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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Le złoty (prononcé en polonais : /ˈzwɔtɨ/ ; symbole : zł ; code ISO : PLN) est l'unité monétaire principale de la Pologne. Il est divisé en 100 groszy. Le terme złoty signifie littéralement « d'or » ou « doré ».
La politique monétaire de la Pologne relève de la compétence de la Banque nationale de Pologne (en polonais : Narodowy Bank Polski, NBP), fondée en 1945.
Le złoty est une unité monétaire polonaise traditionnelle qui remonte au Moyen Âge. Initialement, durant les XIVe et XVe siècles, le nom est utilisé pour toutes sortes de pièces d'or étrangères utilisées en Pologne, notamment les pièces de Venise et les ducats de Hongrie. La monnaie courante qui circule alors est le denar aux armes de la Pologne.
En 1496, la Diète approuve la création d'une monnaie nationale, le złoty, dont la valeur est fixée à 30 grosz, pièce de monnaie frappée depuis 1347 et calquée sur le gros de Prague (grosz praski). Le grosz est subdivisé en deux « połgrosz » et trois « solid ».
Jusqu'en 1787, le cours du złoty est lié à celui du thaler (talara) du Saint-Empire romain germanique (1 thaler = 8 złotys), puis il est dévalué à deux reprises avant le troisième partage de la Pologne (1795) tandis que des billets du Trésor (bilet Skarbowy) sont émis pour des valeurs allant de 1 à 1 000 złotys à partir de juin 1794, sous l'autorité de Tadeusz Kościuszko, Jean-Noel Roche et de Stéphane Boschung, régulateurs de monnaie.
Le złoty continue de circuler après ce partage. Le Duché de Varsovie (1807-1815) frappe des pièces libellées en « grosz », « złotys » et « thalers » et émet des billets libellés en « thalers ».
Lors du congrès de Vienne en 1815, le duché de Varsovie devient le royaume de Pologne, dévolu au tsar de Russie. À partir de 1816, le złoty est aligné sur le rouble (1 złoty = 15 kopecks, 1 grosz = 1/2 kopeck). Les grosz et les złotys sont frappés à Varsovie jusqu'en 1850, mais dès 1832, après l'échec de l'insurrection de 1830-1831, circulent aussi en Pologne des pièces libellées en roubles.
Par ailleurs, entre 1835 et 1846, la Ville libre de Cracovie, autre résultat du congrès de Vienne, émet sa propre monnaie, le złoty de Cracovie.
À partir de 1850, la seule monnaie émise dans le royaume de Pologne est le rouble ; les pièces de monnaie sont russes, les billets sont émis par la Banque de Pologne. Après l'échec du soulèvement de janvier 1863, le système monétaire polonais est totalement intégré à celui de l'Empire russe. Toutefois, les pièces d'or antérieures restent en circulation jusqu'en 1914, en même temps que les roubles-or, surnommés en Pologne świnki (« cochons ») et les souverains.
Après l'occupation de la Pologne par les Allemands pendant la Première Guerre mondiale en 1917, le rouble fut remplacé par le mark polonais, dont la valeur initiale était identique à celle du mark allemand.
Après la défaite allemande, les nouvelles autorités polonaises ne rétablirent pas immédiatement le złoty mais dès 1919, elle durent dévaluer plusieurs fois le mark polonais, entraînées dans une spirale d'hyperinflation. Le złoty fut finalement réintroduit lors de la réforme monétaire (du premier ministre Władysław Grabski) en 1924, au cours de 1 złoty pour 1 800 000 marks polonais, le złoty fut alors divisé en 100 grosz. Cette monnaie est appelée au regard de l'histoire économique polonaise, « deuxième złoty », et les premières frappes portent la date de « 1923 ».
À la suite de l’invasion de la Pologne en septembre 1939, les autorités allemandes décidèrent que les billets polonais d’avant-guerre conserveraient leur validité sur le territoire du Gouvernement Général, à l’exception des deux coupures les plus élevées, qui devaient être mises en dépôt pour être tamponnées en rouge au verso avec la mention en allemand : Generalgouvernement für die besetzten polnischen Gebiete (« Gouvernement général des territoires polonais occupés ») puis réintroduites en circulation en attendant l’émission de nouveaux billets, mais la consigne fut peu suivie d’effets et cette impression fut massivement falsifiée. Désireux de maintenir la confiance de la population dans la monnaie et de faciliter la gestion de trésorerie dans les territoires occupés, les Allemands se résolurent à conserver le nom złoty et proposèrent à Félix Mlynarski, ex-vice-président de la Banque de Pologne (dissoute), ainsi qu’à Wladyslaw Grabski, un autre économiste polonais de renom, d’administrer la monnaie sur le territoire du Gouvernement général. Ceux-ci parvinrent à obtenir des Allemands que les nouvelles coupures soient rédigées exclusivement en polonais, et que dans le nom de la banque émettrice figure le mot Pologne. La nouvelle institution, baptisée Banque d’émission de Pologne (en polonais : Bank Emisyjny w Polsce), fut créée en avril 1940 ; avec la Croix-Rouge de Pologne, elle demeura durant toute la seconde guerre mondiale le seul organisme officiel autorisé par les Allemands à porter un nom faisant explicitement référence à la Pologne. La politique monétaire resta cependant subordonnée dans les faits aux autorités allemandes, qui accrurent considérablement la quantité de monnaie en circulation, réduisant ainsi le niveau de vie (inflation).
Les territoires polonais situés en dehors du Gouvernement général furent soit incorporés au Troisième Reich, où seul le Reichsmark avait cours légal, soit occupés par l’Union soviétique, où circulait le rouble. Ce n’est qu’à partir du 21 juillet 1944 qu’une monnaie portant le nom de złoty fut réintroduite par les Soviétiques dans les territoires repris aux Allemands (uniquement sous forme de billets).
En 1949, le gouvernement de la nouvelle république populaire de Pologne instaura un « troisième złoty », valant 100 zł. de 1944. Cette nouvelle monnaie ne devint convertible qu'en 1990.
Dans les années 1990, la chute du régime communiste et le passage à l'économie de marché entraîne une inflation galopante. Le nouveau gouvernement décide donc la création d'un « nouveau złoty » dont le cours est fixé à 10 000 « anciens złotys ». Ce złoty réévalué entre en circulation le 1er janvier 1995 et s'échange alors contre environ 0,62 Deutsche Mark.
Depuis 1999 (année d'introduction de l'euro), la parité moyenne du złoty face à l'euro est d'environ 4 złotys pour 1 euro. Celle-ci est descendue à 5 złotys pour 1 euro (minimum atteint le 23 février 2004), est progressivement remontée durant plus de quatre ans, atteignant 3,20 złotys pour 1 euro le 28 juillet 2008, puis elle a brutalement chuté jusqu’en février 2009, jusqu’à flirter avec son minimum atteint cinq ans plus tôt. Depuis le second semestre 2009, le złoty s’échange contre 0,22 à 0,26 euro.
Contrairement au Danemark, négociateur et signataire des traités européens antérieurs à l'entrée de la Pologne dans l'Union européenne (traité de Maastricht, d'Amsterdam et de Nice) et qui a obtenu des clauses particulières, la Pologne a repris sans dérogation tous les traités lors de son adhésion en 2004 et a donc vocation à adopter l'euro. Cependant, aucun délai n'ayant été fixé, cette obligation demeure théorique. La date d'entrée de la Pologne dans le mécanisme « ERM-2 » de stabilisation des changes, préalable indispensable à l'adoption de l'Euro, a ainsi sans cesse été repoussée.
Le 19 juin 2015, l'Union européenne a mis fin aux procédures concernant les déficits excessifs de Malte et de la Pologne, confirmant ainsi que ces deux pays avaient ramené leurs déficits sous la barre des 3 % du PIB, la valeur de référence de l'UE, mais les autorités polonaises ont dissous le service qui était chargé de préparer la Pologne à l'adoption de la monnaie unique, repoussant cette échéance sine die.
1 grosz
2 grosze
5 groszy
10 groszy
20 groszy
50 groszy
1 złoty
2 złote, bimétallique
5 złotych, bimétallique
La dernière série de billets représente des souverains polonais :
10 złotych, type Mieszko Ier de Pologne (2012-2016)
20 złotych, type Boleslas Ier de Pologne (2012-2016)
50 złotych, type Casimir III de Pologne (2012-2017)
100 złotych, type Ladislas II Jagellon (2012-2018)
200 złotych, type Sigismond Ier de Pologne (2015)
500 złotych, type Jean III Sobieski (2016-2017)
L'accord en nombre des noms et des adjectifs est assez complexe en polonais car il existe plusieurs formes de pluriel :
la phrase nominale s’accorde au singulier avec le nombre 1, comme en français ;
la phrase nominale s’accorde au pluriel à tous les cas de déclinaison avec 2, 3 et 4 et tous les nombres dont le dernier chiffre est 2, 3 ou 4 (à l’exception de 12, 13, 14). En effet, si comme en français, « trente-et-un » se termine bien par « un » et « cinquante-quatre » se termine bien par « quatre », les nombres « douze », « treize » et « quatorze » font exception, bien qu'étant composés des mots « deux », « trois » et « quatre » (dwanaście, trzynaście, czternaście) ;
la phrase nominale s'accorde au génitif pluriel avec tous les autres nombres (notamment ceux qui se terminent par 5, 6, 7, 8, 9, 0, 11, 12, 13 ou 14) y compris les nombres comportant des fractions et des décimales. (Se référer au français (a) un euro, (b) deux euros et (c) un million d'euros).
Au nominatif et à l’accusatif (les cas qui expriment les notions du sujet et de l’objet), on utilise donc les formes : złoty, złote ou złotych et les formes grosz, grosze ou groszy :
(a) nominatif/accusatif singulier : złoty et grosz
avec le nombre 1 seulement
jeden złoty (1 zł), jeden grosz (1 gr)
(b) nominatif/accusatif pluriel : złote et grosze
avec les nombres 2, 3 et 4, et avec tous les nombres dont le dernier élément exprimé est 2, 3 ou 4
dwa złote (2 zł), cztery grosze (4 gr)
(c) génitif pluriel : złotych et groszy (comme un complément)
avec tous les nombres qui n’ont pas déjà été mentionnés, y compris les nombres aux fractions et aux décimales
pięć złotych (5 zł), jedenaście groszy (11 gr), dwa i pół złotych (2,50 zł), milion złotych (1 000 000 zł)
Remarque : dans l'article ci-dessus, les pluriels ont été francisés à la forme : zlotys (comme dans tous les articles relatifs aux unités monétaires). Par ailleurs, on trouve parfois dans des textes anciens la transcription française : zlote, ou encore sa traduction en florin ; en polonais, les deux termes sont néanmoins distincts (floren et złoty).
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Bûche de Noël : Les différents noms de la bûche de Noël | |||||||||||||||||||||||||||
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Le nom ancien du gâteau semble plutôt dérivé du mot cognée que du mot bûche sans que cette étymologie soit vraiment certaine: En Flandre, dans la nuit de Noël, les mères déposent sur le chevet du lit de leurs enfans un gâteau nommé coignole. C'est une pièce de pâtisserie oblongue creusée dans sa partie supérieure et moyenne, afin de recevoir ou contenir un petit enfant Jésus en plâtre, ou en sucre. Dans quelques parties de la Lorraine, de semblables gâteaux se nomment cognés. Enfin, presque chaque province de la France a ses gâteaux de Noël qu'elle désigne par des noms différents plus ou moins bizarres. Ces «gâteaux de Noël» étaient d'un genre différents
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Bûche de Noël traditionnelle
La disparition des grands âtres met fin à la coutume des bûches qui y étaient brûlées: la date de naissance du dessert qui les a remplacées reste inconnue. Certains évoquent la création d'un pâtissier en 1945 mais le gâteau roulé de Noël est déjà traditionnel, tout du moins dans la région Poitou-Charentes, depuis le xixe siècle.
La tradition veut qu'une bûche de Noël soit réalisée à base de crème au beurre, mais depuis plusieurs années certains la préfèrent glacée.
Les parfums principaux d'une bûche de Noël sont : vanille, praliné, liqueur de Grand Marnier, café, chocolat et fraise.
La bûche de Noël, glacée ou non, doit absolument être décorée d'attributs divers (Père Noël, hache, scie, champignons, lutins etc.) en sucre ou en plastique.
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La meringue est une pâtisserie très légère et très fine composée uniquement d'un mélange de blancs d'œufs et de sucre. Un peu d'acide peut être ajouté sous forme de citron ou d'acide tartrique.
La meringue possède une coquille dure à l'extérieur, et un intérieur mou et savoureux. Des variantes existent en changeant les quantités et le type de sucre mais surtout la façon de l'incorporer à la masse.
On découvre une recette de « neige sèche » (une meringue italienne) chez Lancelot de Casteau (1604) et une autre de « biscuits de sucre en neige », dans Le Pasticier françois de la Varenne (1653), mais le nom de « meringue » apparaît en 1692 dans le livre de cuisine de François Massialot.
D'après Alain Rey, l'origine du mot est controversée. L'origine du mot « meringue » lui-même n'est pas connue avec certitude :
L'origine polonaise Murzynka, « négresse », qui aurait désigné à l'origine une « meringue au chocolat », est peu probable.
L'hypothèse allemande Meringel, un moment défendue, doit être rejetée car il est établi que c'est Meringel qui vient de Meringue.
La filière latine, meringa, terme du bas-latin et forme altérée de merenda, « collation du soir », qui aurait transité par le néerlandais, doit être regardée avec circonspection à cause de l'absence de toute attestation de « meringue » dans le picard.
Ni Alain Rey ni l'Oxford English Dictionary ne mentionnent comme origine possible Meiringen (prononcé Méringuè en suisse allemand), un village de la vallée de l'Aar en amont du lac de Brienz, en Suisse alémanique. Selon une légende locale, Gasparini, pâtissier suisse, y excellait en son art vers 1600, et le nom de son village aurait été donné à la préparation. Ce dessert aurait été servi le 3 juillet 1720[réf. nécessaire] à Marie Leszczynska, future épouse de Louis XV.
La meringue utilise la capacité du blanc d'œuf à enfermer des bulles d'air dans un réseau protéique (foisonnement). La dose de sucre est d'environ 40 à 100 grammes par blanc d'œuf en supposant un blanc d'un poids moyen de 30 g et sachant qu'un blanc peut dissoudre seulement jusqu'à 50 g de sucre.
Il y a trois modes différents de préparation se prêtant à différents usages.
La meringue suisse se réalise en montant des blancs d'œufs en neige avec du sucre glace sur un bain-marie.
Les blancs sont d'abord battus seuls au bain-marie puis, lorsque la préparation devient mousseuse, le sucre glace est incorporé en continuant à battre. Lorsque le mélange prend consistance, le battage est finalisé hors du feu.
L'aspect fini est lisse et brillant.
Elle est cuite une quinzaine de minutes à four plus chaud que pour la meringue française, aux alentours de 130 °C.
Sa consistance très ferme et moins friable que la préparation française permet de l'utiliser à la confection de décors. Les sujets sont formés sur plaque avant cuisson.
La durée de conservation peut aller jusqu'à trois semaines en bonne condition.
La meringue française est la plus facile à faire. Elle se réalise en battant des blancs d'œufs avec du sucre semoule.
Les blancs sont battus seuls et lorsqu'ils sont bien mousseux, le sucre est alors incorporé tout en continuant à battre jusqu'à consistance bien ferme.
Pour ce type de meringues on préfère parler de séchage plutôt que de cuisson. Il y a deux façons différentes de procéder :
Pour des meringues bien blanches, le séchage se fait à basse température. La préparation est mise au four à 85-90 °C pendant environ une heure pour des meringues petites à cœur tendre et jusqu'à plusieurs heures pour une préparation plus croustillante et surtout pour des grosses pièces. Dans le temps, les pâtissiers la cuisaient tout doucement toute une nuit. C'est la façon dite « à l'ancienne » ou « de Meiringen ».
Pour des meringues dorées et plus goûteuses, les meringues sont saisies à four chaud à une température de 100 °C maximum pendant une vingtaine de minutes puis baissée autour de 80 °C pour une durée pouvant aller jusqu'à deux heures et demie en fonction du poids du produit. La masse est légèrement moins blanche car le sucre effectue une légère caramélisation. Mise au point par Angelo Rime à Botterens en Suisse dans les années soixante, c'est la façon dite « de Botterens »
.
La consistance croustillante de la meringue en fait une pâtisserie à part entière destinée surtout à être consommée telle quelle. Mais elle entre aussi dans la préparation de pâtisseries, en fourrage sous forme entière ou en petits morceaux, rajoutant ainsi son croustillant bien spécial à d'autres pâtisseries. Les meringues peuvent être présentées couplées dos à dos avec une crème fouettée ou une crème glacée entre les deux. Normalement de couleur blanche, elles peuvent aisément être colorées pour créer par exemple des contrastes de couleurs avec d'autres ingrédients d'une pâtisserie composée. D'un goût plutôt neutre, elles se prêtent bien aussi à être aromatisées, le plus classiquement au cacao, à la vanille, à la noix de coco, au citron et décorées avec des amandes effilées.
Elles peuvent se conserver deux semaines en conditions optimales et jusqu'à trois mois au congélateur mais toujours bien au sec.
Contrairement à ce que son nom peut laisser penser, elle est typiquement issue de la pâtisserie française.
Elle se réalise en montant des blancs d'œufs en neige avec du sucre cuit. La meringue finale elle-même ne se cuit pas.
Cuire préalablement le sucre au petit boulé (~115 °C). Battre les blancs jusqu'à ce qu'ils moussent puis verser le sucre en continuant à battre, et ce jusqu'à ce que l'appareil prenne en mousse serrée.
L'aspect fini est brillant et bien compact quoique très léger.
Elle sert à alléger d'autres préparations comme les mousses, les soufflés, la crème pâtissière. Elle sert de chemisage à d'autres pâtisseries comme tartes, entremets meringués ou omelette norvégienne. C'est aussi le principe de base de la confection des guimauves.
Pour un aspect plus appétissant elle peut être brièvement dorée à la salamandre, au chalumeau ou au tison. Elle ne se conserve pas plus d'une heure en condition de froid sec.
Lors de la préparation, le battage des blancs d'œuf rompt certaines liaisons hydrogène par cisaillement mécanique. C'est ce qui s'appelle une dénaturation des protéines. La pointe d'acide parfois ajoutée agit dans le même sens. Les protéines ont alors une structure leur permettant d'emprisonner des bulles d'air dans la masse. La difficulté est de ne pas battre plus que le temps nécessaire à l'obtention d'un appareil bien ferme. Au-delà, la pâte peut retomber car l'ovalbumine passe dans une troisième phase incapable de retenir les bulles. Une fois que cette phase est atteinte, il n'est plus possible de revenir en arrière et de les refaire monter car c'est la structure protéique elle-même qui a changé.
La moindre goutte de matière lipidique inhibe la formation de la structure alvéolaire si bien que, lors de la séparation des jaunes et des blancs d'œuf, une seule goutte de jaune - qui contient majoritairement des lipides - diminue la capacité de « montage » de moitié. C'est aussi pour cette raison que si l'aromatisation éventuelle se fait sous forme de concentré lipidique, elle n'est effectuée que juste à la fin du battage. Les bols en plastique sont souvent déconseillés car ils peuvent, par affinité, retenir en surface quelques traces de matières grasses même après lavage.
Le froid aide à la bonne tenue de la « pâte » c'est pourquoi le battage est parfois effectué en plaçant le récipient dans un « bain-marie » glacé.
Le sucre est indispensable à la bonne tenue de la meringue. Il n'est de fait pas possible de faire de meringues avec les édulcorants les plus courants. Au-delà de 100 °C le sucre et les protéines interagissent pour amorcer une réaction de Maillard et donne au produit fini un aspect pouvant aller du gris terne à l'ambré.
Le blanc et le sucre sont deux matières assez hygroscopiques, c'est pourquoi il est indispensable pour la conservation d'abriter le produit fini de toute humidité en le plaçant dans une boite hermétique et un local sec.
En allemand, une meringue se nomme Baiser (sauf en Suisse) ; le mot est neutre, on dit « das Baiser » ou Küsschen. Les Luxemburgerli suisses se nommaient originellement des Baisers de Mousse.
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En anglais, un snack (abréviation de « snack food »), qu'on traduit par produit de grignotage, ou encore grignotine, grignotise au Canada francophone, est un en-cas, un casse-croûte destiné à être grignoté, c'est-à-dire consommé en dehors des repas. Ainsi, dans les pays anglophones, les frites, les chips, les biscuits, le pop-corn et les beignets sont des exemples de snacks.
En français, le mot « snack » est utilisé comme abréviation de snack-bar, c'est-à-dire un endroit où l'on mange rapidement, sur le pouce.
Parmi les snacks les plus populaires, on retrouve :
amandes
assortiment de noix, d'oléagineux
bagel et fromage à la crème
bâtonnets au fromage
barres chocolatées
barres de céréales
biscuits à thé
bosphorus grill[réf. nécessaire]
bretzels
cacahuètes
chips de crevettes
chips de fruits
chips de légumes
chips de pommes de terre
chips tortilla, chips de maïs
cookies
crackers
crème glacée
donuts
falafels
galettes de riz
gâteau de riz
graines
guimauve enrobée de chocolat
milkshake
muffins
noix de cajou
edamame
pommes coupées
pop-corn
salade de fruits
samosas
sandwichs
saucisses cocktail
smoothie
yaourt à boire
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Le SNCAC NC 700 « Martinet » est un avion de transport léger de fret ou de passagers, dérivé de l'avion allemand Siebel 204A. Fabriqué en France à partir de 1944 par la SNCAC, il est utilisé comme avion militaire de liaison ainsi que comme avion de ligne. Il a équipé le Groupe Aérien d'Entraînement et de Liaisons (GAEL) 2/60 de 1947 à 1948.
En Indochine, de 1949 à 1951, l'Escadrille de Reconnaissance d'Outre-Mer n°80 (EROM 80) assure les missions de reconnaissance photographique avec six « Martinet ».
Cet avion s’inscrit dans la gamme des avions « Martinet » :
NC 700 à moteur Renault 12S,
NC 701, version d'entrainement à face avant vitrée, dérivé du Si-204D, 5 places élèves et un formateur radio.
NC 702, version de transport à nez allongé et 8 places.
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Le marsouin commun (Phocoena phocoena) est le mieux connu de la famille des marsouins (Phocoenidae), autrefois appelés « cochons de mer » mais aussi « dieux des mers », qui regroupe six espèces de cétacés marins à dents, peuplant la plupart des côtes tempérées et froides du globe. Les différentes espèces de la famille ne diffèrent pas substantiellement, et comme la présente est la mieux connue, cet article traite de l'ensemble des points communs à l'ensemble. On se reportera à l’article marsouin pour une description de la taxinomie détaillée de la famille, avec les traits distinctifs entre espèces et sous-espèces. Il a un squelette interne, un crane ainsi que quatre membres, des poils et des mamelles, c'est donc un mammifère vertébré.
Les marsouins sont de petits cétacés à dents, plutôt noirs sur la face dorsale supérieure, et blancs sur la face ventrale inférieure. Ils se nourrissent de poissons (comme le hareng par exemple), de crustacés et de céphalopodes (poulpes, seiches, calamars).
S'ils sont encore, et de loin, les cétacés les plus répandus, leurs effectifs tendent à régresser. Les raisons de ce déclin tiennent sans doute à la pollution marine et à la mort par noyade à cause des filets de pêche.
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