Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
21.06.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Par Anonyme, le 31.05.2024
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Par Richard , le 27.05.2024
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Par Anonyme, le 21.05.2024
ce qui a définitivemen t condamné le bismark c'est le fait que son gouvernail endommagé a l'a empêché de manoe
Par Anonyme, le 13.05.2024
L'Hôtel de Florainville est un bâtiment situé à Bar-le-Duc, en France. Il sert de Cour d'Assise au département de la Meuse.
Localisation
L'édifice est situé dans le département français de la Meuse, sur la place saint-Pierre de Bar-le-Duc.
Historique
Le bâtiment était à son origine construit au xviie siècle pour la famille de Florainville et il fut ensuite le siège de la municipalité en 1794 qui y logeait ensuite son musée. Il devint ensuite le siège du tribunal de grande instance avant d'être celui de la cour d'Assise. L'hôtel est partiellement classé au titre des monuments historiques pour ces toitures et façades sur rue.
Il fut le lieu de réception de la future reine Marie Antoinette d'Autriche lors de son voyage depuis la frontière vers le Roi.
Architecture
Il est en pierre de Savonnières comme la majorité des hôtels de la place avec un toit d'ardoises à quatre pans. Sur la place sa façade est sur trois étages, chacun ayant son style particulier, un étage à l'attique avec des fenêtres cintrées sous le toit. Des balcons, avec garde corps en fer forgé, sur consoles avec cinq grandes fenêtres au premier et des fenêtres à meneaux du rez-de-chaussée où arrivent un grand escalier à double révolution.
Les blasons de France, du duc de Bar (d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or aux deux bars adossés du même brochant sur le tout) et de sa capitale (d'argent aux trois pensées tigées et feuillées au naturel) sont surmontés par la devise GESTA SONNANT ("Les hauts faits résonnent").
Sur la façade rue Cim est gravée l'inscription "Celuy qui n'aura voulu quand il aura pu ne pourra peut-estre pas quand il voudra ; 1640"
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Le palais de justice de Bar-le-Duc est situé dans l'hôtel de Florainville, en Ville Haute.
La commune relève du tribunal d'instance, de grande instance, de commerce et du conseil de prud'hommes de Bar-le-Duc. Elle est rattachée à la cour d'appel, au tribunal administratif et à la cour administrative d'appel de Nancy. Elle dépend également du tribunal pour enfants de Verdun et de la cour d'assises de la Meuse située à Bar-le-Duc
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La (ou le) Game Boy (ゲームボーイ, Gēmu Bōi ) est une console portable de jeu vidéo 8-bits de quatrième génération développée et fabriquée par Nintendo. Mise en vente au Japon le 21 avril 1989, puis en Amérique du Nord en juillet 1989, et enfin en Europe le 28 septembre 1990, elle est la première console portable de la gamme des Game Boy. Elle fut conçue par Gunpei Yokoi et Nintendo Research & Development 1 — la même équipe ayant conçu la série des Game & Watch ainsi que de nombreux jeux à succès sur Nintendo Entertainment System.
Malgré la sortie de consoles portables techniquement plus avancées, la Game Boy connaît un franc succès. Les modèles Game Boy et Game Boy Color totalisent 118,6 millions d'exemplaires vendus à travers le monde. Dès sa sortie aux États-Unis, plus d'un million d'exemplaires sont vendus en quelques semaines. La production de la console portable s'est achevée en 2003
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Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, communément appelé Talleyrand, né le 2 février 1754 à Paris où il est mort le 17 mai 1838, est un homme d'Église, un homme d'État et un diplomate français, actif du règne de Louis XVI à celui de Louis-Philippe, particulièrement pendant les périodes de la Révolution, de l'Empire et de la Restauration.
Issu d'une famille de haute noblesse, mais souffrant d'un pied bot, il est orienté vers une carrière ecclésiastique en vue de prendre la succession de son oncle, archevêque de Reims. Ordonné prêtre en 1779, il est nommé en 1788 évêque d'Autun. Sous la Révolution, il adhère d'abord à la Constitution civile du clergé (1790), puis renonce à la prêtrise pour mener une vie laïque.
Talleyrand occupe des postes de pouvoir sous la plupart des régimes qui se succèdent en France : sous l'Ancien Régime, il est agent général du clergé (1780) ; en 1789, il se fait élire député du clergé aux États généraux, est un moment président de l'Assemblée nationale constituante en 1790 et est à l'origine de la Constitution civile du clergé ; en 1792-1793, il est ambassadeur de France au Royaume-Uni ; sous le Directoire, il est ministre des Relations extérieures et le reste sous le Consulat et l'Empire ; en 1814, il est président du gouvernement provisoire ; sous la Restauration, il est ambassadeur, ministre des Affaires étrangères et président du Conseil des ministres ; enfin, sous la monarchie de Juillet, il est ambassadeur.
Il assiste aux couronnements de Louis XVI en 1775, de Napoléon Ier en 1804 et de Charles X en 1825.
Il intervient fréquemment dans les questions économiques et financières, pour lesquelles son acte le plus fameux est la proposition de nationalisation des biens du clergé en 1789. Toutefois, sa renommée provient surtout de sa carrière diplomatique exceptionnelle, dont l'apogée est le congrès de Vienne. Homme des Lumières, libéral convaincu, tant du point de vue politique et institutionnel que social et économique, Talleyrand théorise et cherche à appliquer un « équilibre européen » entre les grandes puissances.
Réputé pour sa conversation, son esprit et son intelligence, il mène une vie entre l'Ancien Régime et le xixe siècle. Surnommé le « diable boiteux » et décrit comme un traître cynique plein de vices et de corruption ou au contraire comme un dirigeant pragmatique et visionnaire, soucieux d'harmonie et de raison, admiré ou détesté par ses contemporains, il suscite de nombreuses études historiques et artistiques.
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Catherine II (en russe : Екатерина II) ou Catherine la Grande (Екатери́на Вели́кая), à la naissance Sophie Frédérique Augusta d'Anhalt-Zerbst, née le 2 mai 1729 à Stettin en Poméranie (aujourd'hui Szczecin en Pologne) et morte le 17 novembre 1796note 3 à Saint-Pétersbourg, épouse du prince puis empereur Pierre III (1728-1762), est impératrice de Russie de 1762 à 1796, à la suite d'un coup d'État (9 juillet 1762), suivi de l'incarcération de Pierre III, puis de son exécution (17 juillet) par un proche de Catherine.
Recevant le prénom de Catherine lors de son baptême orthodoxe, nécessaire avant son mariage avec le prince Pierre, elle devient impératrice consort après l'avènement de ce dernier (5 janvier 1762). Après son coup d'État, elle se fait proclamer « impératrice et autocrate de toutes les Russies ».
Elle règne personnellement sur l'Empire russe du 9 juillet 1762 à sa mort. Sous son règne, la Russie connaît une grande expansion territoriale vers l'ouest et le sud (plus de 500 000 km2), notamment à l'occasion des trois partages de la Pologne (1772, 1793 et 1795) et de guerres victorieuses contre l'Empire ottoman.
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Manfred Albrecht, Freiherr von Richthofen, né le 2 mai 1892 à Breslau et mort le 21 avril 1918 à Vaux-sur-Somme, est un aviateur allemand devenu une légende de l'aviation de la Première Guerre mondiale. À l'époque, il était connu en France sous les surnoms de « Baron rouge » ou de « Diable rouge », mais depuis, le surnom donné par les aviateurs britanniques (« the Red Baron » soit « le Baron rouge ») a fini par s'imposer au point de remplacer en popularité son nom authentique.
Avec quatre-vingts victoires confirmées, selon le système de comptage allemand, il est l'as des as de l'aviation allemande de la Première Guerre mondiale. Hauptmann dans la célèbre Jasta 11, sa célébrité est liée à celle de son Fokker Dr.I Triplan peint en rouge vif au lieu des traditionnelles couleurs de camouflage, d'où son surnom. Il a pour frère cadet Lothar von Richthofen, autre pilote chevronné de l'armée de l'air allemande.
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L'Aichi D3A, ou « Bombardier embarqué de Marine Type 99 » (en japonais : « 99式艦上爆撃機 »), est un bombardier en piqué biplace en tandem japonais, en service de 1940 à 1945, pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dénommé Val par le code des Alliés du Pacifique, il fut le premier avion japonais à bombarder des objectifs américains, et aussi celui qui parvint à couler la plus grande quantité de navires de combat alliés. Cet appareil a participé à pratiquement toutes les opérations aéronavales japonaises de la Seconde Guerre mondiale.
Origine
Au cours de l'été 1936, la Marine impériale japonaise lança une fiche-programme (11-Shi) concernant un monoplan d'attaque en piqué embarqué destiné à remplacer les biplans Aichi D1A. Aichi, Nakajima et Mitsubishi se portèrent candidats, seuls les deux premiers se voyant commander chacun deux prototypes. Le projet développé par Aichi Tokei Denki Seizo Co associait une voilure elliptique, inspirée du Heinkel He 70, et un fuselage au dessin assez proche de celui du Mitsubishi A6M Zero, malgré un poste de pilotage biplace en tandem. De construction entièrement métallique avec surfaces mobiles entoilées, il était conçu pour résister à une attaque en piqué, et pour simplifier la construction, un train d'atterrissage classique fixe caréné fut retenu, la traînée engendrée ne devant pas influer de façon importante sur les performances.
Propulsé par un moteur 9 cylindres en étoile Nakajima Hikari 1 (en) d'une puissance de 710 ch au décollage entraînant une hélice tripale métallique, le prototype débuta ses essais en janvier 1938. Les premiers essais se révélèrent décevants : sous-motorisé, l'Aichi AM-17 (désignation constructeur) était instable en évolutions larges, se mettait facilement en vrille en virage serré, les freins de piqué vibraient de façon dangereuse à 370 km/h, alors que la Marine demandait de porter la vitesse d'attaque à 440 km/h.
Le second prototype subit donc toute une série de modifications avant de voler à son tour : Le moteur Hikari fut remplacé par un 14 cylindres en étoile Mitsubishi Kinsei 3 de 840 ch sous un capot-moteur plus profond, l'empennage vertical fut agrandi pour améliorer la stabilité de l'appareil, la voilure fut légèrement allongée avec modification du dessin du bord d'attaque, et les aérofreins consolidés. Si la stabilité longitudinale laissait encore à désirer, ces modifications furent jugées suffisantes pour que l'Aichi AM-17 soit préféré à ses concurrents, et le biplace Aichi fut commandé en décembre 1939 comme « Bombardier embarqué de Marine Type 99, modèle 11 », ou « D3A1-11 ».
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Jacques Cartier, né vers 1491 à Saint-Malo alors dans le duché de Bretagne où il meurt le 1er septembre 1557, est un navigateur et explorateur breton puis français. Mandaté par le roi de France François Ier, il atteint en 1534 le golfe du Saint-Laurent et explore les territoires alentour, auxquels il donne le nom de « Canada », tiré du mot iroquoien kanata (« village »). Il y effectue un second voyage en 1535-1536 et un troisième en 1541-1542.
Auteur de cartes aujourd'hui perdues et de Relations, récits de ses voyages, Jacques Cartier est le premier Européen à décrire et nommer cette région et ses habitants, à une époque où les Espagnols sont déjà installés dans les îles Caraïbes, au Mexique et en Amérique centrale, et commencent la conquête du Pérou.
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En 1923, Albert Londres se rend en Guyane où il visite le bagne aux Îles du Salut, à Cayenne et à Saint-Laurent-du-Maroni. Décrivant les horreurs de ce qu'il voit, son reportage suscite de vives réactions dans l'opinion mais aussi au sein des autorités.
« Il faut vous dire que nous nous trompons en France. Quand quelqu'un – de notre connaissance parfois – est envoyé aux travaux forcés, on dit : il va à Cayenne. Le bagne n'est plus à Cayenne, mais à Saint-Laurent-du-Maroni d'abord et aux îles du Salut ensuite. Je demande, en passant, que l'on débaptise ces îles. Ce n'est pas le salut, là-bas, mais le châtiment. La loi nous permet de couper la tête des assassins, non de nous la payer.
Cayenne est bien cependant la capitale du bagne. (...) Enfin, me voici au camp ; là, c'est le bagne. Le bagne n'est pas une machine à châtiment bien définie, réglée, invariable. C'est une usine à malheur qui travaille sans plan ni matrice. On y chercherait vainement le gabarit qui sert à façonner le forçat. Elle les broie, c'est tout, et les morceaux vont où ils peuvent. »
— Au bagne (1923), chapitre À terre, pages 35-37.
Et le récit se poursuit :
« On me conduisit dans les locaux. D'abord je fis un pas en arrière. C'est la nouveauté du fait qui me suffoquait. Je n'avais encore jamais vu d'hommes en cage par cinquantaine.
Ils se préparaient pour leur nuit. Cela grouillait dans le local. De cinq heures du soir à cinq heures du matin ils sont libres – dans leur cage. »
— Au bagne (1923), chapitre À terre, pages 39-40.
Albert Londres dénonce aussi un fait que l'on ignore souvent : le « doublage ».
« Quand un homme est condamné de cinq à sept ans de travaux forcés, cette peine achevée, il doit rester un même nombre d'années en Guyane. S'il est condamné à plus de sept ans, c'est la résidence perpétuelle. Combien de jurés savent cela ? [...] »
— Au bagne (1923), chapitre Chez Bel-ami, page 43.
Et ici, voici la formule :
« Le bagne commence à la libération. Tant qu'ils sont en cours de peine, on les nourrit (mal), on les couche (mal), on les habille (mal). Brillant minimum quand on regarde la suite. Leurs cinq ou sept ans achevés, on les met à la porte du camp. »
— Au bagne (1923), chapitre Chez Bel-ami, page 44.
Son livre est une galerie de portraits : Hespel, Bel-Ami, Ullmo, Duez, Eugène Dieudonné, Roussenq, Marcheras... les bagnards sont des hommes ! – même si dans ce lieu, ils tendent à devenir des animaux. En 1924, il poursuit ses enquêtes sur les travaux forcés et se rend en Afrique du Nord où des bagnes militaires accueillent les condamnés des conseils de guerre qui n'en finissent pas d'expier leur très grande faute (publication de Dante n'avait rien vu).
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