Cadeau de Judithe ...

Publié à 11:43 par acoeuretacris
Cadeau de Judithe ...

 

Merci ma Judithe pour ce joli cadeau...

ça me touche beaucoup...

tu es vraiment adorable...

gros bisous...

 

Un bonheur n'arrivant jamais seul.....

Publié à 10:51 par acoeuretacris
Un bonheur n'arrivant jamais seul.....

Que je suis arrivée dans votre grande

famille !!!!

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=8Lt60FcQZ7I

 

et c'est d'autant plus la fete que vous

m'avez fait ce jour un merveilleux cadeau....

 

 

belle et douce journée à tous...

La mienne le sera grace vous....

 

Les Mois - Histoire - Mai -

Publié à 09:43 par acoeuretacris Tags : mois histoire mai
Les Mois - Histoire - Mai -
 Maïa
 
 
Origine, histoire, dictons du MOIS DE MAI
(D'après « La légende des mois », paru en 1881)
 
 
L'origine du mot mai n'est pas bien nettement établie. Quelques auteurs soutiennent que chez les Romains ce mois était consacré à la déesse Maïa, fille d'Atlas et mère de Mercure. D'autres savants pensent que ce même mois était consacré aux anciens, aux sénateurs, et que le mot mai dérive du terme latin majores, qui veut dire hommes âgés ; cette dernière explication se trouverait justifiée par le nom du mois suivant, juin, qui paraît avoir été consacré aux jeunes gens, en latin juniores. Ce mois était représenté « sous la figure d'un homme entre deux âges, vêtu d'une robe large, à grandes manches et tenant une corbeille de fleurs. Un paon était à ses pieds. »
 
 
 
Le mois de mai était célébré chez les païens par des cérémonies dont on retrouve des vestiges au Moyen Age. « Le 1er mai, dit l'historien Chéruel, était dans beaucoup de contrées un jour férié. Les paysans étaient dans l'usage de planter un arbre qu'on appelait le mai. Beaucoup de redevances se payaient à cette époque et on les appelait, dans la basse latinité, maiagium. Le 1er mai, le maître des forêts recevait sur la table du roi, au bord de la forêt de Fontainebleau, les redevances, qui consistaient en gâteaux, jambons, vins, etc. »
 
 
 
La coutume de planter un mai dans les villes subsistait encore au XVIIe siècle. La corporation des orfèvres de Paris était dans l'usage de faire un présent, tous les ans, à l'église de Notre-Dame, le premier jour de mai. Ce présent, qui fut d'abord un arbre, puis une oeuvre d'architecture, fut converti au XVIIe siècle en un tableau, qu'on appela le tableau de mai. Ce tableau, dont le sujet était tiré des Actes des Apôtres, restait exposé devant le portail de l'église les premiers jours du mois et, pendant le reste de mai, il était suspendu dans la chapelle de la Vierge.  
 
 
 
C'est en mai que se tenaient sous les Carlovingiens les assemblées politiques. Les Francs avaient coutume de réunir tous les ans en mars leurs guerriers, dans un lieu consacré qu'on appelait Champ de Mars. A l'imitation des Germains, auxquels ils avaient emprunté ces principes d'indépendance politique, les guerriers francs délibéraient sous la présidence de leur chef. La liberté était complète. Si les paroles du chef leur plaisaient, ils y applaudissaient en frappant leurs boucliers de leurs framées ; sinon, ils étouffaient sa voix par leurs murmures.
 
Sous Charlemagne, la date de l'assemblée fut reculée jusqu'en mai : les évêques qui, sous Clovis avaient été admis à ces assemblées, prirent bientôt avec les comtes et les seigneurs un rôle prépondérant, et l'élément guerrier s'effaça peu à peu. Ces assemblées générales disparurent après la ruine de l'empire carlovingien ; les champs de mai furent remplacés par les états généraux, dont la première convocation eut lieu en 1302, sous Philippe le Bel, et dont la dernière eut lieu en 1789, à la veille de la Révolution.   Le mois de mai correspond à floréal dans le calendrier républicain ; c'est le mois des fleurs. Les Romains célébraient chaque année, à la fin d'avril et au commencement de mai, la fête de Flore. La déesse des fleurs, adorée en Grèce sous le nom de Chloris, avait des autels à Rome. Tous les ans avaient lieu les Florales, fêtes qui se célébraient durant cinq nuits et qui consistaient en chasses et en représentations mimiques et dramatiques. Les chasses avaient lieu dans un cirque spécial, appelé cirque de Flore, situé hors de la ville, dans une petite vallée formée par le mont Viminal et la colline des Jardins.
 
 
 
 
 
Flore
 
 
   
Flore, dit-on, fut l'épouse de Zéphire, ce qui veut évidemment dire que le vent caresse les fleurs ; on croit que le culte de Flore fut introduit à Rome par le roi sabin Tatius. Pendant quelques années les Florales furent suspendues, mais, en l'an 581 de Rome, les bourgeons ayant beaucoup souffert de l'intempérie de la saison, l'édile Servilius, sur l'ordre du sénat, rétablit la fête.  
Flore est représentée sous la figure d'une jeune nymphe couronnée de fleurs et les mains chargées de fleurs. Son mari, Zéphire, fils de l'Aurore, est représenté sous la figure d'un jeune homme ayant des ailes de papillon et une couronne de fleurs. « Il souffle sur la terre avec tant de douceur, et cependant avec tant de puissance, que son souffle rend la vie aux plantes, colore les fleurs et les fruits. » Son nom vient de deux mots grecs zoé, fero, qui veulent dire : je porte la vie.
 
 
 
   
  
Zéphire  
 
 
  
En France, en 1323, le roi Charles le Bel sanctionna la fondation, à Toulouse, de la célèbre Académie des jeux Floraux, qui s'appelait alors Collège du gaisçavoir. Cette institution, restaurée par Clémence Isaure vers 1490, fut érigée en académie par Louis XIV, en 1694. Tous les ans, le 3 mai, ont lieu des concours de poésie : l'ode la meilleure est récompensée d'une amarante d'or ; la violette d'argent, l'églantine d'argent, le souci d'argent, récompensent la pièce de vers alexandrins, le morceau en prose, l'idylle qui ont été couronnés.   En Grèce, on célébrait tous les ans, le 6 et le 7 du mois de Thargélion, c'est-à-dire au commencement de mai, les Thargélies, fêtes consacrées soit à Apollon et à Diane, soit au Soleil et aux Heures. Ces fêtes étaient assez singulières : « Le premier jour on sacrifiait des victimes humaines ; c'étaient des individus condamnés à mort. Ils étaient conduits au son des flûtes hors de la ville sur le bord de la mer, leur cou était entouré de guirlandes de figues, et ils portaient également des figues dans les mains. Pendant cette marche, on frappait les victimes avec des branches de figuier sauvage. Arrivées au lieu du supplice, on les faisait monter sur un bûcher de bois de figuier auquel on mettait le feu; enfin on jetait leurs cendres dans la mer et aux quatre vents. » Comme on le voit, il s'agissait d'une cérémonie de purification.  
 
 
 
Le 9 mai, on célébrait à Rome les Lémuries, pour apaiser les mânes des morts. On prétend que ces fêtes s'appelaient à l'origine Rémuries et qu'elles avaient été instituées par Romulus pour se délivrer du fantôme de son frère Rémus qu'il avait tué. L'objet principal de toutes les cérémonies de cette fête était d'exorciser les lémures (les âmes des morts), de prévenir leurs apparitions, et d'empêcher qu'ils ne troublassent les vivants... Le sacrificateur, nu-pieds, faisait avec la main, dont les doigts étaient joints au pouce, un signe pour chasser les lémures. Il mettait des fèves noires dans sa bouche et les jetait derrière lui en disant : « Par ces fèves, je me délivre moi et les miens. » Cette conjuration se faisait au bruit d'un charivari de poêles et de vases d'airain.  
Le 15 mai, avait lieu la fête de Mercure. C'est ce jour-là qu'un temple avait été consacré, dans le grand cirque, au fils de Jupiter et de Maïa. Le dieu qui avait dans ses attributions l'éloquence, le commerce, les voyages et les vols  est représenté « avec des ailes aux pieds, aux épaules, à sa coiffure, et à la baguette nommée caducée qu'il tient entre ses mains. » Ces ailes permettent au messager des dieux d'exécuter avec rapidité les ordres de Jupiter. A ses multiples occupations, Mercure Mercure joignait encore la conduite des âmes aux enfers.
 
 
   
 
Mercure  
 
 
 
Le 3 mai, l'Église catholique célèbre la fête de l'Invention de la Croix. On sait que sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin, retrouva la croix de Jésus-Christ enfoncée dans la terre sous le Calvaire, en l'an 328.
 
Une superstition qui se perpétue dans quelques provinces, fait considérer comme funestes les mariages contractés en mai. On dit noces de mai, noces mortelles. On attribue l'institution des Rogations à saint Mamert, évêque de Vienne, en Dauphiné. Ces prières publiques se font trois jours avant l'Ascension, pour demander à Dieu de conserver les biens de la terre, et d'éloigner les fléaux et les malheurs. Dans le cours de la dernière moitié du Ve siècle, ce prélat exhorta les fidèles de son diocèse à faire des prières, des processions, des oeuvres de pénitence, pendant trois jours, afin d'obtenir la cessation des tremblements de terre, des incendies et du ravage des bêtes féroces, dont le peuple était affligé. Dans la suite, on continua ces prières pour se préserver de pareilles calamité, et l'usage s'en introduisit successivement dans les églises des Gaules, de l'Espagne, de l'Italie, etc.
   
En mai les jours augmentent de 1h16, la température s'élève d'une manière très sensible, la moyenne s'élevant à 14°2. Cependant certaines journées du mois sont encore froides et les agriculteurs redoutent avec raison l'effet désastreux des gelées tardives. Ces gelées de mai peuvent se produire, soit parce que sous l'influence des vents du nord la température générale de l'air s'abaisse au-dessous de zéro, soit parce que la température du sol s'abaisse par rayonnement au-dessous de zéro, la température de l'air pouvant être d'ailleurs de 3 ou 4° de chaleur. Dans ce dernier cas, on peut parfois éviter l'effet désastreux de la gelée en brûlant, au-dessus du champ qu'on veut préserver, des huiles lourdes qui produisent des nuages artificiels destinés à diminuer le rayonnement du sol.   Ces gelées de mai peuvent arriver à une époque quelconque du mois, mais il a été bien constaté, depuis de longues années, qu'il y a toujours un refroidissement de la température vers les 11, 12 et 13 mai. Cette remarque n'avait pas échappé à l'esprit observateur des agriculteurs, qui donnaient aux saints Mamert, Pancrace et Servais, auxquels sont consacrés ces trois jours de mai, les noms de saints de glace.  
 
 
 
On raconte que le grand Frédéric se promenait, le 1er mai 1780, sur les terrasses du palais de Sans-Souci. L'air était tiède, le soleil chaud. Le roi s'étonna que les orangers fussent encore renfermés. Il appela son jardinier, et lui ordonna de faire sortir les arbres. « Mais, sire, lui objecta le jardinier, vous ne craignez donc point les trois saints de glace ? » Le roi philosophe se mit à rire et renouvela son ordre. Jusqu'au 10 mai tout alla bien ; mais le jour de saint Mamert, le froid survint ; le lendemain, jour de saint Pancrace, la température baissa davantage, et il gela fortement dans la nuit qui précéda la fête de saint Gervais. Les orangers furent gravement endommagés.  
 
 
 
Le mois de mai est si variable qu'on a dit avec raison qu'il n'est beau que chez les poètes.  
 
 
 
C'est un ménage d'enfer.
L'almanach et le thermomètre
Ne peuvent d'accord se mettre :
L'un dit printemps et l'autre hiver.
...

On dirait que le mois de mai
Est relégué dans quelque idylle,
Ou que, tel qu'un luxe inutile,
Cette année on l'a supprimé.
   
 
 
 
En mai, les agriculteurs des différents départements sont loin d'être d'accord entre eux. Les uns désirent que les pluies d'avril prennent fin ; les autres ne les redoutent pas. Ces appréciations différentes tiennent évidemment aux différences de climat. Mais une voix unanime déplore les gelées tardives, qui sont cependant fréquentes durant ce mois :  
 
 
 
Au mois de mai
Il faudrait qu'il ne plût jamais.
 
(Vaucluse)  
 
 
Mai pluvieux
Rend le laboureur joyeux.
 
(Hautes-Alpes)  
 
 
 
Ces deux proverbes sont, on le voit, absolument opposés.

 
Mars sec, avril humide, chaud mai,
Temps à souhait.
(Aube, Nord, Marne)  
 
 
 
Gelée d'avril ou de mai
Misère nous prédit au vrai.
 
(Nièvre)  
 
 
 
 
  En mai, les travaux de jardinage deviennent très importants : on récolte les petits pois, les artichauts, les fraises, etc. Le 20 mai finit le mois républicain de floréal et commence prairial. La nature présente à cette époque de l'année sa plus grande activité.    
 
 
 

Bonjour, bonne journée à tous....

Publié à 08:26 par acoeuretacris Tags : bonjour
Bonjour, bonne journée à tous....

 

 

 

La sagesse, c’est l’art d’admettre la fragilité de ce que nous pensons, ainsi que la faiblesse des choses sur lesquelles nous fondons nos certitudes.

 

Gérard Brown 

 

A demain....

Publié à 20:54 par acoeuretacris
A demain....

Intelligence

 

Les insectes peuvent être impuissants et faibles, mais ils ne détruisent ni leur environnement ni leurs semblables. Nous nous qualifions nous-mêmes d'humains et nous nous croyons très intelligents, mais à quoi utilisons-nous notre intelligence ?
A tromper autrui, à malmener et à abuser les autres.
En se comparant aux êtres sensibles, il faut tenter d'apprécier leurs qualités positives. En nous observant nous-mêmes, il faut essayer de reconnaître et de les corriger.

 

Pensée du Dalaï Lama

 

image  

Champignons-Chapeau blanc - Lépiote pudique -

Publié à 18:57 par acoeuretacris Tags : champignons lépiote pudique
Champignons-Chapeau blanc - Lépiote pudique -
 
Identification de champignons à chapeau de couleur blanche 
  

 Nom usuel : Lépiote pudique

 

 

de 5 à 12 cm, convexe puis aplati, blanc à blanchâtre, voire crème selon exposition et humidité ambiante

 

Chapeau : de 5 à 12 cm, hémisphérique et rapidement convexe puis s'aplatissant, lisse, blanc à blanchâtre, devenant légèrement ochracé en vieillissant, selon exposition, milieu ou degré hydrométrique
- le développement est très rapide et vous voyez à gauche le même specimen au 2ème, 3ème et 4ème jour, la troisième photo représentant un specimen légèrement ochracé qui s'est développé dans un milieu plus sombre et plus humide

 

Lames : libres et serrées, blanches mais devenant rose pâle en vieillissant ; la photo du bas représente les lamelles d'un specimen de 4 jours

 

Anneau : blanc, mince et coulissant, disparaissant souvent dès maturité

 

Pied : bulbeux à la base, parfois courbé, de couleur blanche, jaunissant légèrement au toucher

 

Exhalaison : parfum fongique parfois faible mais souvent bien prononcé

 

Période de cueillette : à partir du début de l'été et jusqu'au milieu de l'automne

 

Biotopes : prairies, parcs, jardins, lisières de bois, chemins et bords de route

 

Confusions : avec plusieurs espèces toxiques ou mortelles telles que l'agaric jaunissant, l'amanite phalloïde, l'amanite vireuse, l'amanite printanière mais aussi d'autres espèces comestibles telles l'agaric champêtre, l'agaric bulbeux, l'agaric des jachères ou encore l'agaric des bois

 

Famille : lépiotacées

 

Nom scientifique : leucoagaricus leucothites

 

   

 

 

 

 

Synonymes : colombette
latin : lepiota pudica, lepiota naucina

 

La chair, épaisse, est blanche, de même que les spores. Les caractéristiques de cette espèce assez complexe peuvent être quelque peu différentes, selon le climat et le milieu : elle comporte plusieurs variantes parfois délicates à identifier avec certitude. Pour ces raisons, ce bon comestible (toutefois mal toléré par certains ...) exige une attention soutenue avant de le consommer : il affiche des ressemblances marquées avec l'espèce la plus dangereuse, l'amanite blanche et ses variantes !

 

 

Champignons-Chapeau blanc - Agaric auguste -

Publié à 18:41 par acoeuretacris Tags : champignons agaric auguste
Champignons-Chapeau blanc - Agaric auguste -
Identification de champignons à chapeau de couleur blanche 
  

 Nom usuel : Agaric auguste

 

 

de 10 à 25 cm, convexe puis étalé, blanc cassé couvert d'écailles jaunâtres à fauve

 

Chapeau : de 10 à 20 cm et plus, d'abord globuleux à trapézoïdal devenant convexe puis s'étalant, à marge lisse mais ourlée par la cuticule en vieillissant, de couleur blanc cassé à crème couvert d'écailles jaunâtres à fauve ou brun ochracé

 

Lames : fines et assez serrées, arquées, de couleur gris rosâtre devenant brunes avec l'âge

 

Anneau : ample, évasé, floconneux, de même couleur que le pied mais disparaissant parfois partiellement à maturité

 

Pied : cylindrique légèrement clavé, de 2 à 3 cm de diamètre pour 10 à 20 cm de haut, floconneux à squamuleux sous l'anneau et blanc au-dessus, devenant brunâtre pâle à partir de la base sur la fin

 

Exhalaison : le plus souvent d'amandes amères, parfois de bergamote, plus rarement anisée

 

Période de cueillette : à partir du début de l'été et jusqu'à la fin de l'automne

 

Biotopes : dans les bois aérés de feuillus et/ou de conifères mais le plus souvent sous les feuillus, préférant les stations aérées, notamment les lisières des forêts

 

Confusions : possible avec l'agaric des forêts mais qui vient le plus souvent sous conifères et l'agaric des pelouses dont l'habitat typique est également différent

 

Famille : agaricacées

 

Nom scientifique : agaricus augustus

 

 

 

 

 

Synonymes : latin : agaricus subrufescens

 

La chair est blanche et tend à devenir jaune pâle à roussâtre pâle à la coupe. L'agaric auguste est un champignon de grande taille dont la chair jaunit sous la pression des doigts ... ou en vieillissant. Son port ... auguste et sa taille respectable en font une espèce prisée par les amateurs car il est considéré comme très bon comestible.

 

Champignons- Chapeau blanc - tricholome colombette -

Publié à 18:29 par acoeuretacris Tags : champignons tricholome colombette
Champignons- Chapeau blanc - tricholome colombette -
Identification de champignons à chapeau de couleur blanche 
  

 Nom usuel : tricholome colombette

 

 

de 5 à 10 cm, d'un blanc pur parfois nuancé de rose ou de bleu, bombé et soyeux, souvent penché

 

Chapeau : de 5 à 10 cm, hémisphérique devenant convexe puis s'étalant, à marge légèrement enroulée à lisse, onduleuse, d'un blanc pur parfois nuancé de rose ou de bleu, bombé et soyeux, souvent penché

 

Lames : adnées, irrégulières, relativement serrées et de couleur blanche

 

Anneau : néant

 

Pied : robuste, de même couleur que le chapeau mais parfois aussi nuancé de rose ou de bleu

 

Exhalaison : faiblement farineuse

 

Période de cueillette : à partir du début de l'été et jusqu'à la fin de l'automne

 

Biotopes : principalement en bois de feuillus mais surtout de chênes, parfois aussi sous les conifères, appréciant les sols sablonneux et acides

 

Confusions : possible avec l'amanite vireuse mais aussi avec le clitopile petite prune un comestible, ainsi qu'avec le clitocybe nébuleux et l'entolome livide

 

Famille : tricholomatacées

 

Nom scientifique : tricholoma columbetta

 

 

 

 

La chair et les spores sont blancs. Ce champignon n'est pas très courant et se développe en groupes de quelques individus mais aussi parfois isolément. Il est considéré comme un bon comestible mais la ressemblance possible avec l'amanite vireuse doit inciter à la plus grande prudence. Une des caractéristiques les plus visibles se situe au niveau des lames : chez le tricholome colombette elles sont adnées et non libres.

 

 comestible

Champignons-Chapeau blanc-Nyctale porteuse d'étoiles

Publié à 18:19 par acoeuretacris Tags : champignons nyctale étoiles
Champignons-Chapeau blanc-Nyctale porteuse d'étoiles
 
Identification de champignons à chapeau de couleur blanche 
  

 Nom usuel : astérophore faux-lycoperdon

 

 

de 1 à 3 cm, hémisphérique ou convexe, blanc devenant chamois comme poussiéreux, fixé sur le chapeau d'un autre champignon

 

Chapeau : de 1 à 3 cm, d'abord globuleux puis devenant hémisphérique et enfin convexe, parfois soudé à un chapeau voisin, de couleur blanche devenant chamois à brun ochracé à maturité car recouvert par les spores qui se développent sur la surface

 

Lames : blanches et épaisses, le plus souvent malformées mais parfois inexistantes

 

Anneau : néant

 

Pied : court et cylindrique, souvent courbé, de couleur blanche et pruineux ou finement méchuleux de même couleur, devenant ochracé à brunâtre vers la base

 

Exhalaison : de rance ou parfois plutôt farineuse

 

Période de cueillette : à partir du milieu de l'été et jusqu'au milieu de l'automne

 

Biotopes : uniquement sur d'autres champignons, surtout la russule noircissante, dans les bois de feuillus comme de conifères

 

Confusions : possible à l'état juvénile avec l'astérophore parasite d'aspect plus délicat

 

Famille : nyctalidées (lyophyllacées pour certains auteurs)

 

Nom scientifique : asterophora agaricoides

 

 

 

 

Synonymes : nyctale porteuse d'étoiles
latin : asterophora lycoperdoides, nyctalys asterophora, nyctalis agaricoides

 

La chair est blanchâtre mais devient brun clair dans le pied. Ce curieux champignon se développant essentiellement par temps très humide (souvent après une forte pluie) se fixe sur un support étonnant : un autre champignon ! Il s'agit le plus souvent de la russule noircissante dont il provoque le pourrissement. Il parasite plus rarement d'autres russules de même que des lactaires. Il n'est pas comestible.

Champignons- Chapeau blanc - Bolet Satan -

Publié à 18:05 par acoeuretacris Tags : champignons bolet satan
Champignons- Chapeau blanc - Bolet Satan -
Identification de champignons à chapeau de couleur blanche 
  

 Nom usuel : Bolet Satan

 

 

de 10 à 30 cm, hémisphérique puis convexe, blanc sale à grisâtre ou chamois-gris

 

Chapeau : de 10 à 30 cm, hémisphérique finement tomenteux puis convexe irrégulier et glabre à étalé, plus ou moins bosselé, à marge lisse, de couleur blanc sale à grisâtre ou chamois-gris , parfois nuancé de jaunâtre, rosâtre et/ou verdâtre

 

Lames : néant : tubes de couleur jaune puis orange à rouge vif virant au bleu au toucher

 

Anneau : néant

 

Pied : trapu et très ventru (jusqu'à 10 cm de diamètre) de couleur rouge virant à l'orange puis au jaune vers le sommet, couvert d'un fin réseau rouge, souvent jaune verdâtre à la base

 

Exhalaison : d'abort discrète puis désagréable, fétide

 

Période de cueillette : à partir du début de l'été et jusqu'au début de l'automne

 

Biotopes : bois clairs de feuillus (chênes, châtaigners, hêtres, et) mais principalement en lisières et clairières de ceux-ci, au bord de chemins les longeant lorsqu'il sont bien exposés, le plus souvent en plein soleil, appréciant les sols calcaires

 

Confusions : possible avec le bolet à pied rouge, dont le chapeau est plus foncé, également avec le bolet blafard lui aussi plus foncé de chapeau, le bolet rouge et jaune ainsi que lebolet à beau pied

 

Famille : boletacées

 

Nom scientifique : boletus satanas

 

 

 

La chair est blanchâtre à jaunâtre mais bleuit à la coupe et les spores sont brun verdâtres. Comme beaucoup de bolets, il est très rapidement véreux. Rare en Bretagne, plus fréquent dans le Sud, il reste toutefois peu courant. Ce champignon généralement solitaire est un toxique sévère à l'état cru, provoquant de sérieuses gastro-entérites pouvant durer plusieurs jours. Il est comestible pour certains, après une longue cuisson ... Pour d'autres, quelques troubles digestifs ont, malgré tout, été observés : il est donc préférable de l'éviter.

 

  toxique