’assurance se distinguaient toutefois assez mal des paris sur la mort ou la survie des hommes illustres comme le pape, les rois ou les empereurs, qui étaient alors de pratique courante. Aussi les grandes lois sur l’assurance, comme l’Ordonnance de Barcelone ou l’Ordonnance de Colbert de 1681, interdisent-elles l’assurance sur la vie en considération de son caractère de " spéculation sur la vie humaine ", et parce qu’elle attribue à cette vie humaine un prix. Il faudra dès lors attendre le XVIIIème siècle et l’explosion des sociétés à capital (lors du développement du machinisme) et de la Révolution Industrielle qui s’ensuivit, pour que se développent les assurances et qu’elles acquièrent un caractère légal, en Angleterre d’abord, en France ensuite.

1799 : Coup d'État du 30 Prairial.
Le Directoire n'ayant pas répondu à la demande d'explication à propos de la situation militaire que le corps législatif, le Conseil des anciens et les Cinq-Cents lui ont faite. Sommé une nouvelle fois de répondre, le celui-ci se contente d'une réponse dilatoire. A l'instigation de Sieyès, les directeurs modérés que sont Merlin de Douai et La Révellière-Lépeaux sont cassés et remplacés par Roger Ducos et le général Moulin. Les républicains l'emportent. C'est un coup d'état en douceur

1812 : Les Etats-Unis déclarent la guerre à l'Angleterre.
Deuxième guerre d'indépendance des USA L’Angleterre tente d’imposer le blocus à la France. Ce que refusent les Américains. De plus, ayant perdu leur Marché Français, les Anglais tentèrent de reconquérir le Marché Américain. Ils imposèrent des quotas aux exportations et importations américaines. Les nouveaux E.U. refusèrent. La guerre éclata le 18 Juin 1812. L’Angleterre, occupée dans sa guerre contre l’Empire (Napoléon en France) ne sut créer une flotte et une armée suffisamment importante. Le Traité de Gand en décembre 1814 consacra cette victoire américaine.

1815 : L'armée napoléonienne est vaincue à Waterloo par les armées prussienne et anglaise de Blucher et Wellington.
100 Jours plus tôt, le 1er Mars, Napoléon a quitté l’île d’Elbe où il se trouvait en " résidence surveillée " en quelque sorte. Il débarque au Golfe Juan et entame une marche triomphale sur Paris pour reprendre le pouvoir. Les Français sont déçus de la restauration du Pouvoir Royal et de la fiscalité dévorante du nouveau Régime (Première Restauration : Louis XVIII). Ils acclament l’Empereur. Mais les Coalisés n’entendent pas laisser Bonaparte reprendre son pouvoir et ses guerres contre l’Europe. De retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte, à la tête de son armée, une coalition allée commandée par Wellington aux abords d'un petit village de Belgique Le matin, Napoléon ne doute pas de la victoire. " Nous avons quatre-vingt-dix chances pour nous. Je vous dis que Wellington est un mauvais général, que les Anglais sont de mauvaises troupes, et que ce sera l'affaire d'un déjeuner. " Il tombe des trombes d'eau. L'empereur ne donne le signal du combat qu'en fin de matinée. Les charges de Ney arrivent trop tôt et sont désordonnées. Les troupes de Grouchy tardent. Blücher, en revanche, arrive. Dans le jour qui tombe, on confond la débandade de quelques troupes de la Garde avec celles de la Vieille Garde. Les cris " Tout est perdu ! La Garde est repoussée ! " se font entendre. C'est le sauve qui peut. Le lendemain, Napoléon confie : " J'avais en moi l'instinct d'une issue malheureuse. " Cependant, il écrit au roi Joseph : " Tout n'est point perdu. " C’est la fin de l’Empire et le début d’une nouvelle restauration de la Monarchie.

1823 : A la suite de soulèvements contre son régime et la perte du Brésil, le roi Jean VI du Portugal abroge la Constitution de 1822.

1881 : L'Allemagne, l'Autriche et la Russie signent une alliance secrète dite des "Trois empereurs".

1920 : Naissance en Pologne de Karol Wojtyla futur archevêque de Cracovie et pape à partir du 16 octobre 1978.

1928: Disparition de l’hydravion Latham-47.
A son bord, le célèbre Amundsen. Il recherche les survivants de la catastrophe du dirigeable " Italia " (qui veut ouvrir la première liaison au-dessus du Pôle Nord). L’expédition se perd " corps et biens " dans la Mer de Barrentz.

1936 : En France, les ligues d'extrêmes droite sont dissoutes.

1936 : Mort à Rome du compositeur italien O. Respighi.

1940 : En Wallonie, en pleine guerre, création d’un mouvement clandestin : " Wallonie Libre ".
Il rassemble des personnalités militantes libérales et socialistes. Leur but à long terme : l’autonomie culturelle et politique de la Wallonie.

1940 : Les forces allemandes occupent Cherbourg.

1940 : Le général de Gaulle lance, depuis Londres, un appel à la résistance du peuple français
"Moi, général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique (...), les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement (...), à se mettre en rapport avec moi. Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas!". Arrivé de Bordeaux la veille, le général de Gaulle vient de lire, au micro de la BBC à Londres, ce 18 juin 1940, le texte d'un appel à la révolte contre le gouvernement de l'armistice formé par le maréchal Pétain deux jours plus tôt. Peu de Français entendront effectivement cet appel. Des millions d'entre eux sont sur les routes de l'exode et ne connaissent que l'autre appel, celui du maréchal Pétain qui a déclaré qu'il fallait cesser le combat. Mais de nombreux journaux de province donnent, le 19, tout ou partie du texte du général de Gaulle appelant à la résistance. Pour les milliers de soldats français rescapés de Narvick et de Dunkerque, pour les équipages qui ont rallié les ports britanniques, l'heure du choix a sonné entre l'acceptation de la défaite et la continuation du combat, entre un prestigieux maréchal de France et un officier presque inconnu, général de brigade à titre temporaire depuis le 14 mai... Le 30 juin, de Gaulle reçoit l'ordre de se constituer prisonnier à Toulouse pour y être jugé par un conseil de guerre, qui lui infligera la peine de mort par contumace. Il organise progressivement les Forces françaises libres et coordonne l'action de la Résistance. Ses efforts aboutissent à la création du Conseil national de la Résistance à l'instigation de Jean Moulin. De Gaulle rentre à Paris libéré en août 1944 et s'impose comme chef politique incontesté. Il rétablit l'autorité du pouvoir central, dissout les milices patriotiques et reconstitue l'armée française qui participe aux combats de la libération aux côtés des forces anglo-américaines. "L'homme du destin" est entré dans l'Histoire... Quatre années après, son appel aura son aboutissement dans la libération de la France.

1942 : Naissance du chanteur britannique Paul McCartney (ex. membre des Beatles).

1944 : Les Japonais s'emparent de Tchang-Cha (Chine du Sud).

1944 : Attaque et réduction du maquis de Saint-Marcel (Morbihan).

1946 : Chute de la monarchie en Italie.

1947 : Naissance de l'acteur français Bernard Giraudeau.

1953 : L'Egypte devient une République et le général Néguib est élu président.

1953 : La Corée du Sud libère 26 000 prisonniers nord-coréens non-communistes.

1961 : Les trois princes rivaux laotiens se réunissent à Zurich et conviennent de former un gouvernement de coalition.

1965 : Le vice-maréchal de l'air Nguyen Cao Ky devient chef du gouvernement de Saïgon et annonce son intention d'intensifier la guerre contre le Vietcong.

1972 : C’est ce 18 Juin, que les fameux " plombiers " cambriolèrent les Bureaux du Parti Démocrate à Washington.
Ce building était appelé le " Watergate " (d’où le terme de " plombiers ") ce qui créera l’affaire du " Watergate " ; laquelle aboutira, deux ans plus tard, à la démission du président Nixon.

1975 : L'assassin du roi Faycal d'Arabie Saoudite est décapité en place publique, à Riyad.

1976 : En Afrique du Sud, à Soweto, la révolte des Noirs est réprimée dans le sang.

1979 : Jimmy Carter et Léonid Brejnev signent à Vienne le traité de limitation des armements nucléaires stratégiques SALT-2.

1983 : Sally Ride, qui fait partie, avec quatre hommes, de l'équipage de la navette spatiale "Challenger", devient la première américaine de l'espace.

1985 : La navette américaine "Discovery", à bord de laquelle se trouve un prince saoudien, dépose sur orbite un satellite destiné au monde arabe.

1986 : Deux cent quarante-cinq guérilleros du "Sentier Lumineux" sont tués au cours d'une répression de mutineries dans trois établissements pénitentiaires au Pérou.

1987 : Le Parlement européen reconnaît le génocide arménien. Israël élève une protestation contre la décision du pape Jean Paul II de recevoir le président autrichien Kurt Waldheim.

1989 : CEE: progression des socialistes, des écologistes qui doublent leurs sièges et de l'extrême droite aux élections européennes marquées par un taux élevé d'abstentions: 50,38%.

1992 : Référendum: les Irlandais disent oui à Maastricht.

1993 : L'Assemblée nationale adopte le projet de loi Pasqua sur l'immigration apportant des modifications sur les "conditions d'entrée et de séjour" des étrangers en France telles que prévues par l'ordonnance du 2 novembre 1945.

1994 : Le président de la Ligue algérienne des droits de l'Homme, Me Youcef Fathallah, est assassiné à Alger.

1995 : Les Serbes de Bosnie libèrent les 26 derniers soldats de l'ONU peu après la libération de quatre soldats serbes qui étaient retenus depuis le 27 mai par la FORPRONU. Le Premier ministre russe Viktor Tchernomyrdine annonce l'arrêt des opérations militaires en Tchétchénie.

1998 : Les forces loyales au président guinéen Vieira lancent une nouvelle offensive contre les soldats mutins dans la capitale, Bissau. Le gouvernement travailliste de Tony Blair annnonce l'instauration d'un salaire minimum en Grande-Bretagne.

Les Favorites Royales - Liste des maîtresses d'Henri IV le Vert-Galant

Publié à 09:30 par acoeuretacris
Henri IV ne fut appelé 'le vert-galant" sans raison : on lui attribu au moins plus d'une cinquantaine de conquêtes féminines. Certaines sont devenues favorites en titre, d'autres sont restées dans l'ombre car elles n'ont paratagé le lit du souverain qu'une seule fois.

1. Fleurette de Nérac vers 1571-1572, fille d’un jardinier de Nérac

2. Charlotte de Sauve en 1572, fille d’honneur de Catherine de Médicis

3. Bretine de Duras vers 1573-1574, fille cadette d’un meunier

4. « La Belle Rouet » en 1575, fille d’honneur de la reine Margot

5. Louise Borré vers 1576 qui lui donnera un fils, Hervé (1576-1643)

6. Jeanne Monceau de Tignoville de 1577 à 1578 que le roi maria avec François de Pardaillan, baron de Panjas, pour qu’elle cède à ses avances.

7. Victoire d’Alaya en 1578, fille d’honneur de Catherine de Médicis

8. Dayelle vers 1579, fille d’honneur de la reine Margot, venant d’Orient

9. Mlle Rebours en 1579, fille d’honneur de la reine Margot

10. Mlle de Montagu en 1579

11. Mme d’Allous en 1579

12. Aimée Le Grand en 1579

13. « la garce de Goliath » en 1579

14. Catherine de Luc en 1579, fille d’un médecin d’Argen. Elle se laissa mourir de faim lorsqu’Henri IV la délaissa, lui ayant fait un enfant.

15. Arnaudine en 1579, servante de Catherine de Luc

16. Anne de Cambefort, en 1579. Elle se suicida en se jetant par une fenêtre après le départ d’Henri IV.

17. Anne de Balzac de Montaigu vers 1579

18. Françoise de Montmorency-Fosseux de 1579 à 1581, fille d’honneur de la reine Margot. Elle eut une fille mort-née du roi en 1581

19. Anne de Petonville vers 1580

20. Les soeurs jumelles de l’Epsée vers 1580

21. Mme de Sponde en 1580, apothicaire

22. Mlle Maroquin en 1580

23. Xainte vers 1580, soubrette de la reine Margot

24. Diane d’Andouins de 1583 à 1589

25. Esther Imber (ou Ysambert), rochelaise, de 1587 à 1588. Elle meurt dans la misère à Saint-Denis en 1592. Elle eut deux fils d’Henri IV

26. Martine, rochelaise, en 1587. Elle eut un enfant d’Henri IV.

27. Bretoline en 1589

28. Madame de Foulebon en 1589, chaletaine

29. Antoinette de Pons, marquise de Guercheville en 1590

30. Marie Catherine de Beauvilliers, abbesse de l’abbaye de Montmartre en 1590

31. Catherine de Verdun, supérieure de l’abbaye de Longchamp en 1590. Elle recevra le prieuré de Saint-Louis de Vernon

32. Gabrielle d’Estrées de 1591 à 1599

33. Louise de Budos vers 1595-1596 duchesse de Montmorency

34. Mme Quelin, épouse d’un conseillé au Parlement en 1598

35. Isabelle Potier, femme du président de Boinville de 1598 à 1599

36. Mlle Clein en 1599

37. « La Glandée » fille de joie en 1599

38. Henriette-Catherine de Balzac d’Entragues de 1599 à1609

39. Marie-Françoise de La Bourdaisière, sœur de Gabrielle d’Estrées en 1599

40. Jacqueline de Bueil de 1604 à1607 dont un fils, Antoine de Bourbon (1607-1632)

41. Charlotte des Essarts de 1607 à 1609 dont deux filles : Jeanne-Baptiste (1608-1670) et Marie-Henriette (1609-1629)

42. Marie-Charlotte de Balzac d’Entragues entre 1605 et 1609

43. Charlotte-Marguerite de Montmorency de 1609 à 1610 princesse de Condé

Les Favorites Royales - Les soeurs Nesle, favorites de Louis XV -

Publié à 09:15 par acoeuretacris
Les Favorites Royales - Les soeurs Nesle, favorites de Louis XV -
Louis-Julie

Louise de Mailly :

Aînée des cinq filles de Louis III de Nesle, Louise-Julie née le 16 mars 1710, la même année que Louis XV. Elle n’a que seize ans lorsqu’elle épouse en 1726 Louis-Alexandre, comte de Mailly. Grâce à sa haute naissance, Louise entre dès l’âge de dix-neuf ans au service de la reine Marie Leszczynska comme dame d’honneur. La jeune femme fut délivrée de son époux qui n’appréciait pas la cour et demeurait sur ses terres. Le roi la remarque dès 1732 mais ne fait rien car il est encore très épris de son épouse. Pourtant, les grossesses à répétition de la reine commencent à lasser Louis. Ainsi, et avec la complicité du Cardinal de Fleury, Louise entreprend une relation avec le roi pour le sortir de son ennui. Leur liaison restera secrète jusqu’en 1737 et les deux amants utiliseront des portes et couloirs dérobés pour se voir. Mais en 1738, Marie Leszczynska ferme définitivement la porte de sa chambre au roi pour raison de santé. Louis s’affiche alors publiquement et sans scrupules avec la comtesse de Mailly. Louise fut certainement celle qui, parmi les sœurs Nesle, aima le roi d’un amour totalement désintéressé. Celui-ci d’ailleurs, ne lui donnait presque rien puisqu’elle ne le demandait pas. Même la pension qu’il lui versait était bien maigre et Louise portait parfois des robes trouées et usées. Louise, dans sa grande bonté (et naïveté) introduit bientôt à Versailles sa sœur Pauline qui vient de finir son éducation au couvent. Pauline est aussi vive, insolente et charmante que sa sœur aînée est réservée, timide et sans grande beauté. Il apparaît bien vite que Louise ne sert plus que de paravent aux amours du roi et de sa sœur. Mais en 1741, Pauline décède brusquement et Louis retourne auprès de la comtesse de Mailly. Et une fois de plus, Louise fait entrer à la cour l’une de ses sœurs, la plus jeune, Marie-Anne. Louis XV mettra alors définitivement un terme à sa relation avec Louise. Celle-ci quitte alors Versailles en 1742 pour Paris où, honteuse, elle porte désormais un cilice. Louise de Mailly meurt le 30 novembre 1751 à quarante et un ans.

Pauline de Vintimille :

Seconde fille de Louis III de Nesle, Pauline-Félicité née en 1712 et passe sa jeunesse au couvent de Port Royal. Dotée de beaucoup d’esprit, elle a très vite envie de rejoindre sa sœur aînée à la cour lorsqu’elle apprend sa situation de favorite. Après lui avoir longuement écrit son désir de la rejoindre à Versailles, Pauline rencontre Louis XV en 1739. La sœur cadette de Louise a le don d’amuser le roi qui commence à s’ennuyer de la comtesse de Mailly. Louis tombe alors fou amoureux de la jeune femme mais se refuse d’en faire sa maîtresse tant que celle-ci n’est pas mariée. En septembre 1739, Pauline épouse Félix, comte de Vintimille à qui le roi verse une somme d’argent considérable pour qu’il se retire bien loin de sa nouvelle épouse (le mariage ne fut jamais consommé). Bien vite, il apparaît que la comtesse de Vintimille est enceinte du monarque au grand regret de la reine. Alors qu’elle arrive au terme de sa grossesse, Pauline est soudain victime de fortes fièvres et l’on craint pour sa santé ainsi que pour la vie de l’enfant qu’elle porte. Elle accouche le 3 septembre 1741 d’un fils nommé Charles-Emmanuel et titré comte de Vintimille (qui décède en 1814). Beaucoup le surnommèrent « le demi-Louis » en raison de sa grande ressemblance avec son père le roi. L’enfant survit donc mais la mère est de plus en plus faible. Pauline de Vintimille rend l’âme le 9 septembre dans d’atroces souffrances. Elle fut certainement le plus grand amour du roi, qui, resta cloîtré dans sa chambre durant trois jours après la mort de Pauline (Louis va même jusqu’à faire faire un moulage du visage de sa bien aimée). Et bien que des rumeurs d’empoisonnements coururent, on pense aujourd’hui que la comtesse de Vintimille mourut des suites de l’accouchement.

Diane et Hortense de Nesle :

Diane-Adélaïde, née en 1714, est la troisième sœur de la grande famille Nesle. Très intelligente, Diane est mariée très vite au duc de Lauraguais. Après la mort de la comtesse de Vintimille en septembre 1741, le roi demanda sa venue à la cour pour en faire sa maîtresse. Certains disaient alors de lui à l’époque : « choisir une famille entière, est-ce être infidèle ou constant ? » A la fin de l’année 1741, la duchesse de Lauraguais arrive à Versailles alors que Louis XV s’est remis avec sa sœur aînée Louise. Mais dés le début de l’année 1742, elle doit fuir la cour précipitamment car on prétend alors que Louis XV a déclaré coucher entre les deux sœurs. Diane fut renvoyée pour éviter le scandale. Elle meurt en 1769.

Hortense-Félicité, née en 1715 évita le lit du roi bien que ce dernier voulu la faire venir à Versailles après le départ de Diane. Mais Louis XV se heurta à l’époux d’Hortense, le marquis de Flavacourt. Celui-ci, fort amoureux de sa femme et donc très jaloux, menaça cette dernière de la tuer si elle devenait « putain comme ses sœurs ». La duchesse de Flavacourt fut ainsi la seule des cinq sœurs à ne pas recevoir la faveur du roi.

Marie-Anne de Châteauroux :

Dernière des cinq sœurs Nesle, Marie-Anne née en 1717. Elle fut très affectée par le décès de sa mère en 1729 elle fut alors confiée à une tante avec sa sœur Hortense. Marie-Anne épouse en 1734 le marquis de la Tourenne alors qu’elle vient d’avoir dix-sept ans. Mais en 1740, son époux meurt lui laissant une grande fortune en héritage. Bientôt, la marquise se tourne vers sa sœur aînée Louise qui vit à la cour. Celle-ci la fait entrer au service de la reine en 1742. La jeune femme, d’une très grande beauté, se fait bien vite remarquer par Louis XV mais affirme ne pas chercher à devenir sa maîtresse. Pourtant, lorsque le roi la courtise en novembre 1742, Marie-Anne accepte de devenir sa favorite si il consent à renvoyer Louise de Mailly et à la faire duchesse. Louis XV cède et la sœur aînée est renvoyée en décembre. Marie-Anne est titrée duchesse de Châteauroux. Le roi cède à tous les caprices de sa maîtresse et celle-ci devient vite impopulaire. En août 1744, le roi tombe malade. Autour de lui, les membres du clergé lui demandent de renvoyer la duchesse de Châteauroux, sans quoi, l’accès au paradis lui serra bloqué. La favorite est huée par la foule et mise de côté. Mais le roi ne meurt pas et malgré sa promesse à la reine de ne plus jamais lui être infidèle, il rappelle Marie-Anne en novembre. Après de folles retrouvailles, la duchesse meurt subitement deux semaines plus tard. Certains pensèrent au poison, ce qui ne fut jamais vérifié. Avec la mort de Marie-Anne de Châteauroux s’achève le règne de la famille Nesle sur le roi Louis XV. Leur père qui ne lamentait de ne pas avoir eut de fils a quand même laissé son nom dans l’histoire.

Louis XV aura après ces quatre sœurs, encore deux maîtresses, neuf aventures et dix enfants illégitimes !!!! Choisir ses maîtresses dans une même famille, est-ce être fidèle ou inconstant ?

Les Favorites Royales - Les premiers amours de Louis XIV -

Publié à 09:10 par acoeuretacris
Les Favorites Royales - Les premiers amours de Louis XIV -
[i]En 1654, Louis XIV affiche une attirance envers Olympia Mancini dite Olympe nièce du cardinal de Mazarin. La jeune femme est née à Rome en 1638 et s’est installée à la cour de France depuis 1647 sur invitation de son oncle. L’accompagne sa mère Mme Mancini sœur du cardinal, son frère Philippe et sa sœur aînée Laure-Victoire. A son arrivée, Olympe est une jeune fille « maigre, avec un visage long, le teint brun et la bouche longue ». En 1654, un embonpoint à arrondit son visage, « sa bouche est devenue plus petite, son teint à blanchit ». Sans être fort belle, Olympe n’est pas désagréable à regarder. La nièce de Mazarin joue alors les reines ; elle a le don de distraire Louis et de l’amuser. Tout comme lui, Olympe aime la danse et c’est à son bras que le roi ouvre tous les bals. Oubliant l’étiquette, il ira jusqu’à ignorer sa cousine Henriette d’Angleterre un soir de danse, lui préférant Mademoiselle Mancini, provoquant l’indignation de la reine mère. Cependant, le jeune roi, en homme séduisant ne s’arrête pas à courtiser Olympe.

Voici qu’en 1657, une autre jeune fille retient son attention. Il s’agit de Lucie de la Motte-Argencourt qui, sans avoir beaucoup d’esprit, présente une physionomie agréable et gracieuse. Olympe Mancini est brune, la jeune demoiselle est blonde aux yeux bleus. Mlle de la Motte-Argencourt séduit le roi par sa manière douce et agréable de parler ainsi qu’en raison de son goût pour la danse, domaine où elle excelle. Cette nouvelle passion inquiète Anne d’Autriche qui lorsqu’elle tente de freiner son fils, se voit répondre qu’il est le roi et qu’il fait comme bon lui semble. L’affaire prend une autre tournure lorsque Mazarin découvre que Lucie est la maîtresse du marquis de Richelieu et peut être celle de M. de Chamarante. Lorsque Louis appris la chose, il se détourna de Mlle de la Motte-Agencourt. Celle-ci fut invitée à se rendre au couvent de Sainte-Marie à Chaillot où elle demeura toute le reste de sa vie bien qu’elle n’y fut pas forcée et qu’elle ne prononça pas ses vœux.
Après le départ de Lucie de la Motte-Argencourt, Louis XIV pose les yeux sur la fille d’un jardinier en 1658. L’histoire n’a pas retenu son nom et si nous sommes au courant de cette brève liaison c’est grâce à Saint-Simon qui l’a rapporté dans ses Mémoires. Le roi se consola donc dans les bras de la jeune fille qui tomba enceinte et accoucha d’une petite fille en 1659 date à laquelle Louis ne regardait plus que Marie Mancini. Naturellement, il était hors de question de reconnaître l’enfant comme étant celui de sa Majesté. Un roi ne peut exposer la preuve d’une relation avec la fille d’un jardinier, personne sans noblesse. La mère de la fillette fut mise au couvent sur ordre d’Anne d’Autriche et de Mazarin. Quant à la fille de Louis XIV, on lui fit épouser un certain baron de la Queue qui espérait bien obtenir quelques faveurs du roi, ayant épousé sa fille aînée. Il se trompait. Bien que sachant qui était son père, la jeune femme dont l’histoire a également oublié le nom n’eu jamais le moindre regard de la part du roi son père. Elle donna plusieurs enfants au baron et mourut à 26 ou 28 ans.
Revenons à Olympe Mancini. Sa liaison avec Louis XIV s’acheva en 1657 non seulement parce que le roi lui avait préféré Mlle de la Motte-Argencourt mais également parce que l’intelligente Olympe se mariait. Elle avait compris qu’être la favorite temporaire de Louis XIV ne lui assurerait pas un avenir et elle épousa donc en février 1657 le comte de Soissons, Eugène-Maurice de Savoie-Carignan. Or, au début du mois d’août, Olympe accouchait d’un garçon, Louis-Thomas (mort en 1702). Après six mois de mariage, il est étonnant qu’elle ait si vite mis un enfant au monde. Bien que le comte de Soissons l’ait reconnu comme son fils, il est fort probable que le petit Louis-Thomas fut celui de Louis XIV. Olympe aura encore sept enfants dont le père sera certainement son époux :
- Philippe ( ? - 1693)
- Louis ( ? -1683)
- Emmanuel- Philibert ( ? - 1676)
- François-Eugène (1663 - 1736)
- Maria-Jeanne (morte jeune)
- Louise-Philiberte (morte jeune)
- Françoise (1667-1671)

Olympe resta à la cour où elle avait la charge de surintendante de la maison de la reine et redevint la maîtresse de Louis XIV de 1660 à 1661. Le jeune roi avait en effet du mal à oublier Marie Mancini et n’était pas satisfait de la reine Marie-Thérèse qu’il ne parvenait pas à aimer. C’est à cette même période que le monarque regarde également avec attention Hortense Mancini, sœur cadette d’Olympe et de Marie. La comtesse de Soissons s’allia par la suite avec la duchesse d’Orléans, Henriette d’Angleterre, afin de faire du tort à Louise de la Vallière, nouvelle favorite du roi : ce fut a conspiration de la lettre. Olympe y annonçait à la reine que son époux la trompait, chose que Louis lui avait naturellement caché ! Avec le cachet de la couronne d’Espagne la lettre allait parvenir à la pauvre Marie-Thérèse mais fut interceptée à tant. Eclaboussée par l’Affaire des Poisons, la comtesse de Soissons devra fuir la cour –avec la complicité de Louis XIV- et délaisser sa charge de surintendante. En 1689, on la soupçonna d’avoir empoisonné la reine d’Espagne Marie-Louise d’Orléans nièce de Louis XIV. Olympe Maninci, veuve depuis 1673, mourut le 9 octobre 1708 à Bruxelles. [/i]

Les Favorites Royales - Les petites maîtresses d'Henri IV -

Publié à 09:03 par acoeuretacris
Les Favorites Royales - Les petites maîtresses d'Henri IV -
Charlotte de Sauve

Henri IV ne fut pas appelé le vert-galant pour rien. Outre ses maîtresses officielles, le roi vécu également de petites histoires plus ou moins courtes. La première des ses maîtresses connues fut Françoise de Montmorency-Fosseux, dite la « belle Fosseuse ». C’était une jeune fille non mariée, née en 1562 et qui devint la maîtresse d’Henri IV en 1579, faisant partie des demoiselles d’honneur de Catherine de Médicis. Françoise fut le premier amour du roi qui souffrait de son mariage avec Marguerite de Valois. Françoise tomba rapidement enceinte d’Henri, ce qui provoqua la colère de « la reine Margot ». Celle-ci s’arrangea pour que la naissance ait lieu le plus discrètement possible. Françoise accoucha d’une fille mort-née en 1581 puis fut chassée par l’épouse de son amant en 1582. Si Mlle de Montmorency avait donné naissance à un fils qui avait vécu, cela aurait pu bloquer l’accès au trône d’Henri IV à la mort d’Henri III.

Charlotte de Sauve, marquise de Noirmoutier connu une aventure avec Henri quelques temps avant qu’il ne devienne roi. Elle faisait partie de l’escadron volant de Catherine de Médicis (demoiselles d’honneur). Bien que son aventure avec Henri fut courte, Charlotte connu une fin tragique puisqu’elle fut assassinée à Blois le 23 décembre 1588. Elle était aussi la maîtresse du duc de Guise.

Alors qu’Henri a pour favorite Diane d’ Andouins, il lui fait une (parmi tant d’autres) infidélité en contant fleurette à une jeune rochelaise nommée Esther Imbert (ou Ysambert) en 1587. Il en aura probablement deux fils : un mort-né en 1587 et Monsieur Gédéon né et mort en 1588. En 1592, Esther se présentera à Saint-Denis pour voir le roi. Vivant misérablement, elle espère en son ancien amant. Mais Henri IV, alors fou de Gabrielle d’Estrées, refuse de la recevoir et d’entendre parler d’elle. Esther Imbert meurt et son corps mis dans une fosse commune.

Vers l’année 1604, Henri IV entame une relation amoureuse très discrète avec Jacqueline de Bueil, née en 1588. Le roi la marie en octobre de la même année avec le jeune Champvallon, seigneur de Cézy puis éloigne le mari de la belle. Le 1er janvier 1605, Jacqueline reçoit le titre de comtesse de Moret. La jeune femme donne un fils au roi en 1607 prénommé Antoine qui décède en 1632. Henri IV découvre peu après la liaison de sa maîtresse avec le prince de Joinville et se sépare de Jacqueline. En 1617, la comtesse de Moret se remariera avec le marquis de Vardes a qui elle donnera deux fils. Elle mourut en 1651.

En mars 1607, Henri IV s’est déjà consolé du départ de Jacqueline avec la jolie Charlotte des Essarts (1580-1651) qu’il fait bientôt comtesse de Romorantin. Recevant une belle pension de la part de son amant, Charlotte lui donnera deux filles :
- Jeanne-Baptiste (1608-1670)
- Marie-Henriette (1609-1629)

Le roi finit par découvrir que Mlle des Essarts a déjà eu de nombreux d’amants avant lui. Après avoir mis la main sur des lettres enflammées de Charlotte à ses anciens amants, Henri IV la fait mettre au couvent d’où elle s’échappera. Charlotte des Essarts épousera secrètement en 1611 Louis de Lorraine, archevêque-duc de Reims.

Les Favorites Royales - Les petites maîtresses d'Henri II -

Publié à 08:59 par acoeuretacris
Les Favorites Royales - Les petites maîtresses d'Henri II -
Bien que Diane de Poitiers fût la seule maîtresse officielle du roi Henri II, celui-ci a tout de même connu quelques passades amoureuses sur lesquelles Diane fermera les yeux : la première « amourette » d’Henri II fut Filippa Duci. Née vers 1520, elle était la soeur d’un écuyer du Piémont et rencontra le roi en 1537. De cette aventure sans lendemain naquit une petite fille en 1538 qu’Henri II prénomma Diane en l’honneur de sa maîtresse (décédée en 1619). Filippa dû abandonner sa fille à Diane de Poitiers et se retirer dans un couvent.

La fillette fut titrée duchesse d’Angoulême et éduquée à la cour par Diane de Poitiers. Cette naissance du premier enfant bâtard du roi mettait fin à sa soi-disant impuissance car la reine Catherine de Médicis n’avait pas encore donné le jour à un héritier et l’on soupçonnait alors Henri II d’en être la cause. La reine, à présent accusée vécu fort mal cette humiliation.
En 1551, le roi avait de nouveau un enfant illégitime. Sa mère, Jane Stuart née en 1520 était la fille bâtarde de James IV d’Ecosse et veuve de Lord Malcom. Jane était venue en France en tant que gouvernante de Marie Stuart, fiancée du dauphin François, fils aîné du roi. Elle se retrouva enceinte d’Henri II et mis au monde en 1551 à Aix-en-Chapelle, un fils qui reçut le prénom de son père et le titre de chevalier d’Angoulême. Jane meurt en 1553. Son fils fut élevé à la cour et décèda en 1586 lors d’un duel.
Le roi courtisa ensuite Nicole de Savigny, née en 1535 et baronne de Fautette. Elle lui donnera un fils en 1557 prénommé Henri et qui reçu le titre de baron de Fautette. Nicole décède en 1590 et son fils (non légitimé par Henri II) en 1621.

bonne journée à tous...

Publié à 08:48 par acoeuretacris
bonne journée à tous...
Je vous souhaite de passer une excellente journée...

Bisous